Reservoir Dogs
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 Matthew Coleman

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AuteurMessage
Matthew ColemanMatthew Coleman
PDG de Coleman Business


Cute Name? : ... Don't fuck with me.
How old are you? : 33 ans
Messages : 23


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Matthew Coleman Vide
MessageSujet: Matthew Coleman   Matthew Coleman Icon_minitimeSam 24 Jan - 19:14

Nom : Coleman
Prénom : Matthew
Surnom : Matt’, Mattounet
Age : 33 ans
Date de naissance : 11 Décembre 1978
Nationalité : Américaine
Statut : PDG de Coleman Business - Civils


Description physique :

De part sa grande taille, Monsieur Coleman laisse toujours une forte impression. En effet, il mesure aux alentours du 1m85 et sa coupe de cheveux lui permet de gagner quelques centimètres de plus, faisant presque croire qu’il fait 1m90. Il n’a pas un corps chétif, surtout pas ! Au contraire, ce Monsieur est bien bâti, pratiquant du sport et de la musculation pour garder un corps sain. De plus, dans cette ville plus que dangereuse, il est important de savoir se défendre. C’est pourquoi il a toujours quelque part une arme cachée. Son torse est puissant, ses jambes fines et musclées, ses mains calleuses. Tout son corps est d’une couleur pâle, comme s’il refusait de prendre des teintes plus dorées ou basanées. Peut-être a-t-il du sang nordique dans les veines, personne ne le sait vraiment. Son corps possède quelques cicatrices ci et là, rien de très grave.

Au niveau du visage, car c’est bien la partie la plus importante, on pourra remarquer tout d’abord que ses cheveux sont blancs. Couleur étrange qui lui attire souvent des regards de travers ou des sourcils arqués. Loin d’être de sa faute, cela est dû à une quasi-mort alors qu’il n’était qu’un nourrisson, chose qui sera expliquée plus tard, dans son histoire. Coiffés en arrière, ils font des piques un peu désordonnés mais qui ont un certain charme. La seconde chose que l’on remarque chez lui est sa cicatrice sous l'oeil gauche, parfaitement droite. Les yeux s’attardant sur cette dernière remarqueront par la suite ses yeux d’un noir profond, comme deux gouffres sans fin. Sombres, ils ne semblent pas exprimer grand-chose si ce n’est de l’indifférence, de la lassitude, de l’agacement. Son nez est bien droit, sa bouche fine et bien proportionnée. Mal rasé, cela n’atténue pourtant pas son sérieux et le renforce d’une façon bien paradoxale. Dernière petite chose, il possède deux piercings à son oreille gauche. Ce sont deux anneaux d’argent que sa femme lui a offert.

Passons à présent au code vestimentaire de Monsieur Coleman. Car c’est bel et bien un code pour lui. Il se doit en toute occasion d’être habillé de façon impeccable pour toujours donner la meilleure impression de lui à son entourage. Costume deux pièces oblige dans ce cas. Il en a de nombreux dans sa garde-robe, qu’ils soient de couleurs unies ou rayés, mais tous seront aux teintes sombres, préférant être discret et non excentrique. Quand il se rend au bureau, il aura le plus souvent une cravate assortie. Ses chaussures sont en cuir et toujours bien cirées. Une touche de parfum, une montre de luxe, et le tour est joué. Le voilà fin prêt à faire affaires avec vous.

Description psychologique :

Mais quel est donc le comportement de cet homme si doué en affaires dont on parle parfois dans les journaux ? Personne ne saurait réellement vous le dire. Il cache toujours son jeu, et semble avoir une longueur d’avance sur vous, même quand vous pensez l’avoir pris au piège. Manipulateur, il veut toujours avoir le dernier mot et est mauvais perdant, que ce soit pour un simple jeu ou en affaires. Sérieux, il ne semble jamais sourire, si ce n’est que poliment ou sarcastiquement. Les mots divertissement, joie de vivre ou repos ne semblent pas exister dans son vocabulaire, et il est ce qu’on appelle un bourreau du travail.

En effet, Monsieur Coleman semble indifférent à tout ce qui l’entoure si cela n’est pas en relation avec son travail bien-aimé, son seul vrai amour si l’on peut dire cela ainsi. Asocial, il n’a pas de réelles relations avec qui que ce soit, du moins plus maintenant. Il ne va jamais vers les autres, sauf s’il peut en tirer quelque chose. C’est que Monsieur est un insensible qui n’hésite pas à vous dire des choses blessantes si vous l’agacez trop. Il inspire la terreur au travail d’ailleurs, et tous ont peur d’être convoqué dans son bureau, sauf quelques jeunes encore téméraires. C’est à se demander s’il y a vraiment un cœur qui bat sous la poitrine du PDG. Mais il en existe bien un, dont il a fermé l’accès il y a bien longtemps de ça. C’est pourquoi personne ne sait réellement qui il est, si cela est un masque qu’il porte, ou s’il montre sa vraie personnalité.

