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Invité Invité
| Sujet: Chess Upson (civil =) Jeu 25 Juin - 23:11 | |
| Nom : Upson Prénom : Chess Surnom : _ Age : 24 ans Date de naissance : 15 Juin 1984 Nationalité : américaine. Statut : Barman, civil.
Description physique : "grand, maigre, blond. On dirait une épave qui se brancherait sur un groupe électrogène dans l'espoir que ça remarche en dedans."
- Spoiler:
Chess mesure environ un mètre quatre vingt, pèse entre soixante cinq et soixante dix kilogrammes. Il est donc de taille moyenne, plutôt sec, et tout chez lui est en longueur. Ses membres ont l’air de s’étirer, nerveux, osseux, veineux, et pâles. C’est un peu le même schéma pour l’ensemble du corps. Le visage aussi est long, très mobile. Très expressif. C’est cette capacité émotionnelle que j’aime bien chez Chess. Pour peu qu’on soit capable de décrypter, on pourrait tout savoir. Bien sûr lorsqu’il sourit on voit bien que c’est vrai, mais ça se voit aussi que c’est juste pour la frime, un sourire pour l’allure, pour faire plaisir, ou juste pour la politesse. Ca reste assez sincère : Chess ne peut pas sourire pour rien. Dans l’honnêteté de l’expression, il y a un tout petit truc, comme tiré avec un fil invisible, qui est tordu, qui ne scintille pas. Même si c’est pas flagrant, et qu’on ne remarque pas. C’est juste les sourires, les rires, les moqueries d’un mec qui a sûrement trop bu ou qui est défoncé. C’est toujours rien qu’un masque pour la nuit. Et donc, Chess est un personnage nocturne. Ca pourrait presque se deviner. La journée il sort rarement. Il est assez pâle, même ses cheveux ont l’air décolorés. Longs, secs, cassés, emmêlés, d’un blond très pâle. Pas platine. Plus vers le cendré qui pourrait presque virer au beige. Ses yeux sont gris, gris bleus. Très clairs, eux aussi. Avec de longs cils. Assombris par des paupières lourdes, et des cernes profondes, violacées. Et un peu enfoncés dans leurs orbites. Ca fait des sourcils proéminents. Il peut les bouger indépendamment l’un de l’autre. D’ailleurs il sait aussi faire bouger ses oreilles, et son nez. Son nez est long. Droit. Tout le visage en fait, est un visage plutôt anguleux, aux traits durs, masculins.
Dans l’allure générale, même s’il a l’air d’une chauve souris désoeuvrée, Chess est assez classique. Ses vêtements sont ordinaires, intemporels. Souvent noirs, avec quelques couleurs vives. Un jean, des bottines, un t-shirt. S’il le faut une veste, et s’il le faut un bonnet pour cacher cette misère capillaire. Je précise qu’il boîte. C’est con, mais c’est comme ça. Chess est handicapé. Parfois il se sert d’une béquille, mais lorsqu’il sert au bar, il fait au mieux pour être opérationnel et sa canne repose, quelque part par là sur le côté. Quand on le voit dans la lumière du jour, Il ne fait aucun doute que Chess est quelqu’un d’épuisé. Autant physiquement que psychiquement, et moralement. Ses épaules sont voûtées, son dos s’arrondit. Il a la nuque penchée, marche en regardant le sol. Ses gestes sont nerveux. Vifs. Saccadés. Il a les nerfs à fleur de peau, tout le temps, tout le temps. Il réagit au quart de tour, la plupart du temps. C’est un anxieux. Sur le qui-vive en permanence et ça l’abîme, ça l’abîme, tandis que c’est le génocide chez ses neuronnes surexcités.
Description psychologique : "lunatique, très lunatique : toxico sexuellement obsédé la nuit, artiste coincé, dépressif, agoraphobe et paresseux, le jour."
- Spoiler:
Chess fonctionne de manière assez simple. Il est de bonne humeur, ou bien il ne l’est pas, ce qui revient relativement au même, au final.
