Reservoir Dogs
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 Jack Alvarez

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Jack AlvarezJack Alvarez
Homme de main SFU
Dog #1


Cute Name? : Jackie
How old are you? : 39 años [26 de Septiembre de 1970]
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Jack Alvarez Vide
MessageSujet: Jack Alvarez   Jack Alvarez Icon_minitimeDim 25 Jan - 0:48

Nom: Alvarez
Prénom: Jack
Surnom: Jackie
Age: 38 ans
Date de naissance: 26 Août 1970
Nationalité: Espagnole
Statut: Homme de main - SFU

Description physique:

L’espagnol mesure un bon mètre 90 pour une corpulence de 84 kilos. Du haut de sa stature, il a tendance à devoir se pencher avec bon nombre de ses interlocuteurs pour paraître à leur écoute et peut donner l‘image d‘un quadragénaire gentillet. Ce n’est pas seulement un désagrément toutefois, au contraire, il passe ainsi plus facilement inaperçu. Un corps à la musculature bien développée est un atout dans le métier, ainsi, grâce à un entraînement quotidien, son torse est robuste, de même que ses bras et ses jambes. Il possède également de grandes mains capables de beaucoup de choses, et il va sans dire que lors d’une altercation il aura toutes les chances de son côté.

A le voir déambuler dans les rues, pourtant, on a tendance à penser que sa force lui sert plus souvent à faire du bricolage et du jardinage, qu’à tenir en joue un être humain. Il se déplace avec nonchalance, se cogne de temps en temps aux autres. Mains dans les poches, une cigarette entre les dents, l’air ailleurs, il pourrait avoir l‘allure d‘un type banal, plus négligé toutefois que la moyenne. Ses gestes peuvent être maladroits, lents, quand il ne voit pas l’intérêt de faire des efforts ou d’être sur ses gardes. Jack a gardé les caractéristiques des hispaniques et possède une peau qui bronze facilement, conservant une teinte mate toute l’année. Ses épais cheveux chocolat noir sont indisciplinés, ils retombent plus bas sur sa nuque, et couvrent des yeux noisette qui peuvent prendre des expressions différentes selon la situation. Le plus souvent, c’est pourtant un regard d’indifférence qu’il porte sur le monde, mais il sait se rendre intimidant ou sympathique au besoin. De légères rides commencent à se montrer au coin de ses yeux, attestant son âge avançant, mais il s’en moque. Son visage est allongé, les traits sont anguleux, taillant une mâchoire volontaire. Cette dernière est constamment piquetée d’un début de barbe dont il ne s’occupe que rarement.

Sa voix grave et rocailleuse conserve un accent ibérique, il à beaucoup de difficulté à s’en cacher: sa façon de rouler les « r » renseigne immédiatement sur son pays natal, de même que les expressions qu’il sort à tout bout de champ, parlant parfois sa langue maternelle sans s’en rendre compte.

Il ne fait pas plus attention à ce qu’il porte qu’au reste, et préfère les tenues les plus sobres, celles qui le rendent totalement anonyme dans la foule. Ainsi il ne porte rien de très spécial: des chaussures de cuir ternes, une vieille paire de jeans délavés, des chemises pas trop voyantes et pas trop repassées, tout cela lui convient. En été il n’hésite pas à porter des T-shirt larges et colorés et une casquette, comme les ados. Quand le temps se fait plus froid par contre, l’espagnol sort des pulls bien chauds de ses placards, ainsi qu’un long manteau noir, des gants, une écharpe, bref, la totale.

Une vilaine cicatrice, vestige d’une blessure par balle, se trouve sur son torse du côté droit, sous la clavicule. C’est celle que l’on remarque le plus sur son corps usé par les luttes. Le reste est parcouru de diverses marques, plus ou moins importantes.

