An Mcgee's

Invité

- Nom : Mcgee's
- Prénom : An
- Surnom : Angie, Anju
- Date de Naissance : 25 décembre
- Age : 22 ans
- Nationalité : Japonaise
- Alignement : Civil
- Statut : Etudiant en journalisme

- Description Physique :
De taille correcte d'un certain point de vue, mais d'autres diront qu'il est petit, il mesure 1m70. Une taille considérablement variable en fonction des talons qu'il met. Au niveau du poids, il pèse 56kg et il ne se prive pas au niveau des sucreries. Il possède une silhouette élancée et fine qui la démarque souvent parmi un groupe de jeunes filles. Sa peau pâle quasiment diaphane met en valeur ses lèvres fines rosées arborant souvent un joli sourire. Ses jambes sont longues et il n'a aucun complexe à les montrer. Ses cheveux coupés à la garçonne courent joyeusement sur son visage. Ses yeux sombres ne masquent jamais une lueur rieuse se promenant dans les prunelles. An a aussi de belles mains fines qui attirent souvent le regard. Toujours impeccable, personne ne peut dire qu'il ne prend pas soin de lui. Il n'est pas rare qu'il suffise de suivre dans les couloirs un parfum de fraise pour lui mettre la main dessus. La jeune personne cultive volontiers son air androgyne qui lui permet de se fondre dans bon nombre de rôles. Quant à sa garde-robe, il n'a rien à envier aux adeptes de la mode. Chaque jour, il arbore un style différent et il lui arrive de changer de vêtements 2 ou 3 fois par jour. Tout est toujours accordé selon son humeur et selon ce qui est prévu dans la journée. Vous pourrez la croiser en étudiante studieuse dans la journée et le soir, l'apercevoir dans une tenue plus provocante. Voici An tel que vous auriez pu le croiser avant. Mais en vieillissant un peu, il s'est calmé par rapport aux vêtements féminins même si pendant un an, il a du en porter plus que de raison. La plupart du temps, il opte pour des tenues plus de garçons, unisexes ou totalement informe. Fini les accessoires en tout genre qui vous donne une image cute. Choisissant de se fondre dans la masse, le petit brun se fait plus simple. Néanmoins, il lui arrive encore de passer les soirées à porter des robes ou autre mais c'est à caractère tout à fait exceptionnel. Délaissant son côté, enfant de bonne famille, il essaie tant bien que mal de s'affirmer.

- Description Psychologique :
Malgré la situation confortable de sa famille maternelle, An vit dans un appartement en centre ville que son oncle lui loue pour une somme dérisoire. il demande rarement de l'argent à ses grands-parents et préfère continuer les petits boulots, même si il a conscience qu'il faudra choisir à un moment. Indépendante, il ne compte que sur ses forces pour avancer et il est très rare de la voir demander de l'aide. An craint d'être considérée comme un poids, mais malgré tout, il n'hésitera pas à demander un coup de main à une seule et unique personne. Les rêves, l'amour, la justice, voilà des valeurs dans lesquelles il n'a plus foi. Lorsque vous avez grandi dans une telle vie, vous n'y croyez plus tout simplement. Pouvant être aussi bien douce et attentive que capricieuse et teigneuse, son caractère varie en fonction des situations, des gens et aussi de ce qui se passe dans sa petite tête. Très impliquée dans ses études ainsi que dans les tous petits boulots, qu'il fait, il a un très bon relationnel. Par exemple, se faire des "copains" ou des "copines" est très simple pour lui. Son ouverture d'esprit la pousse à parler avec tout le monde et de tout, bien qu'il lui arrive de couper une conversation selon l'attention que lui accorde son interlocuteur. An est quelqu'un de profondément loyal en amitié et malgré lui, en amour. Plusieurs fois blessé, il attend maintenant de trouver quelqu'un qui vaille la peine, mais il se trouve trop jeune pour chercher une relation totalement fixe. A vrai dire, l'idée de donner quelque part sa vie à quelqu'un commence à l'angoisser un peu. Bien qu'il ne sache pas de quoi demain sera fait, il a envie de profiter de la vie. Tel un papillon allant de fleur en fleur qui ne demande qu'à être capturé ! Depuis l'enfance, mais la mort de sa mère à son adolescence ayant accéléré les choses, il s'est toujours demandé, si la nature lui avait donné le bon corps. Après plusieurs mois de répit, les troubles d'identité d'An s'étaient stabilisés avant de reprendre de plus belle. Le comportement de Richard a eu un effet plus que négatif sur lui. Au lieu de laisser une certaine harmonie, il n'a fait qu'exacerber le côté railleur du petit brun. Laissant souvent échapper des moqueries, se moquant de l'impact de ses propos, il n'est pas en reste lorsqu'il s'agit de s'opposer à quelqu'un. Le gêner ? Nullement. Craindre les conséquences ? Encore moins. An ne cherche plus à s'impliquer avec les autres. Il ne fait pas d'effort pour entretenir des relations poussées. Il veut juste mener sa petite vie en comprenant le sens de son existence et sa place. Un être humain ou une poupée ?

