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| What can I do for you Sir? [pv Matteo] | |
| Auteur | Message |
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Alexzander Stevenson Homme de main de Coleman Your wish is my command
| Sujet: What can I do for you Sir? [pv Matteo] Lun 18 Mai - 6:49 | |
| Music!
5h30 A.M.
Un cadran qui sonne, laissant échapper un bip sonore agressant qui réveillerait surement une personne sourde à tel point ce bruit pouvait être agressant. L’heure inscrite sur le cadran, 5h30, l’heure de se lever. Pourquoi se lever exactement? C’était l’heure de se lever pour aller travailler, commencer une journée comme toujours chargé, une journée pleine de contradiction, pleine d’exception et pleine de rendez-vous. Quel fou commencerait à travailler à cette heure? Oh personne en particulier, mais notre homme, Alexzander n’allait pas se stationner pendant 3 heures et 30 minutes devant l’entrée de son patron. En fait s’il ce lever aussi tôt c’était pour faire son jogging matinal, n’ayant pas vraiment le temps d’aller en salle d’entrainement et qu’il devait se maintenir en forme. D’une main il attrapa ses lunettes posées sur la table de nuit a coté du cadran, il éteignit celui-ci par la même occasion. L’homme se leva de son lit et s’habilla rapidement avec une paire de jogging un chandail court et enfila une paire de baskets et il partie ainsi pour…une heure et trente minutes exactement.
7h 00 A.M.
Exactement…Il remit les pieds dans son appartement qu’il avait lui-même trouvé. Ce qui l’avait surpris en quelque sorte puisqu’il était quand même éloigner de celui de son patron qui lui habitait les quartiers plus chics. Ses anciens patrons avaient exigé qu’il ne soit pas loin à tout moment, qu’il leur soit accessible nuit et jour sommeil ou pas. En fait il avait même son appartement à coté d’eux a l’époque, il devait suivre partout sans cesse et ne pas décider pour lui-même…mais cette fois il avait du trouver de lui-même. Oh il n’avait pas mal choisit après, il était beaucoup moins bête qu’il pouvait paraître aux yeux de plusieurs, mais c’étai très rare qu’on lui demandait de prendre une décision, et sa lui avait presque fait peur la première fois.
Une fois arrivé chez lui, il retira enfin ses souliers et le restes de ses vêtements trempés de sueur pour les déposer sur une chaise et aller dans la salle de bain pour se prendre une douche bien mérité. Il se devait d’être bien propre et bien coiffé après tout, il ne lui fallait pas faire honte à cet homme qui avait accepté de l’engager, il devait toujours lui montrer qu’il était à la hauteur. Une fois sous l’eau chaudes il se mit à mémoriser l’itinéraire au complet qu’il avait à faire depuis le départ de l’appartement de Mathew jusqu’au retour au bureau. Il devait se présenter à 9h00 exactement pour récupérer son patron dans le stationnement car son premier rendez-vous était à 9h45 dans les quartiers de SoHo et puis après…Oh pas besoin de tout raconter les choses l’une après l’autre…car oui il les avas apprise par cœur, c’était son boulot de tout savoir cela et non pas celui de son patron à devoir lui indiqué.
7h30 A.M.
Une fois bien lavé sans aucune trace de sueur, il plaça ses cheveux de façon à les faire sécher de la bonne façon, il ne lui resterait plus qu’à les peigner une fois sec. C’était maintenant l’heure du petit déjeuner, il lui fallait quelque chose de consistant puisque selon l’horaire il ne pourrait pas manger avant 13h exactement. Il glissa deux tranches de pain dans le grille pain et abaissa la languette avant d’aller dans le frigo pour ce sortir du lait…et du chocolat…Qui a dit qu’on ne pouvait pas boire de lait au chocolat lorsqu’on portait des lunettes fumée? Dans sa cuisine, il n’y avait presque rien de ranger en fait, quelque chaudron trainait ici et là, des boites de Kraft Diner trainaient sur le coin du comptoir. Il mangeait tellement souvent ailleurs ou encore a la presse qu’il ne prenait jamais le temps de se cuisiner quelque chose de plus sain et équilibrer. Parfois un steak passait par la, mais sa c’était lorsqu’il avait le temps.
