Reservoir Dogs
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 Miguel Riveira

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Miguel RiveiraMiguel Riveira
Garde du corps Alpha
Lost Dog


Cute Name? : Just try and I kill you, fuckin' asshole !
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Miguel Riveira Vide
MessageSujet: Miguel Riveira   Miguel Riveira Icon_minitimeMer 11 Fév - 20:37

Nom : Riveira Wright
Prénom : Miguel Angel
Surnom : Ren - ancien pseudonyme - , Renou, Miguelito, Chien Enragé. ( pas débile, non mais ! )
Age : 35 ans
Date de naissance : 24 Décembre 1973
Nationalité : Espagnole/Américaine
Statut : Garde du Corps - Clan Alpha


Description physique :

Un bon mètre 88, ce n’est pas à négliger tout de même, et vu que le Monsieur se tient souvent bien droit, fier et orgueilleux, il peut paraître plus impressionnant qu‘il ne devrait. Le métisse dégage une assurance peu commune, allègrement teintée d’arrogance et d’une pincée de sarcasme, ce qui se retrouve dans toute son attitude. Des gênes, il à tout hérité de la branche hispanique de son père et se retrouve donc avec une bonne épaisseur de cheveux aussi noirs que le charbon, laissant des mèches couvrir une partie de son visage sans s’en préoccuper plus que cela . Il veille cependant à ne pas les laisser trop pousser, il ne voudrait pas avoir l’air d’un hippie, ce serait le comble ! Aussi ils ne vont jamais plus loin que le bas de sa nuque.

Miguel possède un visage allongé et une mâchoire assez forte, indéniablement masculine, conservant toutefois une certaine finesse dans les traits, et cela grâce à ses yeux en amande, seul cadeau de sa mère. Couleur chocolat au lait, ils sont ourlés de longs cils ébènes qui soulignent ses pupilles, et accrochent naturellement l‘attention de ses interlocuteurs. Son regard pétillant n’est pourtant pas doux, au contraire, et si ce dernier exprime quelque chose ce sera plutôt de l’ordre de la provocation, du sang froid, de l’indifférence ou de la moquerie. Quand à ses fines lèvres, elles sont souvent étirées en sourire enjôleur qui ne manque pas de faire son petit effet auprès des dames. Il à le teint basané toute l’année, comme s’il avait doré au soleil quelques heures avant de croiser votre chemin. Cette pigmentation est due a ses origines, et il la cultive tout simplement parce qu’il passe la majeure partie de son temps en extérieur. Une petite touche exotique qui à son charme également, bien qu’ il semble désespérément inaccessible.

On dit qu’il ne faut pas se fier aux apparences… ce n’est pourtant pas ses tenues qui démentiront la première impression dégagée: ne voulant pas spécialement se faire remarquer, dans sa vie privée Miguel opte pour des jeans simples, et si on peut quelquefois le voir avec une chemise il préfère nettement les pulls confortables, qu’il troque vite contre des T-shirts larges dès qu’il fait meilleur. Certes, ses vêtements ne sont pas toujours bien repassés, et ses chaussures de cuir sont usées par la marche, mais au lieu de passer pour négligé ces détails ne font que souligner son éternel célibat.

Pendant les heures de travail, c’est une toute autre musique. Le garde du corps porte alors l’éternel costume sombre sur une chemise blanche, et une cravate noire légèrement détachée est glissée autour de son cou. Il ne supporte pas de la sentir lui enserrer la gorge. Pour que tout soit impeccable, il investit gros au pressing, de toute manière ce rang ne lui laisse pas le choix. Il prend d’ailleurs soin de se raser régulièrement afin de montrer une bonne image de lui dans le milieu, et ne voudrait plus se compromettre. Une montre a bracelet de cuir est glissée autour de son poignet droit, on pourra alors noter qu’il est gaucher. A sa main gauche se trouve une gourmette en argent qu’il ne retire jamais. Parfois, sur ce poignet, ou au creux de son cou, il met une touche d’eau de Cologne aux touches entêtantes.

