°~Don't you wish your girlfriend was hot like me?~°

: Nom :
Nielsen

: Prénom :
Mikael

: Surnom :
Miki

: Date de Naissance :
15 mars

: Age :
17 ans

: Nationalité :
Suédois

: Alignement :
Civil

: Statut :
Étudiant


:: Description Physique ::
Ne mesurant pas plus de cinq pieds, Mikael entre facilement dans la classe "petite personne", bien qu'il aime s'autoproclamé nain, chose totalement fausse. Complexé? Absolument pas, même qu'il aime bien se faire croire que ça le rend mignon. Un peu musclé ou trop maigre? Dure à dire, Miki étant chétif et délicat, il pourrait facilement prendre quelque kilo sans faire d'embonpoint. Il est d'ailleurs plutôt étonnant qu'un tel goinfre puisse encore marcher. À croire que c'est un estomac sur patte.

Ses yeux sont d'un bleu scintillant et plein d'une naïveté propre aux enfants. Doux et pourtant perçants, le jeune adolescent sait très bien s'en servir et il n'en manquera pas une pour vous mettre en poche. Courte sur les cotés, mais plus longue sur le dessus, sa tignasse bat l'air dans tout les sens sur sa petite tête de linotte, tel une couronne doré martelé dans une rage folle. Mais ne vous méprenez pas, car il en prend très soin, malgré son style négligé qui pourrait facilement faire croire le contraire. Sa couleur assez peu commune laisse facilement comprendre qu'il n'est pas totalement japonais, son père lui ayant laissé quelque trait asiatique néanmoins subtile .

Sa petite bouche n'est pas très pulpeuse, même qu'il n'a pratiquement pas de lèvre. Toute fois, il aime bien faire semblant, en les bombant à la Angelina Jolie, de temps à autre. Pourquoi? Hum.... J'aimerais tellement pouvoir vous répondre, mais ce doit faire partit des nombreuses choses qui le rendent incompréhensible. Trois piercings argentés décorent son oreille gauche et deux la droite. Sa petite langue rosée est transpercée d'une courte tige métallique, une petite bouboule rouge couvrant chaque extrémité. Son nombril ne fait pas exception, laissant un petit anneau pendouiller sur son bas ventre, planté dans sa chair et pour couronner le tout, un joli papillon est tatoué sur la fesse droite. Si si, un papillon...

Le blondinet arbore un style assez punk excentrique. Couvrant constamment, et avec raison, ses poignets de petites chaînes, de ruban, de bracelet à studs et affectionnant particulièrement les manchons ne couvrant que du poignet au coude. Ses chandails sont généralement très moulant et laisse facilement voir sa musculature peu développée. Pantalon souvent trop grand, il aime bien ce qui sort de l'ordinaire et qui attire l'attention. Toute fois, Miki a parfois tendance à se laisser aller à l'excentricité la plus extrême, parfois de façon dérangeante, mais régulièrement d'avantage de façon farfelu et totalement grotesque. Alors ne soyez pas surpris s'il décide de débarquer en écolière.


:: Description Psychologique ::
Débordant d'une énergie propre aux piles énergiser, Miki déplace l'air comme un champ d'éolienne. « Il vaut mieux profiter d’aujourd’hui, parce que demain, on sera aujourd’hui, donc il n’y a pas vraiment de demain. » est son dicton par excellence, malgré le manque accablant de cohérence de cette phrase. Bref, Miki aime profiter de la vie et son style de vie le démontre bien. C’est le sourire aux lèvres qu’il affronte chaque journée, et bien que tout ne sois pas rose, il trouvera toujours une façon de mettre un joli ruban à ses problèmes. Peut-être un peu bête, il ne réalise pas à quelle point son côté extravertie peu parfois être dérangeant, frôlant parfois l’excentricité. Malgré tout, Miki ne cherche pas l’attention, il l’attire tout bonnement de nature. Trop vivant sûrement. Il n’a simplement pas tendance à penser avant d’agir. Le blondinet reste tout de même une présence agréable, même s’il vous fout la honte aux cinq minutes.