Son pain sauta, et il attrapa les deux tranches, y mit de la confiture et mordit dedans a pleine dent, tout en buvant son lait chocolaté. Une fois son repas termina il ne fit que déposer la vaisselle dans l’évier et ce dirigea vers sa chambre ou logeait une commode et un lit simple bien rangé. Dans la garde-robe il y avait tout ses vêtements habituelles…c'est-à-dire costard noir, chemise pour la plupart blanche, quelques cravates, des souliers noirs bien cirées et devinez la couleur de ses pantalons…Bien évidemment, ils étaient noirs aussi…Il s’habilla toujours de cette couleur terne et alla ce regarder dans le miroir pour terminer de se peigner correctement…et voilà, soit le parfait pingouin ou bien le parfait garde du corps cela dépendait de la personne qui regardait la chose.
8h10 A.M
Il devait maintenant aller chercher la berline noire qu’il allait conduire pour son patron. Il ne gardait jamais la voiture chez lui, non il avait la sienne ou bien il prenait le bus lorsqu’il n’avait pas pensé à mettre de l’essence dans sa propre voiture. Il monta donc dans sa voiture et démarra le moteur…celui lui prenait environ, avec la circulation vingt-cinq minute se rendre jusqu'à la Coleman business et a partir de là il lui faudrait exactement vingt minutes pour se rendre chez monsieur Coleman et ainsi il arriverait exactement à 8h55 minutes minute près a attendre son patron…C’était comme sa tous les matins? Vous l’avez sûrement deviné que oui…il était calculer à la minute près pour être près à tout.
8h35 A.M.
Il arriva enfin a la Coleman business et comme toujours il arrivait et sortait les clés de la voiture noire pour monter à l’intérieur. Il alluma la voiture, et laissa tourner le moteur au moins une minute vérifiant s’il n’y aurait pas un bruit suspect ou quelque chose d’anormal, mais tout semblait fonctionner correctement. Une fois satisfait il mit les mains sur le volant et sortit du stationnement et se dirigea dans le stationnement cette fois de l’appartement de Monsieur Coleman…Il prenait un peu de retard? Non pas question, il accéléra tout simplement dépassant plusieurs voiture par la même occasion…
8h55 A.M.
Il arriva enfin a sa destination et à l’heure…Il arrêta tout simplement le moteur et attendit…dans le silence le plus complet, les mains toujours sur le volant…on ne pouvait pas apercevoir s’il était heureux ennuyer, fatiguer…non ses lunettes cachait la moindre réaction mais aussi il n’en montrait pas vraiment…Il obéissait, c’était tout se qu’on lui demandait de faire et rien de plus. Ses anciens patrons lui avait toujours dit qu’il n’avait pas besoin de trop réfléchir pour lui qu’eux le ferait à sa place. Il avait été bien avisé de ne pas monter réveiller son patron, qu’il n’avait pas à le faire…alors il attendait sagement. Il vit enfin la silhouette de Matthew qui arrivait sur le coté et il se dépêcha de sortir du véhicule pour aller lui ouvrir la portière arrière, l’invitant ainsi à s’asseoir sur la banquette.
-"Bonjour Monsieur!"
Et sur ses presque uniques paroles il retourna s’asseoir sur le siège avant de la voiture pour reprendre sa place de chauffeur.
9h00 A.M Heure du départ
Il démarra la voiture et quitta de nouveau le stationnement pour reprendre la route en direction des Quartiers de SoHo, une fois stable sur la route il regarda un instant dans le miroir pour voir la personne derrière lui.
-"Votre premier rendez-vous est avec monsieur Kieurk est prévu à 9h45 dans un établissement public. Dois-je arrêter quelque part pour vous commander un café ou autre chose Monsieur ?"
