Reservoir Dogs
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 Alicia A. River

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AnonymousInvité
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Alicia A. River Vide
MessageSujet: Alicia A. River   Alicia A. River Icon_minitimeMar 17 Mar - 0:01

    Nom : River
    Prénom : Alicia Amber
    Surnom : Alice
    Age : 26 ans
    Date de naissance : 13 novembre 1982
    Nationalité : Américaine
    Statut : Garde du corps d’Edward Cordeiro – Gang des S.F.U.

Description physique :
« Je ne suis pas comme les autres. Ne l’oubliez pas. »

Alice est plutôt loin du stéréotype de la femme garde du corps, austère, vêtue d’un tailleur très strict, ne souriant jamais et ne prononçant un mot que lorsqu’on lui pose une question. Non, la jeune femme n’est pas de ce genre là, physiquement. Relativement grande pour une femme, elle est fière de son mètre 78. Sa silhouette est fine et plutôt élancée. Mais son corps n’est pas pour autant dépourvu de muscles. Ce qui est d’ailleurs assez important dans son métier, car si elle se révélait molle et incapable d’efforts physiques, comment pourrait-elle assurer la sécurité de son protégé ? Elle est donc très vive et se révèle dotée d’une certaine force, non négligeable lorsqu’elle doit l’employer.

La femme stéréotypée aurait certainement les cheveux très courts, ou, à l’inverse, plutôt longs et retenus en une queue de cheval ou un chignon. Alice se situe entre ces deux extrêmes. Ses cheveux sont coupés au carré, et s’arrêtent au niveau du milieu de son cou. Une frange masque une partie de son front. Quant à la couleur de sa chevelure, elle n’est pas exubérante. Ses cheveux sont sombres, presque noirs, mais avec quelques reflets bleutés. Rien de plus qu’une teinture. Une autre extravagance, bien que minime, creusant un peu plus le fossé avec les aprioris. Ce n’est pas forcément un sujet qui lui tient à cœur, mais il faut dire qu’elle n’aime pas qu’on pense qu’une femme garde du corps doive ressembler en tout point à un seul modèle, dicté par des idées reçues.

Passons ensuite à son regard. Une chose que l’on peut rarement observer chez elle, pour la simple raison que ses yeux sont en permanence masqués par une paire de lunettes de soleil, souvent noire, ou d’une couleur sombre, tel que le bleu. Son regard est donc presque impossible à capter. Un atout non négligeable afin que personne ne puisse deviner ce qu’elle observe, ce qu’elle surveille. Il lui arrive pourtant d’enlever ses lunettes, en quelques rares occasions, dévoilant ainsi des prunelles d’un gris clair presque irréel, mais surtout glacial. Un regard inquisiteur, et qui ne reste jamais en place. Toujours observer, déceler les éléments inhabituels, s’attendre à une attaque. En permanence sur le qui-vive, son regard ne fait que confirmer son comportement. Après tout, qui, chez les Alphas, ne désirerait pas tuer le boss des S.F.U. ?

Enfin, sa manière de s’habiller est plutôt originale. Ce qui lui permet, d’une certaine façon de pouvoir se glisser, physiquement parlant, dans la peau d’une amie du boss par exemple, faire en sorte qu’elle ne semble pas être son garde du corps. Bien sûr, cela ne trompe pas toujours, ni réellement longtemps, mais cela peut se révéler une technique relativement efficace devant certains adversaires. Qui se douterait que cette excentrique assure la protection du boss ? Qui pourrait soupçonner qu’elle est tout à fait qualifiée pour ce travail ? Et même s’ils le savaient, montrer ainsi qu’elle était là, prête à agir, pourrait être considérer comme une forme de dissuasion. Ainsi, jamais on ne la verra vêtue d’un tailleur, à moins que cela ne soit nécessaire. Elle sera plutôt habillée d’un haut mettant en valeur sa poitrine – elle reste très féminine malgré son travail – et un pantalon, beaucoup plus pratique pour courir. Une de ses extravagances restera son collier façon collier de chat, avec une petite clochette. Bijoux dont l’attache est d’ailleurs très fragile, car il se détache facilement, au moindre léger coup ou si l’on tente de tirer dessus. Il ne manquerait plus qu’elle laisse une chance à l’ennemi de la supprimer.