Si on ne peut pas compter sur sa mémoire de poisson rouge pour les trucs important, vous pouvez vous fier sur super Miki pour venir à votre secours en toute circonstance… même si vous n’avez absolument pas besoin de son aide. Il est néanmoins serviable et adore donner un coup de main à qui en a besoin.

Adepte inconditionnel de la sucette à la fraise, il pourrait en léchouiller une durant des heures sans se lasser. Ne croyez pas qu’il ose sortir sans en traîner une avec lui. Imaginez, se perdre dans les bois… SANS SUCETTE!! Il n’y survivrait sûrement pas le pauvre. Dans la liste des dépendances figures sûrement la musique. Narcotique assez commun, il ne rate pas une occasion de faire tourner son CD des Pussycat Dolls en boucle, ainsi que beaucoup d’autre groupe anti-masculinité. La pire reste probablement cette obsession pour les papiers bulle. C’est immanquable, il doit toute les péter. Il s’est d’ailleurs fait une petite couverture en bubulle sous prétexte que « C’est super confo! » et que ça le détend d’en éclater quelques une en s’endormant.

Vous devez avoir comprit que l’adolescent ne connaît pas le mot gène. Et si vous le croyez tout mignon et innocent, détrompez vous, car il pourrait facilement vous prendre au dépourvue. Joueur, il aime bien user de ses charmes juvéniles et il joue bien, très bien. Prenez garde, le petit angelot cache des cornes!

°~I'm telling you loosen up my buttons baby~°

:: Histoire ::
À peine sortit de mon ventre, je savais que tu serais mignon comme un ange. Tes yeux brillaient déjà d’émerveillement lorsqu’ils c’étaient ouvert pour la toute première fois, dodelinant dans tout les sens comme si tu cherchais quelqu’un. Ton père peut-être. Il n’était pas très présent, je dois bien l’avouer. Je crois qu’il ne savait même pas que tu existais et ce n’était pas faute d’avoir voulue le lui faire savoir. Trop occupé ou simplement totalement indifférent, il n’avait jamais vraiment porté attention à ce que je pouvais lui raconter. J’étais aveugle, je sais, mais je ne crois pas avoir été négligente malgré le faible revenu que j’arrivais à récolter.

Tu commenças tôt à te pavaner dans le couloir de notre deux pièces, couche pendante entre les genoux, mais trop pressé pour attendre que je te l’ai ajusté. Seulement quelques jours avaient semblé séparer cette belle époque et celui de ton départ pour ta première journée d’école. Bien entendue, je n’insinue pas que tu portais encore des couches à six ans (rire), mais tu grandissais tellement vite. Enfin, même si tu ne semblas plus vraiment grandir à partir de ce jour. Tu aimais trop joué et après les courts, j’avais peine à te faire entrer à la maison. J’avais un peu l’impression de te déranger parfois, mais tous les enfants sont comme ça, non? Pourtant tu m’aimais, je le sais bien. Chaque semaine tu venais me montrer tes bricolages les yeux rayonnant, fière de pouvoir me les offrir, suivit d’un énorme câlin. J’aurais aimé qu’ils soient plus longs, beaucoup plus long, mais je ne pouvais pas te tenir en place vraiment plus longtemps.

J’ai pleuré, deux nuits je crois. Pourquoi voulais-tu partir en résidence à ce point? Tu semblais tout emballé lorsque cette école privée t’avait accepté. Je l’étais aussi, mais pourquoi quitter la maison si tôt? Tu avais toujours eut soif d’explorer, de voir le monde et surtout les gens, alors je ne pouvais que sourire en avalant toute cette amertume qui me tenaillait. Je ne voulais en aucun cas être un poids, mais je t’avoue maintenant que j’avais du mal à l’accepter, beaucoup plus que lors du départ de ton père.

