Aldrick Maanwind

Invité

Nom : Maanwind ( Signifie littéralement vent lunaire en néerlandais. )
Prénom : Aldrick ( Du germanique ald: ancien, et rik: le puissant, le roi. )
Surnom: Sa soeur ainé le nomme Caramel. Pour ce qui est de ses connaissances, c'est Al qui l'emporte.
Age : 19 ans
Date de naissance : 20 Septembre
Nationalité : Anglais/Néerlandais
Sexualité: Hétéro
Statut : Stagiaire au New York Times

Description physique :

Alors, physiquement, ce que l'on remarque, c'est que ce cher Aldrick n'est pas réellement du genre top model, mais attention, il est loin d'être moche, mais cela dépend surtout des autres, car qu'on se le dise, le jeune homme qu'est le blondinet n'a aucune envie de faire des efforts pour plaire aux autres ou se mettre en valeur. De ce fait, il se balade la plupart du temps avec un jean usé, un t-shirt au choix rouge, blanc ou bleu, un survet' et des baskets usées. Un bandana se fait également souvent, que dis-je, toujours présent sur son crâne, il en a tout un tiroir remplit, bref, niveau vestimentaire, Aldrick est un jeune sans réel look, et le tout donne un mélange entre joueur de tennis désinvolte, voyou et étudiant. Maintenant, passons à la chevelure du garçon.

Celle-ci est d'une couleur blond blé, et part en plusieurs épis. Aldrick ne fait pas réellement attention à ses cheveux, et ceux-ci sont donc souvent en bataille, partant vers le bas, ils sont mi-long, et paraisse souvent plus court qu'ils ne le sont car relevés par les bandanas et autre bandeaux que le blondinet à l'habitude de mettre. Raides et ils gardent la plupart du temps la même forme, ils sont également, comme la plupart des cheveux, doux et agréable au toucher. Par la suite, on s'intéressera à ses yeux. On dit que ces derniers sont le reflet de l'âme, et quelque part, ce n'est pas faux, car le regard du jeune homme exprime une détermination forte et une grande sincérité laissant voir qu'il n'est pas du genre à se défiler. La couleur de ses pupilles lui vaut son surnom "Caramel", en effet, ceux-ci sont d'un marron doré rappelant le miel et le caramel, bien que l'oeil gauche est plus terne que l'oeil droit. L'explication est très simple, cela résulte d'une bagarre ayant mal tournée. Pour faire court, le jeune homme s'est pris un violent coup au crâne via un objet contendant, et ce choc à fait perdre la vue à son oeil gauche, mais il est d'après les médecins qu'a consulter le jeune homme possible que, son oeil retrouve la vue.

Au niveau du faciés, Aldrick possède un visage arrondie, légèrement triangulaire, son nez est peu volumineux et bien courbé, ses sourcils sont eux plutôt fin et bien dessinés, pour ce qui est de ses joues, elles ne sont pas très volumineuses, tout comme sa mâchoire. Ses lèvres elles, sont fines et d'une d'une teinte plutôt claire. Quand ce n'est pas un sourire espiègle qui est présent sur le visage du blondinet, alors elles seront fermées et lui donneront un air calme, presque absent. Le visage du jeune homme exprime donc la plupart du temps soit de la joie, soit de l'ennui, il n'est donc pas rare qu'il ait l'air blasé, ce qui pour certains, comme son père, lui donne un air provocateur et je m'enfoutiste. Enfin, ses oreilles sont tout ce qu'il y a de plus normales et difficilement visible car toujours cachés par les cheveux du stagiaire, et sa peau claire, virant entre le jaune et le rose, sans imperfections, d'ailleurs, Aldrick est l'un de ces adolescents à n'avoir jamais connu les joies de l'acné.