Lorsqu’il est de bonne humeur, Chess n’a qu’une seule idée en tête : s’amuser. Se retourner le cerveau, défoncer ses tympans, mettre du sexe dans son lit (Chess n’est pas très difficile ni vraiment regardant, tout ce qu’il veut c’est un peu de plaisir histoire d’être bien sûr qu’il est vraiment vivant). Donc voilà, sa bonne humeur se limite à de la drogue, de l’alcool, du son, et du sexe et ce qui est génial, c’est que son travail est apte à lui fournir tout ça. Donc en général, Chess aime aller travailler (il travaille essentiellement la nuit, normal, puisqu’il bosse dans une boîte de nuit, ah, ah.) et lorsqu’il est à son travail, il est de bonne humeur. Donc il se fait offrir des trucs par des clients sympas (si on ne lui offre rien, il se procure, no problem), il serre des verres en draguant si ça sent le bon coup. Chess est pas trop du genre à discuter pendant trois heures, il a plutôt tendance à faire direct du rentre dedans, si ça marche tant mieux, si ça marche pas, suivant. Il a un humour un peu glauque, rit facilement des choses tristes ou de tout ce qui est crade, gore, choquant. Il se la joue dans un genre mauvais garçon défoncé au mélodrame intérieur. Ses amis sont souvent des gens a qui il a proposé son lit mais qui ont refusé, et qui avec le temps on finit par développer un truc quand même. Je ne saurai pas encore dire si Chess a de véritables amis quelque part, ou non. Ca se peut comme ça ne se peut pas. Enfin ce qu’il faut que vous reteniez sur la bonne humeur de Chess, c’est qu’elle artificielle.
Chess est souvent de mauvaise humeur, dès qu’il est seul. Tourmenté par du vent à l’intérieur, à tout ressasser, à tout revoir, à tout re-réffléchir, à essayer de tout corriger. De mauvaise humeur lorsqu’il est sobre. Lorsqu’il a rien pris, rien fumé. Il n’aime pas spécialement la personne qu’il devient lorsqu’il s’en va à son boulot, mais il peut pas s’en empêcher. Parce qu’il apprécie malgré ça, le faux semblant de quiétude qu’il acquiert dans ses pensée, lorsque toute son attention se focalise uniquement sur ses sens, sur le moment présent, le moment vivant. Lorsqu’il est seul, Chess fume beaucoup, pour passer le temps, et dort peu. Il cherche rarement à voir des gens s’il n’en a pas ramené de sa nuit. Il est plutôt casanier et tient à son silence, à sa tranquillité. Il n’aime pas les visites imprévues, même pas celle du facteur (de toute façon personne ne lui écrit, tout ce qu’il reçoit c’est des factures ou des publicités), et peut très vite être pris au dépourvu par une situation qu’il n’avait pas préalablement planifiée. Sans être vraiment timide, il est distant, peut être un peu froid. Une apparence gelée pour protéger la petite neige fraiche qu’il est vraiment quand on creuse un petit peu. Enfin bon, allez creuser de la glace sans outil, quoi. Chess n’est pas très ouvert à l’inconnu, il n’est pas vraiment aventurier, il n’aime pas les surprises. Il n’aime pas qu’on le dérange. Ses journées se séparent en général en deux parties, et il tient sa routine avec une grande lassitude qui lui apporte cependant un sentiment profond de confort et de sécurité. Première partie : rentrer, boire un café, fumer des joints pour se calmer et puis, (parfois faire des courses, ou aller voir Mathilda), allumer la télé, dessiner. Deuxième partie : prendre une connerie genre paracétamol, dormir (ou se reposer), attendre que le réveil sonne, se lever, boire un café/manger/prendre-une-douche/s’habiller(le-tout-en-cinq-minutes-environ), aller à la boîte.