- Histoire :

Le temps choisit les gens et les gens ne choisissent pas leur temps.

Alors que sur une toile rêche, des ombres chinoises se dessinaient, un corps dansait sur la scène. Sa peau aussi pâle que la robe de la Lune, ses cheveux courant sur son visage fin, ses mains graciles tenant un éventail, son corps cintré dans un kimono aux couleurs flamboyantes. Ses gestes précis se laissaient guider par le charme mélodieux des shimasen. L'audience retenait son souffle et lorsque le corps s'immobilisa, qu'une mèche glissa délicatement sur la joue à peine fardée de rose, il se leva d'un bond. Montagne de rocs d'où émanait une slave d'applaudissements. Un sourire retenu, la danseuse s'inclina remerciant humblement son auditoire. Petit pas sur petit pas, il disparut de la scène. Dans l'obscurité de la nuit reprenant ses droits, chacun se demandait s'il n'avait pas rêvé. Les lumières des bougies vacillaient sous le vent. Les spectateurs repus rentraient tranquillement chez eux, devisant sur la représentation. La jeune femme agenouillée sur un tatamis, les mains soigneusement posées sur ses genoux semblait attendre. Un vieil homme à la carrure trapue et aux cheveux blancs tels la neige entra. Malgré les signes du temps travaillant son visage, ses yeux noisette pétillaient de malice. Ses bras croisés derrière son dos paraissaient dissimuler un précieux trésor. A son entrée, la jeune femme avait relevé la tête. Ses grands yeux détaillaient l'homme avec crainte et respect. D'un geste brusque ce dernier lui tendit une enveloppe en murmurant un étrange « Bon anniversaire ». Lui adressant un regard décontenancé, car il n'était pas coutume de fêter un anniversaire dans leur famille, il prit timidement l'enveloppe. Le papier portait un seau officiel. Cela signifiait donc qu'il s'agissait d'un papier de la plus haute importance. Méthodiquement, ses doigts fins mirent à nu la lettre soigneusement pliée. La dépliant avec autant de cérémonie, les larmes vinrent à ces yeux. Suite à des circonstances exceptionnelles, sa demande de changement d'identité était acceptée. A 20 ans, il allait pouvoir enfin renaître. Les nuages des chapitres précédents semblaient s'effacer petit à petit... il disait adieu au nom de clan qu'il l'avait tant tourmenté et souriait avec légèreté à cet avenir qui se déployait sous ses pieds.