Niveau corpulence, Aldrick possède un corp d'une taille banale, ne dépassant pas le mètre 76, son poids varie souvent entre 54 et 57 kilos, cela dépend de son alimentation et de son temps à faire du sport. D'ailleurs, en parlant de sport, Aldrick n'a pas un physique de grand sportif avec ses vêtements, mais nu, cela se voit qu'il n'est pas du genre feignant au niveau sportif, certes, ses muscles sont peu visibles, mais ils sont bel et bien là, surtout au niveau des jambes: Aldrick est un sprinter confirmé et la force de ses jambes est développées, tout comme son endurance. Et bien que n'ayant jamais suivit de cours, le blondinet curieux comme il est appris en autodidacte plusieurs styles de combat, car bien que naïf, il sait que si l'on ne sait pas se défendre, on risque de finir bien vite mort dans ce monde violent dirigé par le fric. Enfin, bien que cela ne soit pas très important, Aldrick se promène en permanence avec un sac à bandoulière contenant son matériel et également un couteau de chasse qui semble être l'un de ses objets fétiches.

Description psychologique :

Il y a les sportifs décérébrés, les beaux menteurs, les moches intello, et pleins d'autres profils, et il y a lui, LE garçon sincère, naïf, orgueilleux, compatissant et incapable de tenir sa langue. Le genre limite gamin, ne baissant jamais les bras, prêt à boire vos paroles avec des yeux émerveillés. Ce garçon, c'est Aldrick, le genre tête dans les nuages, tellement motivé qu'il en devient fatiguant, un moulin à parole toujours prêt à dire quelque chose, peu importe que cela soit intelligent ou pas, car le silence se fait rare près du stagiaire. Quand il ne parle pas, il n'y a que trois possibilitées possibles: soit il dort, soit il écoute de la musique, soit il est dans la lune. Vous l'aurez compris, le jeune homme n'aime pas le silence et ce qui stagne, ce qui le branche, c'est la vitesse, ce qui bouge, le bruit, l'aventure, bref, s'il le pouvait, Aldrick serait un pirate naviguant à travers les océans ou encore un aventurier perdu dans la jungle, à la recherche d'un temple ancien recélant des pouvoirs d'antant. Aldrick, pour faire simple, c'est le jeune adulte rêveur se faisant des films et surboosté, bougeant tout le temps, la pile nucléaire ambulante. Notons également qu'il n'aime pas les occupations salissante et le vulgaire.

Ennemi des solitaires et autres associables, le blondinet, que vous ne connaissez ni d'Eve ni d'Adam, vous donnera rapidement l'impression de le connaître depuis des années. Car Aldrick est l'une de ces personnes pour qui le flirt et la séduction sont une seconde nature, il le fait avec tact et cela marche à chaque fois, ou presque, cela dépend de ce qui pour vous est du tact. Ainsi, le blondinet, moulin à paroles de son état, aime discuter de tout et de rien, avec n'importe qui, n'importe où, se fichant royalement que vous soyez un étudiant, un clochard ou une écrivaine, car pour lui, ce que vous faites lui importe peu, ce qui l'intéresse, c'est de connaître votre histoire, de vous distraire et surtout de se distraire, pas de temps à perdre à déprimer sec dans son coin, la vie est bien trop courte à ses yeux pour cela. Cela dit, il ne fait pas bon lui raconter vos secrets, car malgré toute sa bonne volonté, il est incapable de garder un secret, alors, surtout, ne lui dite JAMAIS que vous êtes amoureux, et encore moins le nom de la personne, il lui dirait tout illicot, mais non pas par plaisir, non, il est juste trèèèès idiot sur les bords et ne fait pas gaffe. D'ailleurs, cette maladresse se retrouve dans la plupart des choses qu'il fait. Cela va de l'erreur du nom de la personne sur qu'il a fait un article à bousculer les serveurs dans un restaurant et trouver le moyen d'avoir le pied dans la couverture en sortant du lit.