Description psychologique:

Il fut un temps ou Jack était un homme souriant, plein de vie et d’enthousiasme, extraverti et sociable, toujours prêt à faire la fête ou a donner un coup de main à l’un de ses nombreux amis. Aujourd’hui, il est difficile de croire qu’il aie pu être quelqu’un qu’on qualifierait de normal. L’homme de main s’est effacé avec le temps; bien trop secoué, il s’est vidé de ses envies, de son désir, de ses sentiments. Il se dégage de lui en permanence une mélancolie indéfinissable, bien nichée quelque part dans ce corps de grand garçon. Une indifférence profonde l’a gagné, peu à peu, à rongé son esprit et à fait de lui ce qu’il est devenu: un être insensible à beaucoup de choses. La corruption, le sang, la souffrance font partie de son quotidien et ne le gênent plus. Il se prélasse dans ce bain morbide sans aucune conviction, suivant simplement les ordres. Et pour cela, il n’y à pas de limites.

L’espagnol à développé un sens aigu de la manipulation et l’utilise à présent en permanence, parfois sans même s’en rendre compte. Un faux nom donné à l’entreprise de location de voitures, une vie inventée et contée au passant qui lui tape la discussion. Ce genre de petite choses n’a pas d’importance à ses yeux, se fondre dans un moule fait partie intégrante son quotidien. Il sait donc parfaitement jouer la comédie mais, si jamais les choses devaient mal tourner, il n’hésitera pas à user de violence pour parvenir à ses fins. Toujours de manière soignée évidemment, de façon à ne laisser aucune trace, sauf quand un accès de folie le prend. Dans ces moments là, ça peut devenir vraiment dégueulasse, il veut mieux de pas traîner dans les parages.

Jack apprécie l’alcool sous de nombreuses formes, les bières fraîches et le vin rouge notamment, c’est peut être le pire de ses vices car il cède plus facilement à ses pulsions après avoir bu, et peut aller jusqu’à perdre le contrôle de lui-même une fois ivre. Ce n’est pourtant pas ce qui l’empêche d’arrêter, il préfère encore d’y noyer. La gourmandise est un autre de ses pêchés, il aime la bonne nourriture sous toutes ses formes, et plus particulièrement les plats épicés, les charcuteries, les fruits de mer, les pâtes, le chocolat et autres sucreries. Malgré tout, il à conservé une addiction secrète à la chaleur écrasante du soleil et à la mer.

Au contraire, les plats industriels, les boissons gazeuses et autres produits pleins de trucs chimiques sont à rayer définitivement de sa liste de courses. Il possède un don pour la cuisine, ce qui pourrait en surprendre plus d’un, mais n’a généralement pas le temps de s’y adonner. Son appartement est d’ailleurs à son image, désordonné et négligé, ce qui ne le dérange pas plus que ça. Rien ne lui fait plus horreur que la pluie, mais le pire sont les soirs de pluie. Jackie fuit l’hiver et le froid comme la peste, il est très frileux.

Ses contacts sont extrêmement limités. Il ne cherche pas à aller vers autrui, sauf quand il s’agit de se payer une compagnie pour la nuit, et il reste souvent à l’écart dans les réunions ou les discussions. Les gens vont et viennent, lui adressent la parole parfois. Quelques mots échangés, et puis ils repartent, sans même se douter d‘avoir discuté avec un assassin. Et l’homme de main fait en sorte que cela reste ainsi.


Dernière édition par Jack Alvarez le Mar 5 Mai - 19:02, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Jack Alvarez   Jack Alvarez Icon_minitimeDim 25 Jan - 0:48

Histoire:


Il naquit au coeur de l'Andalousie aux alentours des années 70, dans une ville nichée sur la Costa del Sol, paradis d'eau bleue et de soleil, de chaleur et de verdure. Coincée entre la mer méditerranée et les hautes montagnes de la Sierra Nevada, le climat était toujours doux, et rares étaient les jours où le ciel se couvrait pour faire tomber une pluie fraîche. Ici on gagnait sa vie en cultivant les champs aménagés à même les reliefs montagneux pour gagner de la place à l'intérieur des terres.