Dans une même journée, on pourra le voir à plusieurs reprises la clope au bec, ou bien un cure dent entre les lèvres, quelque chose du genre. Ce qui pourra surprendre tout un chacun, c’est sa voix grave et rocailleuse qui ne siffle jamais rien au hasard. Telle une musique en boucle, elle se grave dans les esprits, refusant de les quitter pendant bien longtemps…

Description psychologique :

Pour en arriver à ce stade de carrière, la moindre des choses c’est d’être borné et persévérant. Riveira est blindé de ce côté-là. Plongé depuis son plus jeune âge dans la rue et ses méfaits, il n’à aucun scrupules concernant son job et s’en accommode parfaitement au contraire. Il est pourtant respectueux de certaines règles: les siennes principalement. Ensuite viennent les ordres du Boss, et puis basta, n’allez pas croire qu’il change facilement d’avis ou qu’il baissera la tête devant le premier venu.

Il est fier, d’un orgueil qui prend énormément de place dans son ego. Cette particularité peut se révéler un atout au moment de prendre les armes et d’intimider son adversaire, au moment de ne pas se laisser marcher sur les pieds et de trouver la volonté d’anéantir complètement ses opposants. Mais ce caractère de chien, disons-le, est également sa plus grande faiblesse. Les grands provocateurs savent que Riveira voudra toujours avoir le dernier mot, qu’il ne lâchera pas sa proie avant d’avoir gagné et qu’il voudra montrer qui est le plus fort à quiconque se dresse sur son chemin.

Autant dire que tout ça lui à apporté énormément d’ennuis au fil de sa vie, mais il à beaucoup de mal à se restreindre. Les mots empoisonnés glissent hors de sa bouche sans qu’il s’en contrôle, on peut dire qu’il est d’une franchise époustouflante et d‘une assurance démesurée. Toutefois il sait bien sûr se faire sournois, mettre en place quelques mensonges est toléré chez lui, si la situation le nécessite. Il devient alors monstrueusement hypocrite, sans ressentir la moindre gêne vis-à-vis de son comportement. Il n’y à pas si longtemps encore, on pouvait le qualifier de franchement grossier, irresponsable, présomptueux et cynique, tout cela allant facilement jusqu‘à l‘inconscience pure. Il est toujours ainsi, on ne change pas un homme après tout, mais l’adulte s’assagit tout de même avec l’âge. On se demande comment il se débrouille pour conserver son statut au sein d’un groupe aussi exigeant que le gang Alpha. Il y a encore nombre de défauts qui lui collent parfaitement à la peau, et notamment l’immoralité qui atteint des sommets dans son cerveau: aider son prochain ? Il ne connaît pas. Faire plaisir à quelqu’un, rechercher l’âme sœur ? Et puis quoi encore ? On n’est pas dans un roman romantique made in Cordeiro Père, là !

Tout ce qui compte pour lui, c’est sa petite personne. Il incarne l’auto centrisme à lui seul et décrocherait facilement le prix du plus grand égoïste s’il existait. Aussi, il ne faut s’attendre à aucun geste de sa part si ce n’est pas le biais de la négociation et des affaires : vous avez besoin d’un coup de main ? Il se chargera de vous aider pour à peu près n’importe quoi en échange d’une nuit de folie ou de liasses de billet. Ses méthodes déplaisent à quasiment tout le monde, il n’est donc pas très apprécié, hormis peut être par ses supérieurs qui ne trouvent rien à redire sur son efficacité. Miguel est corrompu jusqu’à la moelle, et rien ne le ferait changer. Qui pourrait avoir ne serait-ce qu’une once d’autorité sur son esprit infantile et individualiste au possible ? Mystère.


