Reservoir Dogs
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.


Welcome In Our World
Bon Niveau Requis

 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment : -45%
WHIRLPOOL OWFC3C26X – Lave-vaisselle pose libre ...
Voir le deal
339 €

 

 James Crowley

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
James CrowleyJames Crowley
Secrétaire des Alphas


Cute Name? : Jamie
How old are you? : 29 ans [18/11/1982]
Messages : 13


Encounters
Links To Others:

James Crowley Vide
MessageSujet: James Crowley   James Crowley Icon_minitimeDim 25 Oct - 1:02

{. Fiche


< What About Me ? >



James Crowley 2w66l8g Nom : Crowley
Prénom : James
Surnom : Jamie
Age : 29 ans
Date de naissance : 18 Novembre 1982
Nationalité : Anglaise
Statut : Secrétaire Alpha

< MY LOOKS >

On me dit souvent que je suis beau. Je ne vois pas pourquoi. Qu’est-ce que la beauté en somme ? Quelque chose d’assez superficiel non ? C’est agréable à l’œil, ce n’est qu’une apparence et au fond, on a beau dire que je suis beau, on ne me connait pas. Etre beau, est-ce donc avoir un visage symétrique, sans trait qui irait à l’encontre de cette parfaite symétrie ? Mes yeux sont bleu cobalt. C’est une jolie couleur, je l’admets. Tous deux sont à la même distance de l’arête de mon nez et ce dernier est fin et droit. Pas trop gros, ni piqué, juste ce qu’il faut. Les narines aussi sont à la bonne taille. Ma bouche n’est pas pulpeuse et donne envie d’être embrassée. J’ai également de bonnes pommettes, un peu creuses. Quand je souris, j’ai des petites fossettes. Ca a son charme. Mes dents sont d’un blanc éclatant, je les brosse trois fois par jour : une fois le matin, le midi, et le soir. Oui, on pourrait dire que je suis agréable à regarder…

Mes cheveux à présent. D’un noir ébène, ils sont courts et partent dans tous les sens. Ce n’est pas tant un effet esthétique que j’ai souhaité appliqué, mais juste une crinière naturellement indomptable. Le gel aide, certes, mais cela me donne un air stupide. Les cheveux gominés en arrière, non merci. Je préfère largement les laisser au gré du vent, et ils ne s’en portent pas plus mal. Malgré le fait qu’ils soient en bataille, ils n’en sont pas moins soyeux au toucher, et brillants. C’est que j’aime en prendre soin, tout comme j’aime prendre soin de moi.

Passons à ce qui se trouve en dessous. Un cou droit, fin, avec une pomme d’Adam démontrant que oui, je suis un homme. Ma peau est pâle, héritage des britanniques qui, n’ayant pas accès aux rayons du soleil, n’ont jamais bronzé et ne sauront jamais bronzer à présent. J’ai une peau délicate, laiteuse, qui rougit si trop exposée au soleil, astre que je déteste par la même occasion. Je suis plus ou moins bien bâti, plutôt grand, et fin. Mais il ne faut jamais se fier aux apparences. J’entretiens mon corps comme il se doit, et même si je ne suis qu’un secrétaire, je sais me défendre à mains nus. Mes mains sont loin d’être de délicates petites choses, et je n’hésite pas à user des poings pour frapper. Mais je suis bien proportionné partout. Oui, même là, en bas.

Côté vestimentaire, je porte toujours la même chose, du moins au travail. Chemise blanche, cravate, pantalon noir, ceinture, chaussures noires et cirées. Parfois une veste. Telle est ma tenue de travail. Pour ce qui est de mes tenues en dehors du travail, c’est à peu près la même chose, en rajoutant des pulls, ou bien des polos en été. Tout dans la sobriété, pour passer inaperçu. Je suis un simple secrétaire, tout ce qui a de plus normal. Excepté que je suis le secrétaire d’un des gangs les plus affreux de la ville. Et je suis encore mieux payé pour ça.