Lundi – Kinben Institut
A la première heure, une foule de jeunes filles et de jeunes garçons attendaient devant les grilles de l'institut. Le très privé institut accueillait ses nouveaux élèves prêts à continuer ou entamer leur scolarité dans l'établissement réservé aux enfants venant d'un certain milieu. Très privé signifiait aussi très sélectif. Par le compte en banque. Ici, les enfants avaient des parents aux statut professionnel enviable. Parmi les jeunes personnes, une petit brune vêtue de l'uniforme requis pour les élèves du cycle supérieur, - mocassins noirs, chaussettes noires enveloppant entièrement le mollet, jupe plissée des plus courtes noir, chemisier blanc et gilet sans manche blanc ainsi que la petite broche nominative avec nom de l'élève et classe en argent à porter sur le côté gauche - se tenait. De temps en temps, il lançait des regards autour de lui cherchant à savoir quelles personnes se trouveraient dans sa classe. Une classe un peu spécifique... Après leur diplômes, les élèves avaient la possibilité d'entrer dans des classes de théâtre et de musique. Ces classes ne prenaient que 20 élèves chaque année. 20 étudiants qui se destinaient à une carrière dans ces domaines. Le choix d'Angie avait été long et mûrement réfléchi, ainsi que poussé par sa famille maternelle. Les Sukieko avaient donné aussi bien des comédiens, des costumiers que des maquilleurs. Fidèles au kabuki, la famille avait racheté dans les années cinquante un théâtre traditionnel, qu'ils avaient rénové et entretenaient maintenant avec soin. Il s'agissait d'ailleurs du dernier théâtre traditionnel de la ville. Son grand-père confiant dans les capacités d'An le voyait déjà comme un brillant onnagata. Considérant que cela était toujours plus profitable que d'enchainer les petits boulots, le jeune homme avait accepté. Cet institut allait faire parti de sa vie pour un bon moment et c'était avec sérénité que la petite brune envisageait les évènements.

◊ Cherry Blossoms in winter ~

Résidence de la famille maternelle.
C'était un dimanche d'hiver. Tout était calme dans la résidence. Pourtant aujourd'hui, un événement important allait avoir lieu. Ses tantes l'avaient réveillé tôt pour le préparer. C'était assez inhabituel. Elles n'agissaient qu'ainsi lors d'une visite d'amis de la famille. Hors An avait rien entendu à ce sujet. Un kimono où quelques fleurs de cerisiers avaient été brodées. Des les cheveux des kanzashis. Un. Deux. Pas plus. Autant de préparations avait étonné le jeune homme qui n'avait dit mot. Pensivement, il observait le parc sous la neige. Ses 21 ans approchaient à petit pas et rien avait changé depuis qu'il était institut. Sa barque naviguait paisiblement sur le fleuve. À la maison, tout le monde avait remarqué la stabilité dont le jeune asiatique faisait preuve. Pour une fois, il semblait être vraiment bien dans sa peau et son grand-père craignait sincèrement les retombées de la nouvelle du jour. Le vieil homme s'approcha de son petit-fils. Sa main marquée par le temps se posa sur son épaule. An bougea légèrement sa tête, intrigué. Ses lèvres s'étirèrent doucement en un simple sourire. Son grand-père ne savait comment s'y prendre pour lui parler. Car aujourd'hui, les invités venaient tout particulièrement pour lui. Restant le plus évasif possible, il lui demanda de bien se préparer que les personnes seraient bientôt là. Le jeune homme acquiesça sans chercher à en savoir plus. Plus tard dans la matinée, l'heure du déjeuner fut annoncée. An se rendit à la salle principale. Ce fut leur première rencontre. Ils ne s'étaient jamais rencontrés et son nom n'évoquait que des vagues souvenirs. Le jeune asiatique avait entendu parler d'eux de temps en temps mais ses connaissances étaient limitées. Son torse et sa tête s'inclinèrent poliment puis il prit place à côté de sa grand-mère. De temps en temps, il lançait des coups d'oeil interrogateur à son oncle. Ce dernier prenait d'ailleurs bien soin d'éviter son regard. Soudain, une voix s'éleva.