Avant, après ou pendant…peut importe, il irait lui pêcher du poisson s’il lui demandait…
[I hope it please yyoouuu!]
Dernière édition par Alexzander Stevenson le Lun 8 Juin - 4:52, édité 2 fois |
| | | Matthew Coleman PDG de Coleman Business
| Sujet: Re: What can I do for you Sir? [pv Matteo] Lun 18 Mai - 19:11 | |
| Encore un autre jour. Il fixait le plafond, immobile. A quoi pensait-il ? Rien. Néant. Depuis combien de temps à présent ne s’était-il pas réveillé avec la présence d’un corps chaud auprès du sien ? Des années à présent, non ? Quoi qu’il en soit, il devait se lever maintenant. Allez, lève-toi. Mets-toi en marche. Fermant les yeux un instant, il finit par se redresser dans son immense lit. Vide. Un coup d’œil au réveil. Il avait quelques minutes de retard sur son planning habituel, rien de bien alarmant. Se glissant hors du lit, il s’était dirigé vers la salle de bain, où il prit le temps de se laver, de se raser, de faire sa toilette habituelle en somme. Ces gestes, il les répétait chaque matin. Le silence le plus complet régnait dans le vaste appartement. Il n’y avait pas même le son d’une télévision, ou d’une radio. Tout juste parfois le tic d’une horloge. Après la salle d’eau, ce fut au tour de la cuisine. Un café, bien serré. Un fruit, le premier qui lui passait sous la main. Rien d’autre. C’était bien suffisant jusqu’au repas de midi. Coup d’œil à l’horloge qui se trouvait dans le salon. Retour dans la chambre, passage au dressing. Avec des gestes précis, il enfilait sa tenue habituelle. Un costard de marque. La couleur, il s’en fichait. Les tons sombres lui convenaient mieux.
Se dirigeant vers la sortie, il n’oublia évidemment pas son attaché-case, son portable dernier cri et ses quelques autres affaires. Un dernier coup d’œil à l’appartement avant de le refermer et de prendre l’ascenseur, jusqu’au rez-de-chaussée, là où l’attendait son chauffeur habituel. Alexzander Stevenson. Un drôle d’oiseau. Comme d’habitude, la voiture était bien garée, juste en bas de l’immeuble où il habitait. Et comme d’habitude, le brun était sortit de la berline noire pour lui ouvrir la porte. Lui faisant un signe de tête en guise de bonjour, Matthew grimpa à l’intérieur. Par réflexe, il mit sa ceinture de sécurité. Non pas qu’il ne faisait pas confiance à son homme de main, mais on n’était jamais à l’abri d’un accident. Croisant les jambes, il regarda un petit moment Alexzander.
- Je vois. Merci Alexzander. Et non, j’ai déjà pris un café ce matin.
Simple formule de politesse. Il savait déjà où il allait, avec qui il avait rendez-vous et tout son planning, mais un petit rappel de temps à autre ne pouvait pas faire de mal. Regardant par la fenêtre, il l’ouvrit un peu et sortit un paquet de cigarettes. En allumant une, l’homme d’affaires se demanda bien quelle période serait la mieux pour prendre quelques jours de congés. Comme tout le monde, il avait besoin de se reculer du monde du travail de temps à autre. Et avec son nouveau secrétaire qui semblait adorer l’harceler, une pause devenait obligatoire. Peut-être devrait-il trouver quelqu’un d’autre pour ce travail ? Oui mais ce n’était pas comme s’il était incompétent, loin de là… Difficile de se décider. Jetant un coup d’œil à Alexzander, il tira une latte de sa cigarette.