< MY PSYCHOLOGY - OR WHAT THEY SAY ABOUT ME >

Maria, 24 ans, ex petite amie

James ? Il est étrange, un peu lunatique parfois. Oh, il sait être très charmant quand il le veut, surtout s’il vous veut quelque chose mais parfois, je le trouve un peu inquiétant… Il est toujours en train de travailler, sans relâche. Pour qu’il consente à sortir quelque part avec vous, il faut vraiment le forcer ! Un vrai bourreau du travail. C’était ennuyant à la fin. Et il ne sait pas vraiment s’amuser… Oui, danser parfois, boire un peu trop, mais je crois ne l’avoir jamais vu prendre un fou rire. Il sait sourire, ça oui, un sourire parfait, avec ses dents alignées. Mais dans sa tête, est-ce qu’il sourit aussi ? Je me suis toujours posée la question. Sinon, il était un très bon petit ami, très serviable. Il faisait les corvées et la cuisine quand je le lui demandais, et dieu qu’il cuisine bien ! Et puis il sait se montrer attentif… Quand il le veut. Il avait des sautes d’humeur parfois, je ne sais pas vraiment si c’était à cause de son travail ou autre chose. Quoi qu’il en soit, nous ne nous voyons plus à présent. Même pas en tant qu’amis.

Richard, 31 ans, ancien collègue


Ahh, Crowley. Je me rappelle bien de lui. Un bon petit gars, toujours là pour vous si vous en aviez besoin. Il était toujours extrêmement sérieux, mais savait se détendre quand il le fallait. Par contre, il était parfois absent plusieurs jours d’affilée au boulot, et sautait parfois un ou deux jours, sans explication apparente. Même si je l’aimais bien, je dois dire qu’il y avait quelque chose d’étrange chez lui. Toute la gente féminine était folle de lui cependant. Peut-être à cause de ce petit truc mystérieux qui planait autour de lui ? Qui sait ?

Miranda, 89 ans, voisine


Mon voisin ? Il est étrange. Très étrange. J’entends des bruits bizarres parfois provenant de chez lui. Je ne sais pas ce que c’est. Et lui… il est fou. Je le sais. Tout le monde pense que je suis sénile et que je raconte des bêtises, mais je connais sa vraie nature ! Vivre à côté de lui me fait peur, alors je me fais toute petite quand je l’entends sortir de chez lui. Moi je vous dis, il n’est pas net ce jeune homme. Il crie parfois dans la nuit, se tape la tête contre les murs, j’en suis certaine. Et puis, il sort à des heures pas possibles ! Et il ramène tout le temps des femmes, et même des hommes chez lui ! Non, non… Il n’est pas net. C’est un individu dangereux. Il doit tremper dans des affaires louches. Non, vraiment pas net. Et puis il a des ces comportements étranges ! Je refuse toujours qu’il m’aide à porter mes sacs de course, je vois à travers son sale sourire hypocrite ! Ce n’est qu’un hypocrite qui cache son vrai visage ! Pas net, pas net…


< MY FAMILY - REALLY ? >

Aucune - Orphelin depuis toujours
Élevé à Leicester à l'orphelinat Saint Joseph


Password = Validé!
Revenir en haut Aller en bas
James CrowleyJames Crowley
Secrétaire des Alphas


Cute Name? : Jamie
How old are you? : 29 ans [18/11/1982]
Messages : 13


Encounters
Links To Others:

James Crowley Vide
MessageSujet: Re: James Crowley   James Crowley Icon_minitimeLun 26 Oct - 15:54

{. Histoire


    < BLOODY HELL >


    C’était la nuit du 31 décembre 2001. Il venait tout juste d’avoir ses dix-neuf ans, lui qui habitait le sol américain depuis un an environ. Il avait besoin de changer d’air, de s’éloigner de la ville où il avait été élevé depuis sa naissance. Besoin de s’éloigner, d’oublier une courte partie de son histoire. Mais les oublis, ça le connaissait. Là n’était pas le sujet cependant. Oui, la nuit du 31 décembre fut terrible pour certains. Il avait vu les flashs à la télévision le lendemain, alors qu’il décuvait tranquillement dans son coin. Des séquences vidéo de la nuit dernière. Une ville consumée par les flammes. Partout, des gens pleuraient, criaient. Au sol parfois, on pouvait apercevoir des lambeaux de chair. Ames sensible s’abstenir de regarder ces vidéos. Il y avait des témoignages de personnes complètement hébétées, qui n’arrivaient pas à aligner deux mots correctement. Lui, allongé sur son canapé, s’était relevé, une bière à la main pour faire passer sa gueule de bois. Ses yeux bleus cobalt restaient fixés sur ce qu’il s’était passé la nuit précédente, alors que lui se saoulait la gueule joyeusement. Il s’était demandé comment cela avait-il pu être possible, comment est-ce que cela avait-il pu arriver ? Presque fasciné, il était resté devant sa télévision à regarder les infos de toutes les chaînes qu’il possédait.

