Nom : Hanae
Prénom : Kumiko
Surnom : Kumi-chan
Age : 21 ans
Date de naissance : 21 avril 1990
Nationalité : Japonaise
Statut : Photographe de mode


Description physique :

On pourrait facilement confondre Kumiko à une fille de 16 ans au minimum, mais lorsqu’elle vous avouera son âge, vous serez surpris. Eh oui, Kumiko a 21 ans, et toutes ses dents. Surtout qu’elle ne figure par dans les plus grandes japonaises de tout le temps, étant tout de même assez petite sans être une naine, entendons-nous. Mais revenons à son physique, car c’est la question principale, non?

Ses cheveux sont d’un simple brun chocolat, prenant parfois de légères teintes rousses sous les reflets du soleil. Coiffé avec un toupet carré qui lui sied à ravir, un léger dégradé encadre son visage. Ses cheveux sont quelque chose de très important pour elle, et vous ne les verrez jamais décoiffé .Armée d’un peigne, elle passera plusieurs minutes le matin afin de les coiffer correctement. Pourtant, il n’y a rien de compliqué : de natures fins, ses cheveux ne s’emmêlent jamais, aussi doux que de la soie, à son grand plaisir.

Son visage, quant à lui, est orné de traits fins et juvéniles qui en charmeront plus d’un. Deux fins sourcils épilés dans une courbe parfaite précèdent ses yeux. Ourlés de longs et épais cils brunâtre sur lesquelles elle met parfois un peu de mascara, ses grandes prunelles expressives sont d’un gris profond, couleur que peu de personne possède. Vous verrez très souvent ces yeux pétillants de joie, de bonheur ou de malice. On peut lire en elle comme dans un livre ouvert seulement en observant ses iris, très expressifs malgré ses vains efforts. Son nez aquilin, quant à lui, encadré de deux petites pommettes légèrement rehaussé, ajoute une touche de candeur dans son visage déjà bien innocent. Ses lèvres fines sans trop l’être sont toujours agrémentées d’un sourire –enfin presque toujours- et vous charmeront surement par la pureté et l’honnêteté de celui-ci. Son menton légèrement pointu vient terminer son visage aux traits enfantins bien que tout à fait mignon.

Son long cou gracile laisse place à des épaules d’apparence fragiles, ce qui n’est pas tout à fait faux. Ses clavicules laissent deux petits traits surélevé au bas de son coup. Sa poitrine, quant à elle, s’est affermit et a augmenté considérablement dans les dernières années, lui donnant désormais plus un air de jeune femme naissante. L’énergique jeune fille est plutôt mince, mais ne possède pas le ventre plat des mannequins non plus : une toute petite rondeur vient lui donner un peu plus de réel, mais c’est à peine si on le remarque. Elle fait pourtant bien attention à son alimentation, mais n’ira jamais non plus se priver de quoi que ce soit. C’est qu’elle aime bien, de tant à autre, le chocolat ou autres petites douceur du genre, voyez-vous… Ce qui ne l’exclue pourtant pas de la catégorie des jeunes femmes en forme et en santé. Ses bras sont ni mince ni gros : ils entrent dans la moyenne, normal et plutôt ferme, bien qu’il n’existe que très peu de muscles dans ses bras. Eh non, Kumiko n’a pas les gros bras des Monsieur. Muscle, Dieu Merci direz-vous…Bah ouais, une fille avec des gros bras musclés c’est pas forcément beau.
Des hanches, qui pour une fois démontrent bien toute sa féminité du haut de ses 21 ans, bien dessinées, laisse place à ses jambes, pas forcément très longues bien qu’elles soient plus longue que le haut de son corps. Je vous l’ai déjà dit : Kumiko ne fait pas forcément partie des stéréotypes de beauté de la société, bien qu’elle soit tout aussi jolie. Ses cuisses sont fermes et plutôt petite, bien que la jeune fille n’ait pas les cuisses des grandes beautés, des cuisses si maigres que certains ont des bras de la même grosseur…- ou presque, Kumiko aime bien exagérer-. Cuisses qui laissent place à des mollets musclés, puis à des petits pieds bien formés.