Oui. Vraiment un drôle d’oiseau. Qu’importe ce que disait Matthew, son homme de main serait toujours là pour l’écouter. Il pouvait lui ordonner n’importe quoi, il obéirait. C’était à se demander d’où il venait. Il l’avait rencontré par hasard, et depuis, le brun ne le lâchait plus d’une semelle. Comme un chien avec son maître… C’était un peu près ça. S’il lui balançait un bâton et qu’il lui demandait d’aller le chercher, Matthew était certain qu’il le ferait. Et se jeter d’un pont ? Peut-être… Il ne comptait pas essayer de toute manière. Certes, les débuts avaient été étranges. Il n’était pas habitué à avoir quelqu’un qui lui obéisse au doigt et à l’œil, mais il s’y était fait. Il était la raison de vivre d’Alexzander. D’où venait ce type franchement… Mieux ne valait pas le savoir, s’était-il toujours dit. Certaines choses devaient être laissées comme telles, et le passé faisait parti d’une de ces choses. Lui aussi devrait laisser le passé où il était, s’en détacher. Un jour…
Parfois, il se demandait s’il était vraiment nécessaire d’avoir un tel homme comme chauffeur et homme à tout faire. Avait-il vraiment besoin d’un garde du corps ? Il ne trempait pas dans les choses illicites après tout. Et à sa connaissance, personne n’en voulait à sa peau. Certes, un gang ou deux semblait être intéressé par le rachat de son entreprise, mais il ne comptait pas la céder tout de suite. Ni même un jour d’ailleurs.
- … ?
Quelque chose ne semblait pas tourner rond. Regardant autour de lui, Matthew fronça les sourcils et scruta son chauffeur. Là. N’y avait-il donc pas une odeur bizarre qui se dégageait de la voiture ? Et mince. Ce n’était vraiment pas le moment. Sans grande surprise, le véhicule commença à caler, avant de s’arrêter dans un grand bruit. Un soupir traversa ses lèvres. Encore heureux, ils étaient sur la file de gauche, près des voitures garées le long du trottoir. Ce ne serait pas trop gênant tant qu’ils mettaient les feux, ce que son homme de main ne tarderait sûrement pas à faire. Coup d’œil à sa montre de luxe. Ils seraient donc en retard, à moins que la panne ne soit mineure. Tomber en panne, c’était ce dont il avait horreur. L’homme d’affaires sortit alors son téléphone de sa poche. Messagerie e-mail.
- Alexzander, à combien de temps sommes-nous du point de rendez-vous ? Je ne voudrais pas faire attendre M. Kieurk.
Il prendrait un taxi si nécessaire et préviendrait son partenaire de son retard. Cigarette dans une main, téléphone dans l’autre, il se mit à pianoter dessus. Coup d’œil aux alentours. Ou alors, il pouvait changer le point de rendez-vous. N’y avait-il pas un café sympathique pas loin d’ici ? Il ne s’en rappelait plus. Autant demander à son secrétaire, il était au courant de tout dans cette ville, notamment quand il s’agissait de manger quelque part. Mail sent. Bon, il ne restait plus qu’à attendre une réponse. Après, il aviserait. Les imprévus arrivaient aussi aux mieux organisés. |
| | | Alexzander Stevenson Homme de main de Coleman Your wish is my command
| Sujet: Re: What can I do for you Sir? [pv Matteo] Mer 20 Mai - 6:06 | |
| Une fois que Matthew c’était bien installer dans la voiture qu’Alex avait stationné, celui-ci redémarra le moteur pour s’éloigner du stationnement... Informant comme il avait l’habitude de son horaire de la journée et s’informant aussi s’il devait faire un détour avant d’entreprendre le planning de la journée. Il avait l’habitude d’une réponse négative a cette heure puisque l’homme venait tout juste de se lever et donc en déjeunant avait surement prit son breuvage fumant comme à son habitude. Alexzander lui ne consommait pas ce genre de breuvage ou du moins il n’avait jamais essayé, il ce contentait de lait au chocolat, la plupart du temps…Même pour son âge, il n’avait jamais mit la langue sur la moindre goutte d’alcool, comme si ce breuvage, cher et ayant des effets différents des autres ne lui avait jamais été permis. Ses anciens patron lui avait toujours dit que cette boisson était faites pour les personnes importante et que lui pouvait se contenter d’eau, car il n’était pas assez important
Un frisson lui parcourra soudainement la nuque, il leva les yeux l’espace d’un instant sur son miroir pour y croiser les yeux de son patron, il se pressa de les rabaisser immédiatement. Malgré que le contact n’avait pas été remarqué ou directement dirigé vers son patron à cause des lunettes fumée qui cachait ses yeux, Alex ne se sentait jamais à l’aise de regarder quelqu’un dans les yeux. Voilà donc d’où venait le frisson qui lui avait parcouru la nuque pour redescendre dans son dos…Il se sentait observer maintenant, comme fixé…comme si on essayait de rentré un peu trop en lui, il était rare que ses anciens patron prenait le temps de l’observer un petit moment au lieu d’ »un simple coup d’œil l’instant de lui donner l’ordre de faire quelque chose. Il n’avait pourtant rien fait de bizarre si? Enfin si on pouvait juger son comportement de normal après tout. Certes il n’était pas normal au départ, mais avait-il agis différemment de son habitude, il ne pensait pas. Il ravala de la salive pour faire passé le soudain stress.