Il a horreur du désordre, et fera toujours en sorte à ce que tout soit rangé et bien classé. Etre sa secrétaire n’est pas une tâche facile, mais il rémunère toujours généreusement les bons employés. Ne croyez pas qu’il est un bon samaritain, surtout pas. Un peu arrogant, il ne se laisse jamais marcher sur les pieds, et rend au centuple les coups qu’on lui donne. Il est fier, et il y a de quoi tout de même. Ambitieux, il est déterminé et fait toujours preuve de sagesse dans ses décisions, n’agissant jamais sur un coup de tête. On peut dire qu’il a bien les deux pieds sur terre.

Histoire :

Aujourd’hui, il ne se rappelait pas de ce douloureux moment. Trop jeune pour comprendre, trop innocent et naïf, il avait grelotté dans le froid pendant plusieurs heures, sans comprendre ce qui arrivait, regardant simplement d’un air émerveillé la neige qui tombait petit à petit sur lui. Ses bras s’étaient levés, et il avait gloussé de rire. Ses membres commençaient à lui faire mal, ou plutôt, il ne les sentait plus. L’instinct de survie le prit alors, et il poussa un long cri, une plainte que personne n’entendit. Il ne voulait pas qu’on lui retire la vie, alors qu’il venait tout juste de naître. Alors il pleurait, longuement, sanglotait, cherchant une chaleur invisible qui pourrait le réconforter. Et ce fut avec surprise qu’il avait sentit deux bras le tirer de la benne à ordures où il avait été posé, entouré de quelques draps sales. Ce fut avec surprise qu’il sentit une douce chaleur l’étreindre, et il rit de nouveau quand un visage inconnu mais souriant apparut dans son champ de vision.

Ca, c’est le tout début de l’histoire. Il ne s’en souvient pas, plus du tout. Qui peut se vanter pouvoir se rappeler le premier jour de son existence après tout. On lui avait juste conté cette anecdote, comme on raconte une histoire à un enfant. Recueilli par un passant, il avait été par la suite donné à un orphelinat où il put grandir et s’épanouir. Sauf qu’il n’était pas exactement comme les autres. Son corps de bébé ayant frôlé l’hypothermie, ses cheveux avaient perdu toute pigmentation et avaient pris la couleur de la neige. Le personnel l’aimait bien mais gardait ses distances. Les autres enfants, eux, lui jetaient des pierres, le traitant de mutant, la tête bien trop remplie d’imbécilités apprises au travers de comics. Alors lui restait dans son coin, seul et muet. De quoi avait-il besoin si ce n’était de lui-même de toute manière ? Sa seule compagnie était les livres. Il aimait se cultiver près du feu de la cheminée, lire un peu tout et n’importe quoi. C’était agréable, cette chaleur. C’était nostalgique surtout.

Jusqu’à ses douze ans, il n’eut jamais l’occasion de connaître la douceur d’un foyer. Son caractère taciturne, son isolement et son intelligence avait attiré l’intérêt d’un jeune couple qui souhaitait adopter un enfant. On le leur donna quand on les jugea assez responsables pour cela. Alors Matthew quitta la bâtisse dans laquelle il avait vécu pendant une dizaine d’années pour en trouver un nouveau. Les années suivantes furent une période assez plaisante pour le petit garçon. On lui donnait ce qu’il voulait, lui laissait beaucoup de liberté et ne l’embêtait pas trop. Ce fut comme ça jusqu’à ses seize ans. C’est là qu’il apprit qu’une période heureuse était toujours suivie par une période malheureuse bien plus longue pour compenser.

Il avait appris à s’intégrer. On le trouvait parfois un peu arrogant parce qu’il était riche de part son père adoptif, mais lui ne s’attardait pas trop sur des relations futiles. Tant qu’il obtenait ce qu’il voulait, c’était tout ce qu’il comptait. Mais on le convoqua un jour de classe dans le bureau du directeur. Direction l’hôpital. Il était pourtant trop tard. Ses parents étaient morts. Ses parents bien-aimés, ceux qui avaient voulu le garder près d’eux, étaient morts, victimes d’un hold-up dans une bijouterie. Le criminel ne fut jamais retrouvé. L’affaire fit la une de tous les journaux. Tout le monde s’intéressait à l’affaire, mais personne ne s’intéressait à lui, jeune homme confus qui ne savait pas comment soigner sa douleur. Nouvelle famille, qui n’était pas la sienne. Une branche cousine, voilà tout. Il resterait là jusqu’à sa majorité, après, on verrait.