Description psychologique : Détermination. Rapidité. Efficacité. Sang-froid. Autant de traits de caractère obligatoire pour ce rôle. Autant de traits de caractère qui lui correspondent à merveille.

« Où que vous irez, quoique vous fassiez, je vous suivrai, telle votre ombre. Ne tentez pas d’échapper à ma surveillance, vous n’y arriverez pas. Et si je meurs pour vous protéger, c’est que j’aurais accomplit ma mission jusqu’au bout, comme je le dois. »

Alice est d’une détermination sans faille dans la tâche qui lui a été confiée : protéger Edward, le boss des S.F.U. Tous les moyens sont bons pour réaliser sa mission, son travail permanent. Elle n’hésite d’ailleurs pas à se faire passer pour une autre. Prostituée, amie, aventure d’un soir, potiche, elle sait assurer tous les rôles. Car si Edward ne veut pas toujours d’elle et revendique sa liberté, il faut bien trouver un moyen pour qu’il accepte un tant soit peu sa présence. La jeune femme se prête donc régulièrement à un jeu de rôle, sans jamais perdre de vue son objectif principal. Tenterait-on de la distraire de toutes les manières, elle ne pourrait oublier ce pourquoi elle vit désormais : la protection du boss.

A vrai dire, la jeune femme a réellement été conditionnée psychologiquement par son père, depuis sa toute jeune enfance. C’est donc avec une vénération presque totale pour Edward, qu’elle assure sa protection. Vénération qu’elle n’hésite pas à mettre de côté lorsqu’il se doit. Rien ne pourrait la défaire de ce pourquoi elle est ici. On la voit souvent réprimander le jeune homme, lorsqu’il a tenté de s’enfuir ou a, ô grand miracle, réussit à échapper à sa surveillance quelques instants. Elle l’aime bien. Beaucoup même. Elle pourrait presque le considérer comme son petit frère – bien qu’il soit plus âgé qu’elle – si elle n’était pas investi de cette mission primordiale. Elle s’en sent d’ailleurs quelque peu fière, sans pour autant l’avouer ou le clamer tout fort. La discrétion est un atout non négligeable. Elle sait d’ailleurs « s’effacer » du paysage, faire en sorte qu’on l’oublier. Regard fuyant, lointain, ne semblant jamais se poser sur un objet en particulier. Et vêtements plus discrets que ceux qu’elle porte d’habitude. Presque un jeu d’enfant.

Très dure avec elle-même, Alice est sans pitié lorsqu’il s’agit de se juger. Elle ne juge pas tant les autres, mais tellement elle-même. Elle ne tolère pas son propre échec. Pas même la réussite d’une mission, si elle n’a pas été accomplie à la perfection. La jeune femme recherche sans cesse à être la meilleure dans son domaine. Pas une volonté d’écraser les autres. Juste le désir de l’impression d’avoir réussit. Des félicitations ? Elle n’en a que faire. Elle s’en moque éperdument. Elle ne cherche qu’à être fière d’elle-même. Ou plutôt, que son père soit fier d’elle, même s’il ne peut plus la voir désormais. Il n’est d’ailleurs pas rare de la voir s’autocritiquer, parfois se rabaissant même, mais tentant toujours de garder la tête sur les épaules lorsqu’elle se juge. Elle a tout de même tendance à faire très attention à ce qu’elle dit. Quelques talents diplomatiques peut-être. Bien qu’elle puisse se révéler aussi franche qu’hypocrite. En revanche, on ne pourrait jamais lui reprocher sa loyauté envers le boss, elle est totale. Incapable de lui cacher quoique se soit, elle lui parle sans détours. Peut-être un peu trop direct même.