Lui non plus ne savait pas grand-chose de l’homme qu’il allait chercher a tous les jours. Il savait son nom, son occupation, son adresse, toute les choses quotidiennes pour un employer. Pour le reste. Tout n’était que néant…se n’était pas vraiment un questionnement, mais plutôt un néant, il ne savait rien de l’histoire, du passé, même l’histoire de sa cicatrice lui était un grand mystère, mais, Il n’avait jamais cherché à savoir. Il était un peu curieux de nature, mais on lui avait appris à ne jamais poser de question, mais d’agir à la place. On lui avait aussi dit qu’il n’avait pas besoin de savoir tout sur une personne, il n’y avait pas d’importance et que se n’était pas de ses affaires. Plusieurs de l’époque de l’entreprise de ses anciens patron, on l’avait qualifié plusieurs fois de chien…On l’avait insulté a plusieurs reprise, mais il n’avait jamais sentit la moindre rancune envers ses personnes, il n’avait pas frappé ses gens pour sa, puisque c’est ce qu’il était. L’insulter ne le ferait pas plus réagir, c’était comme si ses insultes rentraient pas une oreille et sortait tout bonnement par l’autre. Par contre…si la personne insultait son patron elle se retrouvait automatiquement avec le nez cassé dans la fraction de seconde de l’insulte dite.
Malgré tous les efforts qu’il y mettait il lui était de plus en plus dur de se concentrer sur la route, en pensant que son patron se posait des questions sur lui…l’évaluait-t-il? Il fit du mieux qu’il pu pour garder sa constance sur la route pour arriver à l’heure du rendez-vous et surtout, mais surtout pas en retard.
-"…hm?"
Il redressa la tête, on aurait pu imagine un chien se redresser les oreilles à ce moment. Il c’était redresser en sentent l’interrogation de son patron, sortant de ses questionnements incessant qui lui tournait dans la tête, pour revenir complètement à lui. Une fois complètement dans la réalité, il se mit comme sur ses gardes, pour finalement réussir à sentir l’odeur qui se dégageait du véhicule, ça se n’était pas normal du tout. Il crut remarquer l’odeur d’huile l’air, un conduit devait s’être sectionné par usure ou bien autre chose. Comme si c’était prémédité, la voiture s’arrêta d’elle-même sur la route pour finalement ne plus vouloir repartir du tout. Pour éviter tout accident Alexzander activant automatiquement les feux d’urgence
Il n’était pas été a la hauteur…c’est la première chose qui lui vint a l’esprit en entendent un soupire derrière. Il serait puni ou renvoyé? Il avait fait une bêtise non?...Il se dépêcha de retirer sa ceinture de sécurité, pour se tourner vers la porte de la voiture et y tourner la poigné. Il stoppa net son geste, pour écouter attentivement la requête de Matthew et il regarda sur sa montre et calcula rapidement dans sa tête.