Vous avez certainement compris que Aldrick a des prédispositions à faire des bourdes. Mais il y a plus fort encore chez ce blondinet, car bien que maître de la maladresse, il arrive également à être le seigneur des cruches. Facile à manipuler, cela a autant désservi le jeune homme au boulot que sentimentalement. Il ne compte plus le nombre de personnes qui ont profiter de sa crédubilité pour lui prendre de l'argent ou encore l'envoyer droit au mur, car c'est là la grande faiblesse de ce joyeux luron: il accorde bien trop facilement sa confiance, et par dessus tout, il a en horreur la solitude. Il en a tellement peur qu'il serait prêt à accepter n'importe quelle histoire d'amour pour ne pas l'être. Mélanger cela avec la mauvaise habitude d'avoir du mal à dire "non", quand je vous dis que c'est une cruche... Vient ensuite sa sincérité. Lui, il dira ce qu'il pense sans mâcher ses mots, peu importe que cela le mette dans une situation délicate, il n'hésitera pas à dire tout haut ce que les autres pensent tout bas - d'où le fait qu'en matière de séduction, c'est votre définition du tact qui le fera monter dans votre estime ou non. Egalement doté d'un fort sentiment de justice, il ne supporte pas les inégalités et ce système corrompu, il ne se fera jamais acheter et ne gardera pas le silence, déterminé qu'il est à aider les vrais policiers, pas ces troufions mangeant des donut's, mais les vrais de vrais. Car en réalité, le rêve du stagiaire n'est pas d'être un journaliste, mais un détective, cependant, il sait très bien qu'il n'a pas le mental pour, il se rabat donc sur le journalisme, ni plus ni moins.

Passons maintenant à un autre de ses défauts: l'orgueil. Orgueilleux à l'extrême, perdre n'est pas envisageable pour lui, il doit être le meilleur dans tout ce qu'il fait, et si on lui dit que l'important est de participer, il vous répondra que ce sont des conneries en déclarant qu'on a bien vu ce qu'il se passe quand on ne gagne pas une guerre. De cela, il déteste également être critiqué, bref, son orgueil est pour ainsi dire la clé pour le voir partir dans une colère noire. En parlant de ça, vous vous souvenez que sa peur de la solitude le rend facilement manipulable ? Et bien son orgueil vient rapidement dire deux mots aux gens ayant profité de lui. Aldrick est donc du genre très rancunier. Enfin, au niveau amour, Aldrick n'est pas vraiment convaincu d'avoir réellement aimé qui que ce soit, car bien qu'il est facile pour lui de s'attacher à quelqu'un, il n'a tout simplement jamais chercher à aimer qui que ce soit. Toujours, il n'a cherché qu'à savoir l'histoire de son interlocuteur, mais jamais il ne s'est vraiment interessé à la personne, l'être. De ce fait, le garçon a toujours le sentiment de ne pas être normal, mais peu importe, il a encore toute la vie devant lui, et vivre, c'est la seule chose de réellement importante...

Famille :

Maya Maanwind:
La mère de Aldrick, elle est la gérante d'une grande chaîne de restaurants. Calme et intelligente, cette femme d'affaire de 45 ans aime beaucoups les membres de sa famille et paie les études et l'appartement de son fils, Aldrick lui a promis de tout lui remboursé lorsqu'il le pourra, mais cela n'est pas une priorité pour cette mère de famille. Elle semble inquiète par le fait que Aldrick vive à NY 2, d'ailleurs, lorsqu'elle est un peu trop anxieuse, il lui arrive de demandé à son fils s'il ne voudrait pas poursuivre ses études dans une ville plus tranquille, tout en sachant qu'il répondra toujours par un refus. C'est d'elle que Aldrick tient la teinte de ses yeux, ainsi que sa franchise et son enthousiasme. Son nom de jeune fille est Lorrison.