Quant à la femme qui se cache derrière celle qui protège Edward, on pourrait presque dire qu’elle n’existe plus. Se dévouant corps et âme à sa mission, elle s’en négligerait elle-même. Elle est d’ailleurs très nerveuse, car toujours sur le qui-vive, prête à dégainer au moindre instant, à agir très rapidement. Elle n’est pourtant pas paranoïaque, et sait vivre même lorsqu’elle n’est pas aux côtés de son boss. C’est juste plus dur. Elle s’est tellement attachée à ce jeune homme que le savoir loin d’elle n’est pas toujours simple. Bien heureusement, elle peut avoir confiance en son collègue, l’autre garde du corps d’Edward. Cela lui permet d’ailleurs d’avoir une petite vie sociale en dehors du gang. Pas grand-chose. Suffisamment pour qu’elle puisse sortir de temps à autres, rencontrer de nouvelles personnes, retrouver des amis. L’autre Alice, celle qui n’a pas de mission, se révèle être une jeune femme très charmante, très souriante. Tantôt posée et calme, tantôt folle et exubérante, simplement faire attention aux personnes qui pourraient la remarquer. Elle ne néglige pas pour autant d’aller se défouler régulièrement grâce au sport, pour évacuer le stress. L’autre Alice aime vivre au jour le jour, ne rien prévoir. Car après tout, qui garantirait qu’elle serait encore là demain ?

« Et si je meurs, peut-être vous souviendriez vous un peu plus longtemps de moi, que si je n’étais partie une fois que je ne pourrais plus assumer ma mission. »

Une faille. Terrible faille. Comme elle en a honte. Honte de ne pas être parfaite. Honte d’avoir une faiblesse. Malgré tout, elle l’assume, du moins, envers le boss. Oui, Alice a une peur qui la mortifie. Celle d’être oubliée. Celle de n’avoir rien été, rien de plus qu’une femme de plus. Elle aimerait tant qu’on se souvienne d’elle, rien qu’un peu. Elle ne demande pas la gloire, ni les honneurs, ni les trompettes, ni les médailles. Juste un peu de reconnaissance, juste qu’on se rappelle qu’une fois, pendant quelques temps, elle aussi a assuré la protection du boss, elle aussi est morte pour lui. Comme son père autrefois. Juste qu’on sache qu’une Alice a protéger Edward dans ses jeunes années. Rien de plus.
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Alicia A. River Vide
MessageSujet: Re: Alicia A. River   Alicia A. River Icon_minitimeMar 17 Mar - 0:03

Histoire :

« A aucun moment de ma vie je n’ai été ‘normale’. Jamais. Ou presque. Fille de mafieux, c’était peut-être prémédité ? En tout cas, j’ai toujours été ‘trop’. Gamine, j’étais trop intelligente, trop studieuse, trop vive, trop masculine, trop passionné. J’aimais trop les jeux d’actions, j’aimais trop jouer à protéger quelqu’un des méchants. On m’a souvent dit que j’étais étrange, pas ‘normale’. Adolescente, c’était la même rengaine. Trop intelligente, trop rapide en brûlant les étapes, trop rêveuse et même trop protectrice. Jamais je n’ai été normale. Et alors ? »


J’avais une vie relativement normale et tranquille jusqu’à mes 19 ans, dans la mesure du possible avec un père dans la mafia. Moi-même, je n’étais pas non plus dans la norme. Très tôt, j’avais démontré un QI un peu plus élevé que la moyenne et des capacités d’adaptation à des situations différentes supérieures à celles des enfants de mon âge. J’étais peut-être un peu trop vive, et je m’intéressais certainement trop aux sports extrêmes aussi. Il faut dire que j’avais un modèle à la maison : mon père. Certainement pas le modèle idéale, dans le sens où l’on incite toujours les gens à se tourner du « bon côté », mais je voulais toujours qu’il soit fier de moi. Et qu’est ce qu’il pouvait être heureux lorsqu’il me voyait rentrer, avec des notes excellentes, en sachant que j’avais défendu quelqu’un, ou encore lorsqu’on envisageait de me faire passer une classe par exemple. Finalement, j’avais de bonnes aptitudes physiques, presque excellentes. Et je me révélais plutôt douée sur l’ordinateur.