- "Nous sommes à dix minutes exactement de votre destination Monsieur et nous avons cinq minutes d’avance. Dois-je appeler une autre voiture ou aller la chercher Monsieur? Je ne peux pas prendre le risque de vous laissez y aller en taxi."
Il l’entendit pianoter sur son portable, il s’imaginait un peu la personne auquel il envoyait le message. Il sortit donc de la voiture pour laisser son patron réfléchir et s’occuper de réparer sa gaffe.
-"Rester à l’intérieur Monsieur, je vais déplacer la voiture."
Il avait laissé les commendes sur neutre pour ainsi pouvoir faire bouger la voiture quand même en poussant. Il laissa sont costard noir a l’intérieur de la voiture, ne pouvant pas poussée très a l’aise en adoptant le look pingouin. Il referma la porte derrière lui, et marcha sur le coté de la voiture, regardant le ciel un moment…le soleil lui plombait sur le visage, sa serait une journée encore chaude et humide. Il s’installa derrière la voiture et agrippa chacun des cotés de la grande berline noir. Il contracta ses muscle et ce mit a pousser lentement, mais surement, la voiture pour la rentré dans un espace libre de stationnement tout juste a coté de l’endroit ou la voiture c’était arrêter.
La personne que Matthew avait contactée devait sûrement être son secrétaire…ou plutôt son nouveau secrétaire…Alex avait cru entendre que son nom était Jack Ala...Ava...A…Il n’avait pas réussit à se souvenir du nom de famille, ce nom n’était pas commun sur les terre américaine. Il savait tout aussi peu de chose sur cette personne, se qui l’avait inquiété un peu, de voir une personne tournant toujours autour de Mathew, toujours si près et il ne savait rien de lui. Il se montrait toujours méfiant en sa présence, il n’avait jamais agis contre lui, ou rien, mais il le surveillant constamment, il ne le laisserait pas mettre ses pattes sur son patron si cela était son but. Mais personnellement, il ne l’avait pas rencontré, il n’avait jamais discuté avec lui, bien qu’il ne soit pas un grand bavard et l’autre semblait l’être énormément. Il se croisait pendant le travail, dans le bureau de Matthew, mais jamais il ne s’était arrêter pour discuter.
Pendant qu’il pensait a cela, il finit de pousser la bagnole en biais, au moins elle n’était plus sur la route...très mal stationner, mais pas sur la route. Une fois arrêté, il se redressa pour s’essuyer le front et souffler un peu, s’appuyant sur le derrière de la voiture, c’est que ce n’était pas léger ses trucs là, c’était plus lourd qu’une voiture normal. Il retourna à son siège de la voiture pour mettre celle-ci en fonction stationnement.
-"Je vais tenter de trouver le problème, pour vos prochains rendez-vous monsieur."
Il n’était un mécanicien…Il ne pouvait pas tout être à la fois, mais parfois il était possible de voir des choses qui avait causé le souci, et si c’était réparable il le ferait ou ferait venir une dépanneuse ou un mécanicien. Cependant, il espérait pouvoir réparer, il se sentirait mieux ainsi…Mais tout n’était pas gagné, surtout qu’en ouvrant le servant de la voiture un gros nuage noir lui fonça dessus, l’étouffant un peu par al même occasion…Il avait le visage presque aussi noir que ses lunettes maintenant, c’était ironique. |
| | | Matthew Coleman PDG de Coleman Business
| Sujet: Re: What can I do for you Sir? [pv Matteo] Mar 26 Mai - 17:30 | |
| Tomber en panne… C’était bien la première fois que cela lui arrivait. Ennuyé, il ne fit pourtant pas de remarque à son employé. Ce n’était pas son genre. Au lieu de perdre du temps à bavarder ou engueuler son chauffeur, il se mit en quête d’une solution, pour ne pas rater son rendez-vous. Ce dernier n’était pas si important que ça, mais le fait de devoir rater quelque chose, n’importe quelle minuscule chose dans sa vie l’insupportait. Et c’est ainsi qu’il devenait d’une humeur exécrable. Laissant donc Alexzander s’occuper du reste, il regarda au dehors, avant de continuer à taper son message avec rapidité. Malgré son âge, il n’avait pas laissé les nouvelles technologies prendre le pas sur lui. Pas question de voir des jeunes cadres le devancer dans quoi que ce soit, sinon comment pourrait-il être respecté ? Il s’arrêta un moment pour jeter un coup d’œil derrière lui. N’aurait-il pas mieux fait de descendre de la voiture ? C’est que, pour la pousser, ce serait plus facile non ? Lâchant un soupir devant l’irrationalité de son homme de main, il envoya le message et attendit patiemment une réponse, regardant de temps à autre sa montre. Bon, il était toujours en avance, mais tout de même. Il devait prévenir Kieurk aussi. La réponse ne tarda pas à venir.