C'est ce que faisait Francisco C., espagnol de souche. Il embarquait le matin dans la vieille Citroën C15 cabossée, dont la couleur première, blanche, disparaissait sous des traces de boue, et ce père de famille passait ses journées là-haut à prendre soin des avocatiers, orangers, citronniers et amandiers. Il avait aussi quelques plants de fraises et de framboises, mais tout comme leurs voisins, c'était surtout les rangées d'oliviers qui primaient dans les champs, et quand venait le temps de la récolte tous s'entraidaient pour faire tomber ces petits fruits verts dans les filets étendus à terre.

Sa femme, Rosa, une andalouse aux long cheveux noirs, était entrée comme cuisinière dans une chaîne de restaurants très connue. Elle avait donné naissance à 2 enfants: d’abord une adorable petite fille, qu’on vêtit de robes et de rubans. Deux ans plus tard, c’était un garçon qui venait au monde, comblant de joie leur père, jusqu’ici seule présence masculine de a maisonnée. C'est lui qui choisit le nom du nouveau-né, et comme Francisco était un être bien à part, qui ne faisait jamais les choses comme tout le monde, il choisit au dernier moment d‘angliciser le nom précédemment choisi avec son épouse. Jacob se transforma donc en Jack une fois arrivé à la mairie. Peu entendaient ce genre de sonorités par ici, hormis dans les films tout droits importés d'Amérique, puisqu'on donnait aux enfants le nom de leurs aïeuls.

Jack grandit auprès de sa grande sœur, Elena, qui prenait parfois exagérément soin de son frère. Lui était gêné bien sûr, surtout quand elle le couvrait de câlins devant ses copains d'école, et il partait se réfugier dans les montagnes avec son père, prenant goût à la nature et au soleil. A la maison, sa mère lui enseigna la cuisine, tout comme à la jeune fille, et ils se prirent ensemble de passion pour l'art culinaire. Les enfants C. grandirent, leur expérience s'accrut dans le domaine, ils s'amusaient à inventer toutes sortes de plats qu'ils présentaient a leur parents en fin de semaine. Après des années passées à économiser la paie de leurs petits boulots, ils réunirent l'argent et parvinrent à acheter un petit local bien placé, non loin de la Playa Burriana. Jack avait alors 17 ans, il avait quitté l'école pour jouer au serveur et au cuisinier dans leur enseigne.

Il n’eut pas le temps de se rendre compte qu’il était amoureux. Elle s’appelait Lilia Stanford, jeune anglaise qu’il avait connue au collège, et qui passait le voir pratiquement tous les jours. S’écoulèrent par la suite des années tranquilles, il vivait son premier amour avec l’insouciance propre à la jeunesse, sans prendre garde aux signes avant coureurs. Un jour elle était là, l’autre, elle disparaissait sans plus donner de nouvelles. Son meilleur ami lui fit comprendre au bout d’un certain temps qu’elle était retournée dans son pays, se marier avec un homme qui lui était promis depuis bien longtemps.

L’espagnol vécut une période sombre, durant laquelle il se remit en question. Il ne comprenait pas, ne voulait comprendre ni croire à ce qu’il considérait comme une trahison. Son état empira avec les semaines, et il ne prenait aucune des mains tendues devant lui, préférant se réfugier, le soir, sur le toit d’un immeuble avec pour compagnie une bouteille de whiskey. Il aurait pu tourner la page, il n’y aurait eu aucune conséquence, si Elle n’avait pas fait sa réapparition. Le visage caché par un foulard et des lunettes noires, elle était apparue auprès de lui, sous les étoiles et les paraboles, en murmurant des mots d‘excuse. Troublé, la colère et la confusion se mêlant dans l’esprit alourdi par l’alcool, Jack ne parvint pas à contrôler ses gestes, sa force. Le corps mince de la jeune femme heurta une barrière rouillée qui céda sous son poids. Quelques secondes s’écoulèrent. Il ne réalisait toujours pas. De là haut, le serveur s’était avancé à pas lents. En contrebas, étendue dans une ruelle parmi les ordures, une silhouette désarticulée restait indéfiniment immobile.