Dernière édition par Chess Upson le Jeu 25 Juin - 23:14, édité 2 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Chess Upson (civil =) Jeu 25 Juin - 23:12 | |
| Histoire :
Résumé Chess naît en 1984, dans un foyer modeste à Brooklyn. Il grandit dans l’ombre de son frère aîné et développe une personnalité introvertie qui le poussera dans l’adolescence à perdre confiance en lui, et à faire de mauvais choix. Avant la fac, Chess abandonne ses études et s’installe dans une caravane avec sa petite amie. Drogués, dealers, ils mènent leur vie jusqu’à l’attentat du 31 Décembre 2001. Dans cet attentat, Chess perdra ses parents, sa petite amie et son frère. Sa jeune sœur est toujours dans le coma actuellement, et lui s’en tire juste avec la jambe gauche amputée. A l’époque, il a 17 ans, et glisse dans une espèce de dépression chronique. Suivi par un médecin, Chess fera un court séjour dans un hôpital psychiatrique avant de parvenir de lui même à se reprendre en main pour rattraper le cours de sa vie. Il commence dès lors une formation dans la restauration, se spécialise avec l’option « Barman », oui oui, et trouve du travail dans la boîte de nuit The Gem dans l’année de ses vingt et un ans. Il habite Chinatown.
- Spoiler:
[ Photo de famille ]
Les Upson étaient à l’époque un jeune couple, lointains descendants d’européens qui avaient débarqué ici il y a un bail, déjà. Ils habitaient Brooklyn, parce que c’était là que Monsieur avait grandi, qu’il avait trouvé du travail, qu’il avait tiré sa femme (collégienne à l’époque) avant de lui demander de l’épouser. Donc voilà, ça avait été très vite, ils s’étaient mariés et ils avaient fait des enfants. Deux garçons, et une fille, respectivement Jerry, Chess et Mathilda, rangés par ordre décroissant. Je vais préciser les écarts, il y a deux ans entre Jerry et Chess, quatre entre Chess et Mathilda. Ils formaient une famille classique. Monsieur était employé dans une grande surface et Madame, serveuse dans un café branché. L’aîné, Jerry, était le garçon le plus populaire de son école. Il était intelligent, drôle, il plaisait aux filles, il était fort en foot et il jouait de la guitare. C’était Monsieur qui avait donné sa guitare à Jerry. Jerry était extraverti et curieux, il avait cette nature là qui a envie de tout essayer mais sans s’attarder nulle part. Il attirait les regards, l’attention, les compliments. A côté de lui, Chess n’était pas vraiment le vilain petit canard, juste dans son ombre. Plus renfermé, peut être un peu moins épanoui, moins téméraire. Sans doute aussi doué, mais juste pas autant remarqué. Chess était un gamin chétif, souvent de mauvaise humeur, bagarreur. Têtu, un peu sauvage, obsessionnel. Il dessinait beaucoup, parce qu’artistiquement, il ne savait rien faire d’autre. Mauvais dans tous les sports, on avait renoncé à l’inscrire dans un club. Chess rêvait d’avoir un piano, mais malheureusement pour lui, ses parents n’avaient pas les moyens de lui en offrir un. Par conséquent, Chess envia longtemps Jerry, Jerry avec sa guitare, trouvant ça complètement injuste et se figurant qu’il était moins apprécié. Il fut un enfant à l’esprit de compétition très développé, et apprit à toujours jouer pour gagner.
Jerry et Chess ne s’entendirent jamais vraiment. Pourtant Jerry avait du respect pour ce que Chess faisait et dans le même secret, Chess adorait Jerry. Toute leur vie, ils se le montrèrent à coups de points et d’insultes. Heureusement, il y avait Mathilda. Filette mignonne, très ordinaire, très semblable à beaucoup d’autres fillettes. Bonne élève, gentille, docile. Fragile. L’amour de ses deux frères, qui tour à tour se l’appropriaient pour discuter, lire un livre, sortir se promener … Elle essaiera longtemps de les faire s’entendre sans jamais arriver au bout de leurs surplus de fierté respectifs.
Et tous ont grandi. Jerry est allé à la fac. Chess a lâché ses études. Mathilda est allée au lycée, au collège, tout ça. Maintenant, concentrons nous sur le parcourt de Chess. Chess a arrêté un an avant la fac. Ca le saoulait. Il voulait à ce moment tout arrêter et se concentrer sur le dessin, qui était devenu à la longue son seul truc à faire. Dealer à la petite semaine, il avait un peu d’argent de côté. Il voulait se barrer. Dans l’ensemble il ne savait pas comment faire pour correspondre au style demandé, pour rentrer dans la norme. Il se sentait incompris et coincé. Mal dans sa peau, mal dans sa tête et puis mal dans sa vie.