Kumiko s’habille d’un peu de tout, bien qu’elle porte en horreur les jupes – pourtant, elle aime bien les robes, faut pas chercher à comprendre- . Cependant, vous ne la verrez pas portez que du noir ou que des couleurs sombres : Elle adore tout ce qui est coloré, joyeux, mignon ou qui fait sourire. Toutes les couleurs existantes font partie de sa palette de couleur préféré. Seul objet que vous verrez en tout temps à ses côtés : Son appareil photo digne des plus grands experts, accompagnée de plusieurs objectif et d’une tonne de film, car et oui, Kumiko n’est pas encore tombé dans le numérique. Certes, sa mère, bien que Kumiko ait protesté, lui en a acheté un autre avant qu’elle parte du japon, tout aussi sophistiqué, mais celui numérique. Elle apporte ce dernier seulement lors de son travail, utilisant son ancien pour toutes les autres occasions. Qu’il repose simplement en bandoulière sur sa hanche et qu’il soit rangé dans un sac, dans son dos ou à sa hanche, elle l’a en permanence à ses côtés. Maintenant qu’elle en fait un métier, vous ne le verrez jamais, mais je dis bien jamais, sans son cher et tendre ami, même si elle décide d’aller en boite ou simplement d’aller faire une courte course.


Description psychologique :

Kumiko est-ce qu’on pourrait appeler un sacré numéro. Énergique, joyeuse, optimiste, déterminée, tous des mots pour décrire la personnalité vive de la jeune fille. Plusieurs la compare à une vraie boule de feu, qui ne manque jamais d’énergie – Pourtant c’est faux, comme tout le monde elle se fatigue…Un jour ou l’autre.-. Elle est un peu touche à tout dans ces gestes quant elle parle, et si l’envie lui prend, tout d’un coup, de vous tapotez la tête, de vous tirez le nez ou de vous prendre les épaules, eh bah elle le fera, sans vous demandez votre avis. Sa philosophie de la vie est simple : Faire ce qu’elle veut, quand elle veut. C’est un concept de liberté qui lui tient énormément à cœur. Toutefois, si vous lui faites comprendre que vous n’aimez pas telle ou telle chose, elle vous respectera et ne le fera pas, aussi simplement. Plusieurs la voit comme innocente, naïve et trop simple d’esprit, et pourtant, ce n’est pas si vrai que ca, bien qu’il y a une part de vérité malgré tout. Kumiko est intelligente et logique, mais très impulsive. La plupart du temps, elle fera un geste et pensera à sa conséquence après. Elle aime voir les choses avec simplicité, mais n’est pas plus idiote que personne : Elle le saura s’il faut qu’elle prenne le temps de réfléchir face à une situation. Elle est d’une franchise désarmante, bien qu’elle use énormément de tact pour éviter de blesser quelqu’un d’une quelconque façon, ce qu’elle déteste plus que tout au monde. En effet, il lui arrive très souvent de ses mêler des affaires des autres, pour la simple raison qu’elle n’aime pas voir d’autre personne être autre chose qu’heureux.

Gaffeuse comme pas deux, elle se met toujours dans les situations les plus désastreuse. Il est rare que vous la voyiez sans une blessure : Elle fait toujours une gaffe. Que ce soit d’échappé son café brulant sur ses pieds alors qu’elle marche, de tomber dans une fontaine parce qu’elle a voulu toucher à l’eau ou bien de débouler un escalier, la malchance semble être collé sur elle. Cependant, elle ne s’en fait pas pour deux sous et reste le sourire aux lèvres : Elle s’en remettra et ce n’est pas la fin du monde! Sûr que sur le coup, elle est un peu moins heureuse, mais cela ne lui prend que quelques minutes tout au plus pour trouver un point positif à la situation : Elle avait froid au pied, ca la rafraichira ou bien ca lui remettra les idées en place, elle ne manque pas d’idée pour être optimiste. Toutefois, lorsque vous croiserez son chemin, faites bien attention, il ne serait pas étonnant qu’elle vous rentre dedans ou que par sa faute, il vous arrive un malheur…

Suite à son enfance, elle est devenue une maniaque de ménage et déteste les endroits malpropre ou en désordre. Elle adore quand tout est rangé et classé, et que tout a un endroit spécifique. Cependant, n’allez pas croire que son appartement manque de vie de par sa propreté : Il déborde de couleurs vivantes et de décorations toute aussi mignonnes les unes que les autres. Elle adore tout ce qui est coloré et ne manquera pas d’inclure des couleurs dans sa vie.