Les conséquences de cette erreur furent immédiates. Pour le fiancé de Lilia, cela ne faisait aucun doute: Jack était coupable, bien qu’on n’eusse aucune preuve, bien que le cadavre demeure introuvable. Quelque jours plus tard, Elena s’évanouissait dans le néant. Personne ne pouvait assurer avoir remarqué quoique ce soit, mais une chose était sûre: jamais son frère cadet ne permettrait qu’on lui fasse le moindre mal.

Sachant pertinemment qu’il ne serait rien fait à l’andalouse tant qu’il n’aurait pas avoué devant la Cour sa culpabilité, le serveur rendit son tablier et partit pour la côte Ouest des Etats-Unis, en quête d’informations au sujet de la belle disparue. Il avait alors 21 ans, tout juste la majorité là où il se rendait mais plus rien n‘importait. Avant qu’il ne réalise, il se trouvait déjà jusqu’au cou dans les affaires glauques. Pour gagner sa vie tout en menant ses recherches, il n’avait pas hésité une seconde à pénétrer une organisation clandestine accompagné de José, son pote qui l‘avait soutenu jusqu‘au bout. Les mois s’écoulaient, ils apprenaient sur le tas, sans prendre le temps de réfléchir. De noires nouvelles finirent par leur parvenir d‘Europe: la mère de Jack avait été retrouvée chez eux, égorgée. Le père s’était volatilisé sans laisser de traces. Cela ne suffisait pas pour le décourager. Et il commença à changer.

Il ne comprit pas si la culpabilité qui le prenait aux tripes au début venait du sang dont ses mains se tâchaient, des cris étouffés de ceux qui prenaient ses coups, de la malhonnêteté qui s’incisait sûrement un chemin en lui, ou des nuits passées entre les draps de son supérieur sous un consentement teinté de mal-être, peut être était-ce tout cela à la fois. Quoiqu’il en fut, une fois dans le milieu, il n’en ressortirait plus et subirait une lente métamorphose. Ce serait comme un anesthésiant inoculé dans ses veines, et qui l’empêcherait bientôt de ressentir le moindre remord.

Les années passaient, et ses investigations ne menaient à rien de concret. Il ne vivait plus que dans ce but, La sauver de son kidnappeur, un certain Fincher qu’il ne connaissait que trop bien. Jack faillit perdre espoir, se laisser aller dans les bras de la mort qu’il évitait de nombreuses fois de justesse. Il ne prenait pas la peine de conserver des souvenirs, oublier était préférable. Le tueur ne pourrait cependant pas fermer les yeux sur l’écran de télévision quand il apprendrait la destruction massive de New York. Pas à cause de l’impact gigantesque de ce que cela représentait. Ce qui lui avait traversé l’esprit en revanche, c’était d’apprendre que certains de ses plus gros Informateurs étaient sur place au moment des faits. Dommage.

Il tissait une toile de plus en plus grande d’employeurs et de sources, mais aucun n’avait eu vent de l’affaire qu’il convoitait. Il avait à présent 30 ans, et sa vie se résumait aux missions qu’on lui confiait, le reste avait été laissé derrière lui. Il acceptait tout. Braquages, séquestrations, tortures. Meurtres. Il n’était plus le même, son ami ne cessait de le lui répéter, ce qui l’agaçait plus qu’autre chose. Leur relation se refroidit elle aussi, comme tout le reste. C’est l'année suivante qu’il croisa un jeune homme brillant, héritier d’un gang puissant. Edward Cordeiro. Ils passèrent de nombreux contrats ensemble, et une sourde confiance s’installa entre eux au fil des actions menées avec brio. Lui voyait ce lien comme une chance inespérée de grimper les échelons, de se hisser au sommet du crime pour La revoir.

Au bout d’un an, Jack quitta sans remords son employeur pour rejoindre les rangs de la SFU. Le dénommé Michael ne lui pardonnerait pas cet affront, mais il n’en avait cure. Il se rapprochait de plus en but de ce qu’il caressait. Et en effet, 24 mois plus tard, il obtenait enfin ce dont il rêvait depuis une éternité à présent. En sachant où se terrait Fincher, tout devenait soudainement plus facile. Cela aurait du être un succès. Jack libérant sa sœur faite prisonnière 10 ans auparavant, quittant la mafia pour aller s’installer avec elle dans un coin perdu, et vivre dès économies qu’il avait faites durant tout ce temps. C’était bien trop beau. Il y croyait pourtant, intensément.