[ Tribulations d’un sale gosse ]
Alors Chess a passé son permis, il s’est trouvé une vieille caisse et puis une caravane, et il s’est barré. Avec sa copine de l’époque, une dénommée Layla, avec qui il sortait depuis un bon moment, déjà. Tous les deux vivèrent du deal. Avec la caravane, ils squattaient sur des parkings, parfois Layla faisait la manche. Ils dilapidèrent leur argent en autant de conneries, dépensèrent bientôt plus que ce qu’ils parvenaient à gagner et puis, avec le temps, sérieusement entamés par leur façon de vivre, ils devinrent obsédés par l’idée d’acquérir de la drogue, tu vois, ne serait-ce que pour la matinée, puis le soir pour pouvoir se coucher. Chess vendit la voiture, Layla s’arrangea dans des affaires personnelles … Leur histoire tombait du ciel, tandis qu’ils se battaient, à savoir qui avait eu tort, à quel moment, et qu’est ce qu’ils allaient bien pouvoir y faire maintenant.
[ Déflagration ]
Et puis, il y a eu nouvel an. Pour passer de 2001 à 2002. Chess fut invité dans sa famille, dans leur appartement, avec ses parents, son frère, sa sœur. Lui et Layla. Les parents avaient un peu vieilli, toujours ensemble, ils étaient sereins et prévoyaient de voyager. Jerry avait eu son diplôme, il était là avec sa fiancée, ils allaient se marier, et puis Mademoiselle attendait déjà un petit. Jerry était radieux, bien sûr. Comme toujours. Toujours avec son humour pourri et son éternelle prétention, sa tête de con, et puis sa meuf, quelle bécasse. Il y avait le manque, le manque. La tension, parce qu’il faut être tranquille, pas s’engueuler d’vant la famille, ne pas se laisser aller, tremblements, fatigue, angoisses. Ne rien montrer aux vieux, que la seule chose que t’as envie c’est d’une bonne dose dans le bras. Que tu t’en fous du r’pas et qu’tu t’en fous de tout, les cadeaux et tout ça. Si t’avais le choix, tu te casserais d’là sans attendre. Mais il y avait aussi Mathilda, très jolie, dans un look un peu sombre. Assez silencieuse mais souriante, avec son bouquin sur les genoux, qui faisait semblant d’être là, mais c’était pas crédible, qui faisait semblant de ne pas être engouffrée dans un autre monde. Donc, avouons-le, tout se passait très bien. Madame apportait une quiche qu’elle avait préparé, quand c’est arrivé.
Juste, juste, le temps d’une vibration, vaguement un bruit sourd, mais tout va très vite. Pendant une toute petite seconde, plus rien ne compte que la terrible prise de conscience, pourquoi le verre se détache de la vitre et fonce droit vers nous en millions de morceaux ? Pas le temps de sentir le feu, à peine le souffle de l’explosion, au niveau du corps ça te fait plutôt une sensation dans l’intérieur. Tu sens la détonation en dedans. Ca te vide. C’est presque bon. Et puis la seconde d’après, plus rien. Plus d’images, plus de bruit, à part le léger sifflement, comme un acouphène. Ca te tourne dans le cerveau, ça t’anésthésie en même temps que ça t’empêche de sombrer. Les poussière qui s’engouffre dans tes poumons à chaque inspiration ne te dérange pas. Ni l’odeur des cadavres, qui sont là depuis une heure, deux heures, deux jours, deux semaines. Ca pourrait être cinq minutes ou cent ans. Tu n’as plus la notion du temps.
Malheureusement pour toi, ça revient.
[ Nouvelle partie ]
C’est la lumière qui se faufile entre les débris qui fait réaliser à Chess qu’il est encore en vie. La lumière qui a ouvert ses yeux et alors, il se rappelle qu’il a mal. La gorge obstruée et sèche, avec une odeur immonde. Il n’arrive plus à bouger, et il a mal, terriblement mal au niveau de sa jambe gauche. Il passera de longues heures à hurler, hurler à s’en briser la voix, à en pleurer, jusqu’à s’endormir.