« - An, je te présente ton fiancé. »

Ses paupières battirent rapidement. Pardon ? Avait-il bien entendu ? Un sourire contrit se dessina sur son visage. Il devait bien y avoir une erreur. Cependant le silence suivant l'annonce n'avait rien de rassurant. Tout le monde semblait indiciblement appuyer cette affirmation. Est-ce que les autres étaient au courant ? Depuis combien de temps ? Les questions se bousculèrent dans son esprit mais la chose qu'il fut capable de murmurer fut.

« - Obasan... »
« - An, dis-toi que c'est pour ton bien. »

La réponse fut si sèche qu'il en sursauta. La situation d'An ne pouvait plus durer. Du moins était-ce que la grand-mère pensait. En tant que chef de famille, elle avait décidé de rompre le célibat de son petit-fils. Mais le problème était tout autre. Si son grand-père ne voyait aucun problème à son homosexualité, sa femme ne l'entendait pas de la même oreille. Durant l'adolescence, elle avait concédé la possibilité d'une recherche d'identité. Que son petit-fils était encore jeune et ne savait exactement ses préférences. Bien que secrètement elle espérait que la gent féminine le séduise. Le temps avait passé et An ne s'était toujours pas tourné vers les femmes. La situation commençait devenir gênante à ses yeux. An pouvait très bien aimer les hommes. Mais il fallait mieux que cela ne se sache pas. Si tout le monde pouvait même croire qu'elle avait une petite-fille au lieu d'un petit-fils, ce serait encore mieux. Quant aux Mcgee's, il leur fallait absolument un jeune homme qui puisse être androgyne. Pas question que les gens connaissent clairement ses goûts. Il n'était donc pas faux de dire que chacun s'était trouvé en quelque sorte. Ecoutant à peine l'entretien des adultes, An fixait nerveusement ses mains. Ses paupières légèrement baissées ne laissaient apparaître qu'une triste lueur. À part se résigner que pouvait-il faire ? Et ils ne se connaissaient même pas. Pourquoi lui faisait-on subir cela ? Pour les apparences. Pour sauver des réputations. A la fin de la journée, il n'avait échangé que peu de mots avec son ''fiancé'', Richard. Alors qu'il s'apprêtait à partir, ce dernier confia à An que dans une semaine, il s'envolait pour la Californie. An le suivait bien sur en tant que fiancé.

Invité

Appartement de Richard – San Diego
Adieu Japon. Bonjour Californie. Le voyage avait été particulièrement pénible pour An qui s'angoissait d'être dans un pays dont il parlait mal la langue. Mais l'immersion ne pouvait avoir que du bon. Du moins, l'espérait-il. Richard possédait son propre appartement situé dans un quartier paisible de San Diego. Il étudiait le droit et bien sur, le petit brun n'avait pas osé lui demander plus d'informations de peur d'être totalement perdu dans les explications. Richard avait été déçu mais il espérait beaucoup de leur cohabitation. Si les premières semaines furent très agréables. Très vite, sa vie devint un enfer. Tout devait être fait selon ce que l'autre jeune homme avait décidé. Il emmenait An dans des restaurants sans savoir ses goûts, lui imposait des tenues et filtrait soigneusement ses connaissances. La première semaine, An se tut. Toutefois, il ne garda pas longtemps son calme. La goutte d'eau qui fit déborder le vase fut l'inscription forcée à des cours d'italien et d'anglais. Lui était déjà parfaitement bilingue et il estimait donc que ''sa futur épouse'' devait l'être aussi. Ce n'était pas comme s'il avait eu réellement le choix. S'il ne se présentait pas en cours, ses professeurs avaient la délicatesse de prévenir Richard. La crise commença donc. À chaque décision de l'homme, le japonais refusait. Il avait décidé de faire chambre à part et n'échangeait que peu de mots avec son futur compagnon. Comment vas-tu ? Bien et toi ? Bien, merci. Le petit brun partait de bonne heure et revenait le plus tard possible. Il ne supportait plus l'atmosphère oppressante du foyer. Eprouvant le besoin de s'intégrer, il trainait le plus souvent sur le campus de l'université. Ce fut là qu'il rencontra Owen et Melissa. Tous deux arrêtaient les personnes pour leur poser des questions. Bien sur, An se fit interpelé et ne résista pas à leur ce qu'ils faisaient concrètement. Melissa lui avait répondu avec enthousiasme qu'ils réalisaient un sondage pour le journal de la fac. Préférant sécher ses cours de langues, l'asiatique leur avait demandé s'il pouvait venir voir comment se passait la réalisation. Si Owen parut réticent, la jeune femme accepta immédiatement et emmena An dans leur bureau.