Son rêve se brisa au cours de la mission la plus cruciale de sa vie, alors qu‘il était parvenu à s‘infiltrer dans la grande demeure, la retrouvant finalement au cœur d‘une gigantesque chambre. Il se remémore parfois encore ses propres pensées qui tournent en boucle dans sa tête, comme un disque rayé en musique de fond.

Elle, elle était là, debout près de moi. Rayonnante de beauté et d’apparats. Je lui demandai si elle allait bien, elle répondait que plus vraiment. La peur se lisait dans son regard, ce que je ne voulais pas. J’étais juste venu la chercher, la faire sortir de cet endroit où elle avait été emmenée de force. Elle me regardait en silence, méfiante. J’avais tellement été changé par la douleur et l‘alcool, par les années aussi, qu’elle ne devait plus reconnaître en moi le jeune frère qu’elle avait eu. Elle attrapa calmement un petit pistolet posé au fond d’un tiroir, et me braqua, s’avançant vers nous. Je ne prêtais plus aucune attention à mon otage. Elena me somma alors de lâcher mon arme et de quitter cette demeure. Je ne pouvais pas lui obéir. Arrivée face à moi, le métal appuyant sur mon épaule, elle savait que je n’appuierais pas sur la détente. Elle, le fit.
La douleur fut terrible pour moi qui n’avais jamais connu une blessure de ce genre, mais pas autant que celle qui me transperçait le coeur. Je fut conduit dans une pièce sombre. On retira la balle et pansa la plaie pour que je survive à ce qu’il allait me faire subir.


Le tueur à gages préférait ne plus penser au reste. Au terme de ces évènements, il comprit que José n’avait pas survécu aux tortures. Une punition, encore, pour avoir tenté l’impossible. L’apothéose restait à venir. Fincher avait compris que son rival ne lâcherait pas le morceau, jamais, et il avait agi en conséquence, se débarrassant de l’inutile.

La suite est classé confidentielle, mais demeure gravée chez l’espagnol. C’était le dernier tour de clé qui achèverait de fermer son être. Il avait perdu le goût des choses, et ne se souvient plus du temps où il souriait avec sincérité, où une volonté sans faille guidait ses actes. Alors, sans réelle motivation, il continuait son job, ne pouvant de toute évidence pas faire marche arrière. Jack faisait du bon boulot, on était content de ses services, on le payait grassement. Point.

Certes, il y aurait toujours cet homme qui lui en voudrait pour un malheureux accident survenu dans leur passé, il y aurait toujours des assassins engagés pour l’éliminer. Et bien, il attendrait simplement d’en trouver un à la hauteur, à moins que l’âge ne le rattrape avant. Pour l’instant, il s’en est sorti sans trop de mal, et ne sait s‘il doit s‘en estimer heureux ou déçu. Parallèlement Jack s’était laissé ballotter au bon vouloir de son boss, se foutant de là où il allait, de ce qu’il allait y faire, du moment qu‘il pouvait poursuivre ses propres intérêts. Voila pourquoi il se retrouve aujourd’hui a New York 2, avec un paquet d‘expérience dans le domaine et dans le gang. Il a obtenu le respect de ses collègues et peut être qualifié de professionnel. Son âge, loin de lui attirer des défaveurs, fait de lui une valeur sûre. Cela fait maintenant 4 ans que le dénouement à eu lieu. Cela fait 4 ans qu’il à tout perdu.

Famille:

Francisco C., père, porté disparu.
Rosa C., mère, decédée.
Elena C., sœur aînée, décédée.


Dernière édition par Jack Alvarez le Sam 28 Nov - 0:57, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Jack Alvarez   Jack Alvarez Icon_minitimeDim 25 Jan - 1:04

Très belle fiche, bienvenue numero uno~!

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MessageSujet: Re: Jack Alvarez   Jack Alvarez Icon_minitime

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