Dernière édition par Miguel Riveira le Mer 11 Fév - 20:38, édité 1 fois
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Miguel Riveira Vide
MessageSujet: Re: Miguel Riveira   Miguel Riveira Icon_minitimeMer 11 Fév - 20:37

Histoire :

J’avais 8 ans quand je compris que ma vie serait de la merde. Je ne m’en souviens pas bien, j’étais trop secoué à ce qu’il parait, j’avais juste pigé que ces types qui en voulaient à ma mère feraient pas de quartier. Alors je me suis caché dans un placard et j’ai retenu ma respiration. J’avais tellement la trouille que tout mon corps était refroidi par la sueur. Je ne pouvais qu’entendre les cris venant de la piaule. Putain, qu’est-ce que je pouvais y faire ? Ils m’auraient buté si je m’étais montré, ou m’auraient revendu à un réseau pédophile. J’étais lucide pour mon âge. Quoi qu’il en soit, j’attendis qu’ils en aient terminé pour me barrer, en courrant comme un forcené. Pour rien au monde je voulais penser à ce qu’ils avaient fait de Susan Wright. Franchement, qu’est-ce qu’elle avait derrière la tête, à partir seule avec son fils aîné pour le Japon, à se terrer comme un animal ? Je le saurais jamais. Je me rappelle à peine d’elle, et chaque fois que j’y pense, ce qui me vient à l’esprit c’est l’image d’une pauvre femme complètement à l’ouest, et qui sursautait toutes les trois secondes, comme si quelque chose la guettait. Ce fut pas elle, mais une jeune ensorceleuse qui m’éleva. Katsue qu’elle disait s’appeler. Une prostituée des bas-fonds en somme, qui se faisait passer pour une divinatrice auprès des touristes. Je l’aidais comme je pouvais à ramener du fric en revendant des trucs pas cool. Dans un premier temps, j’allais à l’école et puis, j’ai laissé tomber pendant le lycée, j’avais d’autres chats à fouetter.

- Miguel Angel… C’est très beau comme prénom. Ça te va mieux je trouve.

Son cœur s’était mis à battre un peu plus vite en l’entendant prononcer ces mots. C’était plaisant. Une des dernières phrases qu’Il ait prononcé avant de le quitter de nouveau, de le laisser dans cet appartement coquet, au cœur d’une cité nippone, avec ses hésitations, sa maladresse. Malgré les malentendus, les divergences, leurs chemins se croisèrent à nouveau. Miguel avait cru devoir tirer un trait sur cette histoire, mais le jeune russe avait tenu sa promesse. Ils se revirent alors, quelque temps plus tard, dans de meilleurs termes. Avant que tout ne dérape à nouveau. Étaient-ils condamnés à être séparés chaque fois un peu plus longtemps ?

Il faut pas croire, je me suis fait un nom là-bas à force. On me connaissait partout, si on voulait être au courant de quoi que ce soit, on venait me voir. J‘avais plus de nom, ou plutôt j‘en avais eu tellement que finalement, pour faire plus commode, on décida de me surnommer Ren. C‘est comme ça que Kat m‘appelait pour me dire à chaque fois que ses putain de cartes de tarot me prédisaient un avenir pourri, présidé par la Mort presque à chaque fois. C‘était tellement chiant qu‘à la fin je l‘écoutais même plus. J‘étais devenu un pro, un vrai mec quoi. J‘utilisais la gâchette mieux que personne, mais ce que je préférais c‘étaient les lames de toute sorte. C‘était ce que j‘utilisais quand on me proposais quelques jobs. Je refusais jamais. Ma réputation était sans faille, et elle le resterait ! Pas comme si ma petite histoire avec une prof de littérature allait parvenir aux oreilles de quelqu‘un. Personne le croirait, et pourtant c‘était ma première histoire sérieuse. Elle était sympa, très douce, et d’une gentillesse et d’une générosité à faire pâlir Jésus Christ. Évidemment, elle ne savait rien de ma vraie vie. Bon, finalement, comme n‘avait cessé de me le répéter ma tante chérie, ça s‘est mal terminé. Très mal même. Elle s‘est suicidée en fait, comme ça, dans sa salle de cours. Je sais ce que vous pensez hein, elle préférait crever plutôt que de m‘avouer qu‘elle voulait plus de moi ! Et ben ça n‘a rien à voir. Elle était déjà dépressive quand je l‘ai rencontrée, traumatisée par le décès de son mari. C‘est la vie. Je m‘en suis remis bien sûr. Je ne suis plus parvenu à me lier à ce point, jusqu’à ce qu‘Il fasse son apparition, ce petit chef de police.