J’attendais chaque vacance de Noël avec impatience, que tu rentres à la maison. J’étais déjà malade à cette époque. Tu ne t’en étais pas rendu compte, n’est-ce pas? J’aurais du être comédienne (rire). Tu me racontais chaque année toutes tes fastidieuses péripéties avec une énergie chaque fois plus surprenante. Je pouvais t’écouter durant des heures sans me lasser. Tu me parlais sans cesse de ce « Romimibrunetchoupinetdamoureuh » que tu adorais tellement à l’école. Je dois bien admettre que je n’ai jamais compris ce que ça voulait dire. Mais vous sembliez très bien vous entendre. Je dois même admettre que j’ai commencé à avoir quelque doute sur ton orientation sexuel à ce moment, mais je n’allais pas t’embêter avec ça, j’étais bien trop heureuse de te revoir enfin.

Je ne t’en ai sûrement jamais parlé, mais quelques années avant ta naissance, j’avais rencontré un homme. Il ressemblait un peu à ton père, et je l’aimais lui aussi, mais je n’avais pas plus de chance avec les hommes à l’époque et il avait tout simplement décidé « qu’il n’était pas assez barge pour se faire chier avec un môme ». En effet, tu as un grand frère qui résidait au Japon. Sûrement trop nostalgique de mon petit poussin doré, j’ai décidé de le chercher. Je n’aurais peut-être pas dut, mais pourtant j’avais envie de le voir, contempler ne serait-ce qu’une seule fois mon premier enfant, celui que j’avais si lâchement abandonné.

L’infirmière vient tout juste de vider mon deuxième sceau de la journée. Je crache beaucoup trop de sang. Les transfusions ne suffiront malheureusement plus longtemps. J’ai aussi cette maladie, elle me ronge lentement. Je n’aurais même pas pu voir son visage, même pas une fois. Pourtant, j’avais trouvé son nom, son adresse, mais voilà ma punition pour l’avoir abandonné. Je l’ai bien cherché, je crois. Maintenant qu'il est partit pour les État-Unis, je ne peux même plus rêver de lui. Peut-être que tu pourrais le rencontrer toi? Il ne te recevra peut-être pas comme un frère mais, je n’ai pas vraiment de famille autre que toi. Il pourrait peut-être te loger un moment, le temps que tu atteignes tes dix-huit ans. Tu me manques Mikael, tu n’es pas venu durant tes vacances cette année. J’aurais aimé te dire au revoir. Je t’aime mon poussin doré. Devient un homme bien, et ne fait pas la même erreur que ton père, c’est lui le perdant dans cette histoire. À –Tacher de sang, le reste était difficilement lisible-.

Linnea, ta maman qui t’aimera pour toujours.
XxX

Essuyant ses larmes du revers de son manchon, Miki plia délicatement le bout de papier rosé, parfumé au lilas, avant de le ranger dans la poche de son jean délavé. C’était le parfum préféré de sa mère. Et voilà, il venait tout juste de mettre le pied au État-Unis et c’était déjà un dépaysement total. Serrant les dents, sac de sport sur l’épaule, il fit son premier pas dans la grande ville de New-York, à la recherche de…. de…. Quin…. Cey? Mais bordel, c’tait quoi c’nom?!


:: Famille ::
Miki se trouve depuis peu orphelin, sa mère maintenant décédé et ne connaissant pas l'homme ayant contribué à sa naissance. Il aurait toute fois un frère plus âgé résidant depuis peu à New-York, mais tout ce dont il dispose pour le retrouver, c'est une vieille photo d'une petite foule, une tête de blondasse cerclé en rouge et quelques informations douteuse. Il ferait toute fois tout son possible pour le retrouver et lui imposer sa si bonne présence.

When I grow up, Fresh and clean~°
~°Number one chick, When I step up on the scene