Ce fut le début d'une nouvelle tranche de vie. Il se prit de passion pour le journalisme et regretta rapidement de ne pouvoir suivre les cours. Malgré son côté peu sociable, Owen lui prêtait régulièrement ses cours. Cela lui permettait de savoir les sujets traités. Cela dura plusieurs mais mais Richard finit par apprendre qu'il passait tout son temps avec d'autres personnes et n'attendit pas pour se faire entendre. La sanction tomba. An ne pourrait plus sortir. Sonné par la décision, il n'avait rien trouvé à redire mais il n'en pouvait plus. Il n'était pas une poupée dont on disposait comme il voulait. Enfermé, le petit brun se consacra à sa correspondance. Ça n'allait pas fort du côté de son grand frère et lui remontrer le moral lui permettait d'oublier l'absurde de sa situation. Aux informations, on parlait régulièrement de la nouvelle New-York. New-York 2. An rêvait souvent de cette ville se demandant comment elle devait être. La sanction fut levée et l'asiatique retrouva une pseudo liberté. Niko lui avait fait part de son arrivée à New-York 2 et le petit brun réfléchissait à un moyen de partir. Un jour, il prépara ses affaires comme s'il se rendait en cours mais sa destination fut tout autre. An se rendit à l'aéroport et prit le premier vol en direction de la nouvelle Big Apple. Richard ? Qu'il aille au diable ! Une fois arrivé, le jeune homme prit contact avec son grand frère adoré et s'installa chez lui. Et bien sur, dès que les inscriptions commencèrent, il s'inscrivit en journalisme à la fac. Toutefois, il resta en contact avec Melissa et Owen qui lui promirent de lui rendre visite un jour.

- Famille :

Nikolaï Kohl, 30 ans. Cousin éloigné mais grand frère de coeur. C'est la personne qu'An préfère le plus au monde. Ce n'est nullement exagéré. D'ailleurs pendant que d'autres devront supporter une facette épuisante de sa personnalité, il aura droit à la plus adorable. C'est la seule personne en qui An a confiance et à qu'il raconte tout ou presque. Sa présence l'apaise et il n'est pas rare de trouver le japonais blotti contre lui lorsque la déprime le dévore.

Richard Mcgee's, 24 ans. Fils de Jamie et Carlota Mcgee's. Il s'agit du fiancé d'An. Bien que le jeune brun ait jamais donné son accord, leurs familles ont décidé qu'il en serait ainsi. Homosexuel avec des parents qui ne l'acceptent pas, il juge qu'An est sa 'parfaite petite fiancée.' Capable de tromper facilement les autres. Obsédé par les rumeurs et le quand dira-t-on, il a enfermé le japonais dans un train de vie confortable. Interdiction d'aller contre ses directives. Rien de bon ne pouvait en résulter.

Faust, 4 ans. Un chat mâle noir que son oncle lui a offert. Il semble détester presque tout le monde à part son petit maitre et Niko. En tout cas, s'il ne vous aime pas, vous finirez les mollets en sang. Faust n'est pas du genre à prendre des gants. Faust s'entend bien avec Pookie. Il préfère d'ailleurs dormir avec lui au soleil ou faire peur aux yeux plutôt que de lui chercher des noises.

J'adore la ficheeee! <3

Validé évidemment! J'ai hâte de voir tout ça! ^___^

*sleeping time now*

PS: La surprise, c'était un resto à nourriture moléculaire! Trop géniaaaal!!