Il aurait tout fait pour arrêter le cours du temps, le renverser et faire changer les choses. Impossible. Impensable. Miguel conduisait rapidement, slalomant entre les véhicules du boulevard bondé en cette nuit de fêtes hivernales. Au diable les feux et les priorités, une seule chose lui importait: arriver le plus rapidement possible à l’hôpital. Sur le siège arrière du véhicule, une silhouette immobile était étendue. Le sang s’écoulait abondamment sur le tissu de qualité, répandant une odeur qu’il ne naissait que trop bien. Ce soir, elle serait synonyme de désespoir. Bordel, il allait pas mourir juste là, comme ça ! La balle avait perforé l’arrière du crâne, mais, miraculeusement, le blessé grave avait encore un pouls. Les battements étaient faibles, mais ils étaient bien là. Dire que tout ça était entièrement de sa faute. L’espagnol ne se le pardonnerait pas si jamais… il préférait ne pas y penser. La gorge serrée, ses yeux humides se posèrent sur son bras maculé de pourpre. Le bracelet en argent qu’il ne portait que depuis quelques heures tintait doucement contre le volant. Tic. Tac. Il semblait lui rappeler combien chaque seconde rapprochait l‘autre du décès irréversible.

Le blondinet est apparu dans ma vie aussi brusquement qu’il en sortirait, d’une manière inattendue et peu conventionnelle. Il nécessitait un renseignement, alors je le lui ai donné, je faisait pas de différence entre les agents de la paix et les mafioso, tout était bon à prendre. En échange j’ai exigé un coup d’un soir dans les toilettes de la boîte de nuit, ce serait le paiement, en quelque sorte. Malgré cette première approche difficile, nous nous revîmes. Encore. Et encore. Je l’ai une fois tiré d’affaires, je lui ai sauvé la vie même, j’en était trop fier. Et lui, était reconnaissant. Du coup on en est venu à partager des moments de plus en plus nombreux. Moi-même je ne voulait rien m’avouer, mais par delà mon mauvais caractère et les nombreuses crasses que j‘ai pu lui faire, je m’étais risqué à éprouver bien plus que je ne le pensait au départ. Et le comble, je m‘étais mis à lui susurrer des bouts de ma vie, méticuleusement choisis, au creux de l’oreille. On connut des hauts et des bas, le meilleur et le pire. Plusieurs fois. Jusqu’à ce qu‘Il en ait assez. Assez des infidélités, assez de me savoir plongé jusqu’au cou dans des affaires compromettantes. C’est qu’il avait un sacré esprit de justice ce moustique. Alors il partit. Je fut plus troublé que je n’ai pu le laisser entendre. Je venais tout juste de mettre la main sur le reste de ma famille qui subsistait encore. J'avais même trouvé mon véritable nom. A ce qu’il paraitrait, il était retourné chez lui, en Russie. Là bas il s’était fiancé, projetait même de se marier. Il n’à fait qu’une erreur: celle de revenir là où on s’était connus. Évidemment, je l’aurais pas laissé filer si facilement. De toute manière, il venait de se disputer avec sa chérie, c’était tout bénéfice pour moi. J’avais même tenté de changer pour lui, de devenir, en quelque sorte, quelqu’un de bien. M‘enfin. Au bout du compte, après une nouvelle séparation de quelques mois, on à été ensemble. Comme avant. Ça à duré quoi… quelques semaines ?