    Une sorte d’excitation malsaine avait grimpée en lui. Les raisons lui étaient inconnues. C’était comme si toutes ces années, il avait attendu qu’un tel évènement se produise. Toute sa vie n’avait été qu’un long moment insipide, plat. Jamais rien ne s’était passé, ou presque. Et là, un tel traumatisme frappait toute la face de la Terre. Allaient-ils entrer en guerre contre l’ennemi ? Il l’espérait. Cela mettrait un peu de piment dans sa vie. A vrai dire, ce jour-là, il eut comme une sorte de révélation. Ce dont il avait besoin dans sa vie, c’était de l’action, bouger. Faire en sorte que sa vie ait un sens, lui qui avait été rejeté par ses propres parents.

    Oui, voilà ce qu’il ferait à présent. Donner un sens à sa vie, même s’il allait dans le mauvais sens.


    < THE BEGINNING >


    Il était venu au monde vers la fin de l’automne. Les feuilles couleur érable se décrochaient d’elle-même des branches pour prendre leur envol, glissant avec lenteur, se balançant dans le vide, jusqu’à arriver sur le sol, délicatement. A l’orphelinat, on recevait des enfants tous les jours. Des jeunes filles enceintes trop tôt, c’était monnaie courante. Alors, sur pression des parents, elles déposaient leur nourrisson à l’orphelinat. Ce n’était pas une chose facile, loin de là. On se dit toujours que ce sera facile, avant que le bébé n’arrive. Après l’avoir tenu dans ses bras quelques minutes, avoir vu ses petits membres s’agiter, sa bouche se tortiller, il était dur de devoir le délaisser. Mais les jeunes mères y arrivaient. Oh, certaines ne pouvaient s’y résoudre, et gardaient leur enfant. Mais ce n’était pas le cas de James Crowley. Une erreur, voilà ce qu’il avait été. Bien sûr, chaque vie était précieuse, mais pour lui, la sienne n’avait aucune valeur. Si même la mère qui l’avait porté durant neuf mois ne voulait pas, et n’avait jamais voulu de lui, comment pouvait-il estimer sa vie ?

    Un garçon renfermé, qui n’allait pas jouer avec ses camardes, qui restait dans son coin sans rien dire, à lire ou observer. Parfois, les enfants l’embêtaient. On dit que c’est l’âge de l’innocence, mais ce sont bien les enfants qui jouent aux jeux les plus cruels. Et il en avait fait les frais. On lui déchirait ses livres, lui cachait ses affaires ou encore les jetait dans le feu de la cheminée, les soirs de Noël. Pourtant, il ne ressentait rien. Pas même une once de tristesse ou de colère.


    - Hé, regardez, c’est Jamie le rat !
    - Ouh, le rat ! Qu’il est laid et sale, il vit vraiment dans les égouts !
    - …
    - Hé bah alors le rat, on dit rien ? Aw, il va pleurer le petit ?
    - …

    Pleurer ? Il ne connaissait pas cela. Il avait beau se forcer parfois, il n’y arrivait tout bonnement pas. Qu’est-ce qui n’allait pas chez lui, franchement ? A l’orphelinat, aucun parent potentiel ne voulait de lui. Il ne souriait pas, n’essayait pas d’être aimable, et regardait toujours dans le vide. Personne ne désirait une poupée. Un enfant, c’était une sorte d’humain miniature qui criait et courait partout, qui donnait une âme à la maison, qui soudait une famille. Lui n’avait qu’une aura étrange, inquiétante. Plus les années passaient, plus les autres enfants s’acharnaient dessus, le traitaient de tous les noms. Mais un jour, tout cela s’arrêta. Il ne comprit pas pourquoi. Les autres le craignaient, l’évitaient. Ce n’était pas plus mal. Etait-ce parce qu’il avait grandi et était devenu le plus grand d’entre eux ? Il n’en savait rien. Tant mieux s’ils arrêtaient leur enfantillages. Lui n’avait pas le temps pour ça. Il voulait quitter l’orphelinat au plus vite, ainsi que ce pays, cette pluie, ce vent…