Véritable passionnée de la photographie, elle se traine toujours avec son appareil photo. Elle adore prendre en photo les gens qui l’entoure, et ne vous étonnez pas si vous la voyez entrain de vous prendre en photo. Cependant, elle aime tout autant prendre des photos de la nature ou des éléments qui l’entoure, et ses clichés sont la plupart du temps de véritables merveilles. Plus les années de pratiques ont passé et plus elle est devenue extrêmement bonne, ses clichés étant réputés pour dégager une âme particulière, une force spéciale et pour être toujours frais et original.


Famille :Fujiko Hoshi, sa mère, qui est venue la rejoindre il y a très peu à New-York 2. Son père, Takumi Hanae, est décédé lors de ses 13 ans.

Histoire :

L’histoire de Kumiko n’est pas ponctuée, à toutes les années, de malheur monstrueux, de meurtres, de drogues et de batailles. Elle n’a pas vécu dans un univers bouleversés, n’a jamais connu personne [ ou bien elle n’a jamais été au courant ] faisant partie de la mafia, n’a pas participer à un quelconque trafique de quoi que ce soit. Ses parents ne pratiquait pas d’activité illégales, et elle ne s’est jamais fait enlevé ou violer. Elle n’est pas pour autant si naïve qu’elle ignore les dangers qui rodent dans la ville : Oh non, elle le sait bien, mais elle n’en devient pas non plus paranoïaque. Elle se sent, étrangement pour certains, bien en sécurité dans sa ville, et n’a cure que des dealeurs de drogues élisent parfois domicile près de son appartement actuel.

Kumiko naquit dans la ville même, dans le quartier populaire de la ville où elle vivait, à l’hopital, comme tout enfant normal, un magnifique jour d’Avril. À l’extérieur, le soleil brillait de pleins feux, les oiseaux chantaient leurs bonheur de voir le printemps enfin de retour et les cerisiers étaient en fleurs. Une journée magnifique pas comme une autre, qui méritait d’être marqué d’une croix sur le calendrier afin de se souvenir de sa beauté. Toutefois, pour les parents de la petite Kumiko, ils marquèrent une croix sur leur calendrier afin d’y noter sa naissance. Les parents de l’enfant habitaient le quartier riche de la ville, , dans une demeure tout près de la mer, opulente de conforts et de luxes. Son père, un riche avocat de la ville, avait réellement bien gagné sa vie et comptait donner à sa fille la meilleure vie qu’il pourrait lui offrir.

Sa jeunesse, jusqu’à ses 13 ans, se passèrent dans un bonheur quasi parfait. Elle avait hérité d’une chambre géante avec vue sur la mer, vivait dans un confort immense. Des domestiques s’occupaient du ménage de la maison, d’ailleurs c’est en partie à cause de ça qu’elle est aujourd’hui une maniaque du ménage, ayant toujours vécu dans le ‘ très ‘ propre. Elle eu une éducation sans faille, pu s’ébattre autant qu’elle le désirait et inviter qui elle voulait chez elle. Son père n’était pas très souvent présent, mais sa mère, qui restait sans cesse chez elle, put lui donner tout l’amour dont elle avait besoin. Jamais elle ne manqua d’une quelconque chose, et malgré ce que vous pourriez pensez, elle ne devint pas pour autant une enfant gâté capricieuse qui veut tout ce qu’elle voit. Ses parents, bien que riche, étaient des gens bien qui s’efforçait de donner à leur enfant unique des valeurs fondamentales et une affection toute particulière tout en l’incitant à développé son sens de la débrouillardise afin qu’elle puisse s’occuper d’elle-même plus tard. À l’école, ses notes allaient bien sans pour autant être la première de classe, et elle avait beaucoup d’amis avec qui elle jouait à tous les jeux inimaginables.