La suite n’est pas très intéressante. Le garçon s’était mis à étudier sérieusement, ne consacrant son temps qu’à ça pour obtenir une bourse dans l’une des plus prestigieuses universités d’Amérique : Harvard. C’est à cette époque-là qu’il La rencontra.

C’était une jeune fille de très bonne famille, distinguée, honnête et au visage très doux. Beaucoup de prétendants la courtisaient chaque jour, laissant des bouquets de fleur devant son palier, lui écrivant des poèmes à sa gloire. Mais elle restait intouchable, hors de portée. Chose qui faisait qu’on ne pouvait que la désirer plus ardemment encore. Elle s’intéressait à la musique et aux beaux arts. Elle jouait du piano, ainsi que du violon, et avait un très bon tempérament. Ce fut donc avec surprise qu’elle se mit à sortir avec le héros de notre histoire, Matthew Coleman. C’était le jour et la nuit. Lui semblait rester indifférent à la belle, mais lui consacrait une partie de son temps. Elle, elle s’était attachée à ce qu’elle appelait toujours son « gros nounours ». Chose surprenante : ils allaient bien ensemble.

Au fil des années, ils s’étaient finalement fiancés, puis mariés. Certains virent ce mariage comme un mariage d’intérêt pour Coleman. Le petit chenapan hériterait ainsi de toute la fortune de la belle, ainsi que de l’entreprise de son père. Mais qu’importe, la belle l’aimait d’un amour inépuisable. On se demandait même où elle allait trouver toute cette énergie celle-là. Tout le monde savait très bien que Sire Coleman n’avait jamais été très fidèle avec la demoiselle, et couchait parfois de droite à gauche, si bien qu’elle l’avait même un jour surpris dans les bras d’une autre. Mais elle lui pardonnait. Quelque chose ne devait pas aller dans sa tête. Elle s’appelait Betty.

Tous deux habitaient à présent à New York, grande ville mondiale que tout le monde connaissait. Côtoyant la haute société, Matthew était arrivé à ses fins. Devenir riche et puissant, c’était ce qu’il avait toujours souhaité. Il ne fallait pas croire pourtant. Bien qu’en public, il ne le montrait point, il aimait sa femme d’un amour sincère. Il s’y était attaché au fil du temps, et était assez affectueux quand ils se retiraient dans leurs quartiers privés. Le beau-père était malade, et fut bientôt terrassé par un cancer des poumons. Sa jeune épouse, traumatisée par l’épreuve, lui fit également arrêter la cigarette, mais il reprit bien assez tôt son paquet de bâtonnets de nicotine. En effet, la catastrophe approchait. Cela arriva comme ça, sans prévenir. Un grand fracas, un grand boom, des cris de terreur. Lui était sonné, comme la plupart des survivants.

De l’attaque, il n’en gardait qu’un vague souvenir, et des marques sur son corps. La cicatrice sous son oeil provenait également de là. Un éclat de verre l’aurait coupé durant le souffle de l’explosion. Mais une nouvelle fois encore, on lui avait pris les choses qui lui étaient chères. Il gardera toujours en mémoire l’image de sa femme allongée dans son cercueil, si belle et si fragile, et à présent intouchable. Pour toujours.

C’en était fini des relations humaines, s’était-il dit. A quoi bon de toute manière, s’il perdait ceux qu’il aimait au fil des années. Il ne ferait confiance qu’aux valeurs sûres à présent, comme le travail. Il y en aurait toujours, du travail. Et puis, il avait repris l’entreprise de son beau-père, la mettant à son nom. Une entreprise d’import-export de tout genre, mais qui fournissait surtout des produits électroniques, des consoles de jeux. Vous trouverez de tout dans les dépôts de cette entreprise.

Et puis, il était toujours riche et puissant. Il était un cavalier qui avait perdu son destrier, un naufragé sans bouée, un homme sans envie.

Il ne se remaria pas et n’eut pas d’enfants.

Famille :

- Louisa et Alex Coleman – parents adoptifs décédés
- Betty Kindleman – femme décédée
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E.N.D.


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MessageSujet: Re: Matthew Coleman   Matthew Coleman Icon_minitimeSam 24 Jan - 19:29

Je me valideeee~!
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Matthew Coleman

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