Et se réveiller dans un lit d’hôpital. Un hôpital de fortune mais ça sent le frais, tout est calme, les draps sont propres. Il y a d’autres lits, avec des gens qui dorment, se réveillent ou sont réveillés et parlent entre eux, avec des proches, avec des médecins. Une infirmière débarque. Se poste là, près du lit, un dossier entre les mains. Elle pose quelques questions du genre, vous êtes Chess ? Vous vous rappelez de ce qui est arrivé ? Chess n’a pas perdu la mémoire. Les deux fois il dit oui. L’infirimière s’asseoit sur le lit, le professionnalisme n’a plus tant d’importance, et explique calmement que lorsqu’ils l’ont sorti des décombres, ils ont trouvé six autres personnes, dont une femme enceinte. L’infirmière raconte qu’ils étaient tous, même lui, sacrément amochés. Elle lui annonce ensuite qu’ils sont morts, à l’exception d’une jeune fille qui est toujours dans le coma. Elle continue, et puis ballance qu’on a du lui couper la jambe gauche, parce qu’elle était trop abîmée et que la gangraine avait commencé à tout pourir. Elle en rajoute, vous savez Chess, nous faisons d’excellents prothèses aujourd’hui. Enfin voilà, elle s’excuse, et puis elle s’en va.
Quelques temps plus tard, Chess sortira en fauteuil roulant de son lit pour aller constater le coma de sa sœur Mathilda. S’en suivra une longue, très longue période de dépression.
[ Ellipse ]
- The Gem - Chess fête ses vingt deux ans aujourd’hui, avec ses collègues. En fait pour fêter ça, c’est lui qui s’occupe du juke box et il se tape un petit délire goa-transe. Il est a fond, avec juste un peu de poudre dans la caboche. Sa copine du moment est là et se trémousse près du bar tout contre une autre nana qui sirote un rhum coca en draguant le serveur qui remplace Chess, qui est en fait un [ … ]. Enfin voilà. Je vais expliquer mieux. Chess s’est relevé de la chute terrible de son immeuble dans le Brooklyn. Mathilda est toujours dans le coma mais c’est comme ça, en vrai, la vie continue. Il bosse en tant que Barman dans la boîte de nuit, The Gem. Ca marche plutôt bien pour lui. Il enchaîne les aventures pour passer le temps, vivre à fond comme on dit mais en vrai, il ne tire pas vraiment de satisfaction de sa vie. Le monde de la nuit lui permet seulement d’oublier la peur, l’ennui, la tristesse. Mais ça va, je vous dit, Chess s’est relevé. Il va bien aujourd’hui. Il touche toujours un peu à la drogue mais bon, rien de comparable avec avant. Quant à sa jambe, il a une prothèse maintenant. Pas super réaliste, métallique, un peu lourde, mais ça va. Quand il est fatigué il utilise une canne. C’est surtout qu’il n’aime pas boîter. Ca le fait pas.
Chess habite un appart assez miteux dans Chinatown, au dessus d’un magasin de babioles asiatiques. Ca coûte pas trop cher et c’est pas trop loin de la boîte. Dans ses heures perdues, Chess continue le dessin, il fait avancer à son rythme un projet de BD, qu’il sortira peut être un jour, si ça lui prend.
Aujourd’hui, deux ans plus tard, Chess a toujours la même existence.
Famille : Franck Upson, père - décédé Minnie Upson, mère - décédée Jerry Upson, frère - décédé Mathilda Upson, sœur (20 ans) - actuellement dans le coma.
N.B : j'aspire à voir Chess évoluer =). |
| | | Jack Alvarez Homme de main SFU Dog #1
| Sujet: Re: Chess Upson (civil =) Jeu 25 Juin - 23:52 | |
| Aaaaaw, j'aime beaucoup beaucoup, je valide beaucoup aussi ! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Chess Upson (civil =) Sam 27 Juin - 21:49 | |
| oh ? cool =) merci ! |
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| Sujet: Re: Chess Upson (civil =) | |
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