    Les feuilles tombaient avec cette lenteur apaisante. Il était temps pour lui de partir. Un sac à dos et une valise à la main, il remercia la directrice de l’orphelinat, ainsi que toutes les nonnes qui s’étaient occupées de lui toutes ces années durant. Il leur offrit des sourires courtois. C’était qu’il s’était développé ces dernières années, le James. On ne le reconnaissait plus, lui qui était si inexpressif auparavant. C’était du bon boulot. Depuis que ses camarades avaient arrêtés de l’embêter, il avait plus confiance en lui, osait plus. Mais au fond, il restait le même. Le même pauvre petit James Crowley que sa pauvre petite maman la catin avait abandonnée suite à une erreur avec le pitoyable capitaine de l’équipe de criquet.


    < IN THE MEANTIME >


    - Woah ! Qu’est-ce que tu fais là ? Tu m’as fais peur !
    - …

    Sur un couteau aiguisé, on pouvait y voir le reflet de la pleine lune. Ses rayons faisaient briller la lame, éclairant brièvement les endroits sombres de la cuisine. Devant le frigo, un enfant, âgé d’environ treize ans. En train de chiper un bout de fromage et de saucisson, probablement. Il s’approcha, armé de son couteau de cuisine. Pendant une bonne heure, il l’avait aiguisé. Il était facile de se couper avec à présent, simplement en frôlant la lame. L’air menaçant, il avait levé son bras et l’avait abattit. Un cri avait retentit dans la nuit. Une respiration sifflante, la sueur qui s’écoulait sur son front.

    - Dégage. Et laisse le fromage et le saucisson.
    - Ok… Ok… !


    Et le petit s’était enfuit en courant, laissant tout son butin. Dans le mur s’était fiché le couteau qu’il retirait à présent avec facilité, pour le ranger.

    < IN THE AFTERMATH >


    - Les passagers du vol BF7274 en direction de Washington sont priés de se présenter à la porte d’embarquement numéro 34. Je répète…

    Entre l’orphelinat et les cours, le jeune James Crowley avait également pris un travail à mi-temps, histoire de gagner de l’argent et de ne plus avoir à dépendre de l’orphelinat, à ses dix-huit ans. Et il avait réussi. Avec ses économies en poche, ses pièces d’identité et un gros sac de sport, il s’était présenté directement à l’aéroport, avait pris le premier billet lui permettant d’aller à Washington dans l’heure qui suivait, et s’était installé sur un siège en attendant, un café à la main. Il était maintenant temps de quitter cette ville pourri pour dire bonjour à sa nouvelle vie. Il avait réussi à obtenir ses A-Levels, sans trop de difficulté mais l’environnement des écoles publiques d’Angleterre n’aidait pas vraiment. Si seulement il avait pu entrer dans une de ces Grammar Schools… Mais c’était trop tard à présent. Autant ne pas regretter.

    Le vol avait duré plusieurs heures, mais s’était passé agréablement. Il n’était à côté de personnes, près du hublot, et la nourriture n’était pas plus mauvaise que celle de l’orphelinat. Arrivé sur le sol américain, il s’était fait contrôlé. Nul besoin de visa, et il se débrouillerait pour obtenir de faux papiers attestant de sa nationalité américaine. Il avait entendu dire que cela se faisait beaucoup, mais que cela coûtait également très cher.

    Là-bas, personne ne le connaissait, et personne ne semblait vouloir le connaître. Tant mieux en somme. Il commença donc un petit boulot de serveur dans un restaurant. Les mois passèrent. Une place de manager s’était libérée, et on l’avait désignée. A présent, il devrait aussi s’occuper de la comptabilité, des commandes et des autres employés. Plus de responsabilité, mais plus d’argent à la fin du mois également. Et puis, il était doué en calcul, et savait bien s’organiser. Avec lui, jamais aucun problème, et faire des heures supplémentaires ne le dérangeaient pas. Avec qui irait-il passer son temps libre de toute manière ? Mis à part sa voisine de palier qui n’arrêtait pas de la harceler, vieille bique qu’elle était, il ne connaissait personne. Certes, il y avait les coups d’un soir, les connaissances que l’on rencontrait lors de soirées arrosées, mais c’était tout.