Le brun était venu, comme chaque jour depuis, lui rendre visite. Il avait rapproché la chaise pour s’asseoir près du lit, et avait longuement contemplé le corps endormi de son compagnon. Les paupières fermées, il avait l’air si paisible. Quelle farce ! La poitrine, rendue maigre par la prise de médicaments, le manque d’efforts, se soulevait tant bien que mal malgré tout. Il était si pâle, presque autant que les draps du lit. Depuis combien de temps se trouvait-il ici ? L’espagnol lui-même n’aurait pu le dire. Il avait perdu toute notion du temps, et ne parvenait que rarement à fermer les yeux pour dormir. Le plus souvent, il s’aidait d’une bouteille de vodka, à Son souvenir. Pathétique. Sa main serrait avec douceur des doigts blancs, inertes. A quand remontait la dernière fois où il avait pu contempler les yeux bleus du jeune homme, entendre sa voix reposante ? Tout remontait à cette tragique nuit de la nouvelle année. Miguel déposa un dernier baiser sur la paume, non loin d’une gourmette identique à celle qu’il portait. Il laissa longuement ses lèvres sur la peau douce, voulant en profiter. Je suis tellement désolé… Il ne pouvait rester plus longtemps. Il sombrait dans la colère et la tristesse, alors que l’acte de décès de son frère jumeau, nouvellement retrouvé, lui était parvenu. Il se devait de venger cet assassinat grossier, commandité par un grand gérant d’entreprise. Il devait à tout prix se changer les idées. Alors, non sans regret, il délaissa la main du russe, la reposant délicatement sur le matelas. Jetant un dernier regard à l’homme plongé dans le coma, il s’en détourna, ses talons claquant sur le carrelage propre du couloir de l’hôpital.

J’ai du l’abandonner. Je me sentais trop mal à ses côtés, pas la peine de me dire combien je suis lâche, je suis au courant. Je pouvais plus supporter de le voir dans cet état. Merde ! Je suis parti pour l’Amérique, essayer de retrouver celui qui venait d’abattre José. Mon propre frère, que je connaissais à peine ! J’avais la tête pleine de saletés, fallait absolument que je fasse quelque chose. Fallait que je me remette à me battre. A taper sur quelqu’un, a buter des gens. Je connaissais pas d’autre moyen de me défouler et d’oublier tout ce qui m’arrivait. Je savais que pour arriver à mes fins, fallait viser gros. Alors je me suis fait embaucher dans un gang, dans la nouvelle New York. De simple homme de main au départ, je suis devenu garde du corps du Boss en peu de temps. J’avais pas de temps de toute manière, ce connard de Fincher court toujours à l’heure qu’il est. Le chef est vraiment exigeant, j’attends que ça de toute manière. Au moins ici, on te pose pas de questions sur ton passé, on se contente de tes capacités et t‘as pas un seul instant pour souffler. Je ne peux quand même pas nier que parfois, ma poitrine se serre quand je me remémore certaines choses. Mais je ne peux pas me permettre de flancher, de commettre encore une fois des erreurs. La punition à été bien suffisante. J’en garde en permanence un goût amer dans la bouche qui m’empêche d’apprécier quoique ce soit. Il m‘arrive de penser à Lui, plus souvent que je ne le souhaite. Ça fait pourtant deux ans que je me suis barré, sans un mot. Il valait mieux que je me détache de lui au vu des faits. Il ne pourra pas protester de toute manière.




Famille :

Carlos Riveira, Père : 56 ans, Chef cuisinier à Los Angeles.
Susan Wright, Mère : Données inconnues.
José Riveira, Frère jumeau : Décédé à l’âge de 34 ans.
Rui Riveira, Demi frère : 23 ans, Données inconnues.
Nikolaï Khol, 30 ans : Ex petit ami.
Hannibal, 2 ans : Grand doberman au pelage noir et brun, très bien entretenu et éduqué, que ce soit pour rapporter le journal ou égorger un opposant potentiel.
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E.N.D.


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Miguel Riveira Vide
MessageSujet: Re: Miguel Riveira   Miguel Riveira Icon_minitimeJeu 12 Fév - 1:08

Fiche validée!

Tu resteras un chien débile jusqu'à preuve du contraire, ha ha!
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Miguel Riveira Vide
MessageSujet: Re: Miguel Riveira   Miguel Riveira Icon_minitime

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Miguel Riveira

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