Alors pourquoi ne fut-elle que pleinement heureuse que jusqu’à ses 13 ans? Parce que le 5 décembre de l’année où elle avait atteint son treizième printemps, son père mourut, sans prévenir personne. Un accident de voitures fatales. Le verdict était tombé : Un chauffard ivre en pleine journée avait percuté de plein fouet la voiture de son père qui attendait sagement à un feu rouge. La mort fut immédiate, le chauffard ne l’ayant vraiment pas manqué. La voiture de son père était dans un tel état après l’accident que les ambulanciers eurent énormément de mal à sortir le corps qu’il savait déjà mort. Malgré tout, il fut amené à l’hôpital, où l’on confirma sa mort. Cet événement détruit l’heureuse fillette qu’était Kumiko. Il lui fallut deux ans avant de s’en remettre, et pendant ces deux ans, elle avait totalement changé. La petite fille joyeuse et simple d’esprit était devenu une adolescente déprimé et noir. Sa mère, quant à elle, était plus forte qu’elle : bien qu’elle fût toujours et qu’elle est encore des plus triste suite à la mort de son mari tant aimée, elle accepta bien vite sa mort et essaya de réconforter sa fille. D’ailleurs, elle parvint à y venir à bout, et c’est ce jour qu’aux yeux de Kumiko, sa mère devint une héroïne, un exemple de courage et de force à suivre. Lentement, elle reprit une certaine joie de vivre jusqu’à redevenir la fille joyeuse et insouciante qu’elle avait été.

Cependant, la demeure ne pouvait se payer seul, et pendant les trois premières années, la veuve et l’enfant vécurent sur les revenus laissés par l’avocat. La quatrième année, Fujiko, la mère de Kumiko, fut obligé de se chercher un travail pour la première fois de sa vie, et n’eut que très peu de succès. Après s’être trouvé un travail de secrétaire à pleins temps dans une boite populaire, elle se vit tout de même obligé de vendre la demeure familiale immense au bord de la mer pour déménager dans une autre maison, grande aussi toutefois, dans le même quartier, mais moins immense et moins chère. Lorsqu’elle déménagea, au 19 ans de Kumiko, celle-ci déménagea aussi, mais dans un appartement du quartier populaire de la ville, où elle entama des études en photographie.

Kumiko passa deux années dans cet appartement dans un sentiment de bonheur grandissant, ses études en photographies se révélant être très concluantes. Elle s’en sortait souvent avec les meilleures notes, gagnait la plupart des concours organisés et se voyait entasser tous les félicitations des professeurs. Depuis qu’elle avait déménagé, elle avait moins d’amis, mais réussissait à collecter de nombreuses connaissances, dont plusieurs devenaient finalement de très bons amis. Elle connut même un jeune homme, mannequin de profession, qu’elle appréciait énormément. Jusqu’à maintenant, aucun garçon ne s’était intéressé à elle, la trouvant à la fois trop gamine et énergique. Cependant, ce jeune mannequin avait eut l’audace de lui adresser la parole, et elle l’avait trouvé à la fois extrêmement séduisant, classe, intelligent et intéressant. Toutefois, elle n’a jamais pu s’avouer en être tombé amoureuse : Elle ne connaissait pas assez les relations femme/homme et le considérait comme un très bon ami avec qui elle entretenait une relation particulière.

Toutefois, un jour, un professeur, particulièrement étonné par son talent, avait réussit à lui dénicher un contrat aux États-Unis, dans le fameux New-York 2. Au comble de l’enthousiasme, Kumiko avait tout de suite accepté et remercier du plus profond de son cœur le professeur. Elle fit ses valises, s’en suivant de douloureux au revoir avec sa mère avec laquelle elle partageait une relation particulière. Enfin, elle partit, abandonnant le japon qu’elle aimait tant derrière elle, son anglais douteux l’accompagnant ainsi qu’une grosse [immense, que dis-je] que sa mère lui avait obligé d’accepté. Elle a donc déménagé dans un appartement en plein centre-ville, au 18e étage, avec grande vue sur la ville, un appartement beaucoup trop grand pour une jeune fille vivant seul, certes, mais ce n’est pas comme si elle n’avait pas les moyens. C’Était il y a trois mois de cela. Depuis 1 mois, sa mère a elle aussi déménagé à New-York, ne pouvant pas supporter l’immense distance entre elle et sa fille qu’elle chérissait tant, au plus grand bonheur de Kumiko. Celle-ci a commencé le métier de photographe de mode et commence déjà à se faire une maigre place dans le domaine, mais ce n’est qu’une question de temps avant qu’elle se fasse une réputation solide, car même dans cette ville newyorkaise, on admire ses talents frais, jeune et original.