    La vie s’écoulait, petit à petit. Il n’était pas plus heureux qu’auparavant. Juste totalement libre…


    < JUMP IN THE FUTURE >


    Même point mort, sauf qu’il avait changé de boulot, et avait aussi changé de ville. New York – 2 offrait tellement de nouvelles possibilités. Il s’était fait des connaissances, des vrais. Des mauvaise, mais qu’importe ? Ces temps-ci, il avait pas mal de problème, et pour oublier et s’oublier, on lui conseillait quelques médicaments précieux mais illégaux. Souvent, il était amnésique, et ne se rappelait plus de ce qu’il avait fait. C’était ennuyeux pour son travail, et on avait fini par le virer. Il en trouva un autre cependant, assez rapidement. Ils s’appelaient Alpha. Au début, il pensa que tout ceci n’était qu’une blague, mais son fournisseur lui assurait qu’il pouvait lui décrocher un job en tant qu’assistant du secrétaire. Tant qu’il arrivait à fermer sa bouche pour certaines choses, et fermer les yeux aussi. Et si les flics venaient chez lui, il devait se taire également. James était abasourdi. C’était une occasion qui ne se présenterait plus jamais. Autant la prendre, tout de suite.

    Et il avait accepté.

    Et cela avait marqué un nouveau chapitre dans sa vie.

    La suite est à vrai dire tout aussi inintéressante que le reste de son existence. L’ancien secrétaire avait disparu du jour au lendemain, et lui s’était retrouvé à occuper sa place vacante. Secrétaire des Alpha, ce n’était pas n’importe quoi. Il pouvait même côtoyer le chef de temps à autre. Ses relations avec le reste des membres étaient amicales, cordiales. On le respectait, et il respectait les autres. Pas plus de questions.


    < WHAT'S NEXT ? >


    Il est là, assis sur son bureau, derrière son ordinateur portable, à taper à une vitesse folle. Il doit s'occuper de tout, même des choses les plus insignifiantes, comme l'heure à laquelle doit passer le coursier pour récupérer les vêtements de Mademoiselle Smith au pressing. Une musique d'ambiance l'accompagne dans son travail, pour qu'il garde le cap. Il reste concentré sur sa tâche, et la porte de son bureau est verrouillée à vrai dire. Il y a une seconde porte cependant, menant directement au bureau de sa patronne. Au cas où elle aurait besoin de lui pour une affaire urgent. Mais il refuse d'être dérangé par une autre personne. Il a horreur de cela. De temps à autre, le téléphone sonne, et c'est une voix ferme qui décroche, demandant qui est à l'appareil, et pour quoi. Les dossiers s'empilent sur son bureau, il les classe, les range, n'oublie pas de mettre des étiquettes au cas où son successeur devrait venir plus rapidement que prévu. On était jamais à l'abri d'un accident ou d'un complot.

    En fin de journée, il rentre chez lui. Il prend une douche, fait à manger, enfile un pyjama, regarde les informations, lit un bouquin et s'endort. Tous les soirs, c'est la même chose.


    < FINISHED >
Revenir en haut Aller en bas
The TellerThe Teller
Admin
E.N.D.


Cute Name? : Tellie dear~
How old are you? : Who knows?
Messages : 514


Encounters
Links To Others:

James Crowley Vide
MessageSujet: Re: James Crowley   James Crowley Icon_minitimeLun 26 Oct - 17:28

Fiche validée Jamie!

On va pouvoir casser du Alpha, oh yeah! <3

Amuse-toi bien!
Revenir en haut Aller en bas
https://reservoirdogs.forumactif.com
Contenu sponsorisé



James Crowley Vide
MessageSujet: Re: James Crowley   James Crowley Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 

James Crowley

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Reservoir Dogs :: R E S E R V O I R D O G S :: ¤ PRESENTATION ¤ :: Alpha-