Autant de capacités qui, mises bout à bout, faisaient de moi une personne différente, bizarre, supérieure à la normale. Mon père en était fier. Et je faisais tout pour qu’il le soit toujours plus. Je fus même acceptée dans les plus grandes écoles. Un parcours exemplaire. Le seul problème, selon ma mère, c’était mon envie permanente de rentrer dans le cercle fermé de la mafia. Je voulais faire comme mon père, pourquoi ne pas travailler avec lui, même. Ma mère s’y opposait très fermement. Je m’étonnais même qu’elle ait pu épouser un mafieux. L’amour ne se commande pas. C’était pourtant surprenant. Mon père, quant à lui, considérait que je devais reprendre son flambeau, si je le désirais. Et comme je le désirais, j’étais véritablement conditionné psychologiquement. Alors que je prenais de l’âge, il devenait un peu plus sévère, il m’en demandait plus, afin que je sois toujours au plus haut niveau. Il ne cessait de me tirer vers le haut, m’incitant à faire toujours mieux.

Mais tout changea alors que j’avais 19 ans. Deux évènements successifs survinrent, inattendus. Le premier ne me toucha que peu : l’explosion de New-York. La Big Apple, totalement rayée de la carte. Un choc. N’habitant pas là bas, je n’eus aucunes séquelles physiques. J’étais pourtant choqué, comme tous les autres américains, comme tous les autres citoyens du monde. Attaque terroriste ? Missile perdu ? Comment le savoir ? Nous étions tous plongés dans l’ignorance. Mais hormis le choc, la surprise, l’incompréhension, la vie reprit son cours, plutôt rapidement d’ailleurs. Il faut dire que nous n’étions pas réellement touchés, physiquement du moins.

En revanche, le deuxième évènement, qui survint peu après, me toucha au plus profond de mon être. Je me rappelais encore la discussion de la veille, avec mon père. A nouveau il m’avait expliqué « un jour viendra, où tu devras prendre ma place. Pas forcément aujourd’hui, encore moins demain. Mais un jour, ce sera à toi que l’on fera appel, toi, la digne fille de ton père. Je ne peux qu’être fier en voyant à quel point tu es prête. » Je l’avais écouté, les yeux pétillants, rêveurs. Je ne demandais que cela, travailler avec lui, pour le gang. Je voulais en faire partie, participer, même si ce n’était qu’à mon niveau, à un petit niveau. Tous mes espoirs furent brisés ce jour là. Il devait être aux alentours de 18h. J’avais terminé les cours, et je me baladais sur le campus. Je m’apprêtais à rentrer. Il faisait beau. J’allais pénétrer dans le bâtiment qui abritait la bibliothèque lorsque j’entendis une voix.

« Alice. Par ici. »

Je connaissais cette voix. Elle me fit frémir. Un ami de mon père. En général, lorsqu’on le voyait, ce n’était pas pour annoncer de bonnes nouvelles. Et le fait que se soit moi qu’il souhaite voir ne pouvait signifier qu’une chose. Un nœud se forma dans ma gorge, alors que j’approchais dans l’ombre du bâtiment.

« Jamais je n’aurais souhaité t’apprendre un jour cette funeste nouvelle. Je suis vraiment navré Amber. Vraiment navré. Ton père … Il … Ils sont tombé dans une embuscade. On a tenté de tuer le boss. Ton père s’est précipité pour le sauver. Il … n’a pas survécu. »

Je l’écoutais, absente me raconter le reste de l’histoire brièvement. Mon père. Mort ? Ce n’était pas possible. Pas lui. Il devait encore m’apprendre tant de chose. Je n’étais pas prête. Je ne pouvais pas vivre sans lui. Impossible ! Pas lui ! Pourquoi lui ?! Je ne voulais pas ! Il ne devait pas mourir. Pas lui ! Pas maintenant ! Pas mon père ! Je mis plusieurs minutes avant de fondre en larmes. Je n’avais presque jamais pleuré auparavant. Il ne fallait pas montrer ses faiblesses. Mais aujourd’hui, je n’avais plus de père, personne pour me juger durement, mais justement. J’étais désormais seule. Bien sûr, il y avait toujours ma mère, mais nous étions tellement différente l’une de l’autre. Je ne voyais que la perte de mon père. Mon modèle. Mon bienfaiteur. L’homme qui comptait le plus pour moi. Le seul homme qui ait jamais compté. Mon repère.