Wenzel Maanwid:
Père de Aldrick. Directeur d'un cabinet d'avocat, ce père de famille âgé de 47 ans est la plupart du temps sévère avec son entourage, jugeant les autres via leur réussite sociale, il met un point d'honneur à ne pas laisser Aldrick et sa soeur aîné être distrait et n'accepterait pas qu'ils échouent dans leurs vies autant affectives que sociale. C'est donc un père exigeant, et seul sa femme arrive à le calmer un peu, disant qu'il n'est pas nécessaire qu'il stresse ses enfants en plus de lui-même. Au fond, il ne veut que le meilleur pour ses proches, mais à une manière bien à lui de le montrer. C'est de lui que Aldrick tient son esprit justicier et sa détermination.

Diana Maanwind:
Soeur aîné de Aldrick, elle est âgé de 25 ans. Elle est depuis peu chirurgienne dans le domaine médicale et contrairement à son frère, fait très attention à son apparence. Victime de la mode, elle est donc toujours sur son 31, tout du moins, lorsqu'elle n'est pas en salle d'opération. Tout comme son père et son petit frère, sa détermination est inébranlable. Elle semble également être une séductrice et elle a déjà brisé bien des coeurs. Pour le moment, elle n'est guère interessé de trouver l'homme de sa vie, et se consacre exclusivement à sa réussite professionnel. Elle entretient un lien presque fusionnel avec sa mère et est très protectrice avec Aldrick, tant et si bien qu'elle juge si oui ou non une fille est assez bien pour lui. Niveau influence, c'est elle qui a rendu Aldrick plus sociable et lui a appris les rudiments de la séduction.

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Histoire :

Tout d'abord, précisons que dans cette histoire, il ne sera pas question d'enfance abracadabrante, de drame ou autre, loin de là. Aldrick a vécu une enfance tout ce qu'il y a de plus normale. Fils cadet d'un néerlandais et d'une américaine, le blondinet était dans son enfance un enfant rêveur et solitaire, il n'avait pas beaucoup d'amis, ou du moins, les enfants qu'il fréquentait n'étaient pas des amis à ses yeux. Il ne s'amusait d'ailleurs que très rarement, préférant au jeu les cours, non pas qu'il était un intello ou encore un être avide de savoir, mais bien tôt, il compris que les études, c'était important, autant pour son avenir que pour rende fier papa et maman. Cependant, il n'a jamais été un grand fan de ce que l'on peut apprendre à l'école, ni un génie de l'effort, donc, bien qu'il faisait attention à cela, il n'obtenait pas pour autant des notes superbes, ramenant la plupart du temps des 14 sur 20, parfois des 17, en gros, le genre gamin intelligent mais n'aimant pas faire trop d'efforts ou encore se faire remarquer. Il faut dire que le rôle de premier de la classe n'est pas des plus enviables, et Aldrick préféra celui du médiateur calmant le jeu lorsque ses petits camarades allaient trop loin.

Vers la fin du primaire, le jeune blondinet devint plus sociable, pas vraiment parce qu'il voulait se faire des amis, plus pour le fait que ses parents s'inquiétaient du fait qu'il s'amuse seul à faire le détective, avouez que voir votre enfant ne jamais demandait d'aller chez un ami ou d'en faire venir un ne vous rassurerez pas, hum ? Bref, le jeune garçon finit par plutôt bien aimer le rôle du gamin sociable et joyeux, si bien qu'au final, ce simple rôle devint sa réel personnalité. La vie continua, et un jour, ou plutôt, le fameux jour arriva. New York avait subit une attaque terroriste, ou quelque chose dans ce genre, heureusement pour Aldrick et sa famille, ils étaient loin de là. Ha, oui, je ne vous ai pas dit que le jeune enfant et sa famille vivaient à Londres, et bien maintenant c'est fait. Pour Aldrick, ce jour en était un comme les autres, ce n'était pas son problème, de toute façon, il n'était qu'un gamin, mais sa mère le vécut moins bien. En effet, la tante du gamin ainsi que sa grand-mère vivaient à New York. Mais les deux femmes avaient heureusement survécu, cependant, cet évènement amena la petite famille du garçon à s'envoler vers les Etats-Unis d'Amérique.

Se retrouvant largué au milieu de nul part, dans sa nouvelle maison, Aldrick était nostalgique de la Grande Bretagne, pas pour ses connaissances, plus parce que le trip cow-boy du texas n'était pas le sien, c'était plus un enfant aimant la ville, les veilles boutiques, donc finir dans un ranch avec des chevaux et autre vaches, ce n'était pas vraiment dans ses plans. Le temps passa, le blondinet était maintenant un adolescent se distrayant comme il le pouvait. C'est à partir de là qu'il se mis à apprendre divers arts martiaux en autodidacte, enfin, quand il ne faisait pas de l'équitation, tirait avec un fusil sur des bouteilles, aidait au ranch ou était en cours. Il vivait donc une vie qui pourrait être qualifiée de plaisante, mais Aldrick en avait légèrement ras-le-bol de cette vie la. Si bien que 2 ans plus tard, il partit loin de cette cambrousse, et se retrouva donc en internat dans une prestigieuse école, ses parents en ayant largement les moyens. Là-bas, il rencontra la plupart de ses connaissances actuel, ainsi que les premières filles de sa vie, bien qu'il n'en était pas amoureux, mais bon, dans cette période, ce n'est pas franchement les sentiments qui sont une priorité.

S'amusant donc comme il le pouvait, le jeune homme était devenu " le détective de l'école ", en effet, il aimait résoudre les affaires internes ou encore suivre les professeurs et élèves pour en savoir plus sur eux, pour vous faire une idée, l'exemple d'une Veronica Mars version garçon est envisageable. C'est aussi dans ce cadre qu'il devint doué en informatique, hackant un peu tout et n'importe quoi, bidouillant par-ci par-là, bref, il était vu comme le garçon fouinard du coin, et certains en ont profité, et c'est grâce à eux que la plupart des élèves ont compris qu'il ne faisait pas bon de manipuler le jeune homme. Il faut dire qu'il y a de quoi avoir la haine quand on vous vole votre matos et que vous êtes un geek, et quand le geek est un rancunier de premier ordre utilisant tout un mélange d'arts martiaux, les traîtres ont intérêt à ne pas se faire choper dans un coin. Bref, la direction n'apprécia pas vraiment le fait que Al casse quelques côtes, nez et bras, et le jeune homme passa par la case retour.

De retour donc dans la cambrousse peuplée de pecknos arborant des chemises à carreaux, Aldrick se vu remonter les bretelles, mais bon, ses parents n'étant pas du genre sévère et étant compréhensif, le jeune homme n'eu pas à s'en faire pour trouver une autre école. Cela dit, il ne se doutait pas que la ville dans laquelle il allait atterrir était NY 2. Se retrouvant donc dans cette ville plutôt malsaine vu les personnes y faisant la loi, Aldrick y continue ses études, et c'est d'ailleurs dans ce cadre qu'il devint stagiaire au NY Times, pour peut-être y avoir plus tard une véritable place de journaliste ou photographe. Maintenant stagiaire depuis environ 6 mois, il vit dans un petit appartement dans l'un des quartiers les moins craignos de la ville, et pour être franc, il s'y ennui pas mal, en effet, quand on est un habitué de la vie en communauté ( famille, ranch, internat. ) et que l'on vit soudainement seul dans un appartement, il y a de quoi ne pas être très emballé. Le blondinet n'a pour le moment pas chercher à trop se rapprocher de ses "collègues", et se contente de faire ce qu'on lui dit - ou presque - pour garder son "poste", bien qu'il s'amuse parfois à pirater les ordinateurs pour voir ce qui se trame dans cette ville, ou à boire un coup avec les employés pour ne pas mener une vie de solitaire. Actuellement, il passe la majeure partie de son temps de travail à assisté les photographes du NY Times.

Très bonne fiche! Un gamin naïf mais rancunier, c'est mignoooon!

Validée!