Tout alla très vite ensuite. Une fois la phase de semi-dépression passée, je tournais mal. Je commençais petite dealeuse. Deux ans. Deux années de pure galère. Forcément j’avais commencé à toucher un peu à la drogue, à l’alcool, à la cigarette. Et je ne fumais pas que de la nicotine. Il me fallut une rencontre brutale avec l’ancien ami de mon père pour que je veuille enfin m’en sortir. Discussion amère, parole cinglantes. J’avais compris que j’étais allée trop loin. Je ne respectais plus les volontés de mon père. J’étais devenue une espèce de coquille vide, ne survivant qu’avec difficultés. Amoindrie par la drogue et l’alcool. Je garde de mes années de galères et de bagarres plusieurs cicatrices. Il me fallut encore une bonne année avant de réussir à commencer à sortir de ce cercle vicieux. Beaucoup de déceptions. Beaucoup de désespoir. Mais aussi quelques moments de joies. Quelques moments d’espoir. Tout cela, grâce à mon nouveau mentor.

En même temps, je reprenais les études et le sport. Ces deux années de galères m’avaient fait descendre bien bas. J’avais pris plusieurs kilos, j’avais perdu beaucoup de muscles. Presque tout était à refaire. J’avais 23 ans lorsqu’enfin, je réussissais à m’en sortir. Je ne fis qu’environ une année en tant qu’homme de main dans la mafia. Enfin j’y étais parvenue. Enfin, mon rêve s’accomplissait. En général, les gens rêvaient de réussite sociale, dans des milieux plus glorieux. Pour moi, la mafia était tout ce que je possédais. Ma seconde famille, bien que je ne la connaissais que peu. Une simple année suffit à ce que je sois remarquée. Ils avaient pourtant été durs avec moi. J’étais tout de même la fille d’un homme qui avait passé 20 ans de sa vie à protéger l’ancien boss. Plus de 30 ans dans le gang. Ils n’avaient pas été tendres, bien au contraire. On m’en avait tellement demandé. Comme lorsque mon père était encore en vie.

A mes 24 ans, je fus investi d’une nouvelle mission. La plus importante qui m’avait jamais été confiée. Je me retrouvais propulsée au même rang que mon père, quelques années plus tôt. J’avais à ma charge la lourde responsabilité de la protection du boss. Je découvrais Edward. Véritable requin, qui se révélait changer de costume lorsqu’il n’était pas à la tête du gang. Un jeune homme comme un autre finalement. Rapports très solennels au départ, je le vénérais, le respectais comme personne. Je n’osais presque rien lui dire, en vérité. Mais rapidement, des rapports amicaux s’installèrent. Je n’aurais jamais cru pouvoir parler au boss ainsi ! Quelques moments de franche camaraderie, s’en était bluffant.

Aujourd’hui, cela fait 2 ans que j’assure la protection d’Edward. Un jeune homme un peu gamin, un peu stupide parfois. Mais un véritable boss. Un vrai. Mais je l’aime bien. Beaucoup même. Mélange de rapports amicaux, solennels et protecteurs. Un peu comme un petit frère. Mais en beaucoup plus sérieux. Car il ne faut pas oublier que je dois le protéger à tout prix. Je donnerais ma vie pour lui, comme mon père l’a fait, il y a 7 ans.

Famille : Alexander River, Père – Ancien garde du corps d’Edward et de son prédécesseur – Décédé.
Katy River, Mère – Assistante de direction – 51 ans.

[L'histoire était censée être meilleure. TT"]
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MessageSujet: Re: Alicia A. River   Alicia A. River Icon_minitimeMar 17 Mar - 13:31

Bienvenue, bienvenue!

Très belle fiche, que je valide! =D
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MessageSujet: Re: Alicia A. River   Alicia A. River Icon_minitime

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