- …
Blasé, il regardait le message de long en travers. Depuis quand son secrétaire se permettait-il d’être si familier ? Et c’était quoi ce truc à la fin ? Un cœur ? Non mais il était taré, c’est ça ? Oui, il devait avoir une case en moins… Pourquoi l’avait-il engagé déjà ? Soupirant lourdement, il chercha dans son répertoire le numéro de téléphone de Kieurk et attendit patiemment que ce dernier réponde. Chose qu’il ne tarda pas à faire, à son plus grand bonheur, si bonheur il y avait dans la vie de M. Coleman. C’est qu’il était un personnage si froid et distant, ce Monsieur. On se demandait même s’il lui arrivait de sourire de temps à autre. Mais cela était une autre histoire.
- Oui, M. Kieurk ? Pouvez-vous me rejoindre plutôt au café qui se trouve au croisement de la dixième et de la quinzième avenue ? Oui, celui-là même. Parfait. Je vous attendrais là-bas dans ce cas.
Alors qu’il raccrochait, il vit de la fumée noire, ce qui lui fit froncer les sourcils. Blasé, l’homme d’affaires rangea son téléphone portable et sortit du véhicule, restant à une distance respectable d’Alexzander. C’est qu’il ne voulait pas être sali par le cambouis, comme l’était en ce moment-même son homme de main. Non mais… Il ne pouvait décidemment pas se présenter à ses rendez-vous avec lui aujourd’hui. Pas tant qu’il aurait son visage dans cet état. Cherchant une solution dans sa tête, il regarda autour de lui. Etait-il énervé contre le brun ? Pas vraiment. Il aurait dû l’être, mais l’homme lui obéissait toujours au doigt et à l’œil, alors il n’allait pas le rabaisser. A l’entreprise, tous se demandaient d’où venait Stevenson. Il était étrange ce type hein ? Il suit le boss partout, comme s’il était prêt à montrer les crocs. Et puis, il écoute tout ce qu’il dit, comme si M. Coleman était une sorte de messie. Non, franchement étrange. Je le comprends pas ce type, et vous ? Non, nous non plus.
- Laisse-la voiture comme ça, Alexzander. Je vais demander à ce qu’un réparateur vienne la chercher. Je vais aller à mon rendez-vous. Toi en attendant, tu vas aller t’acheter une chemise propre et aller te débarbouiller le visage là où tu peux. Toilettes d’un restaurant ou hôtel, qu’importe. Ne reviens pas tant que tu n’es pas impeccable. Et loue une voiture. Qui marche.
Sa voix avait été légèrement sèche. C’est que la situation était contrariante et contraignante pour lui. Et il ne voulait pas que le brun vienne avec lui voir Kieurk dans un état pareil, hors de question. Alors oui, c’était un ordre. Ne viens surtout pas, tu le ferais fuir. Il ne fallait pas perdre de temps, son planning était serré aujourd’hui, plus qu’à l’habituel. Regardant un moment son homme de main, il lui fit juste un hochement de tête et se dirigea vers le café où il avait rendez-vous. Des gens s’étaient arrêtés pour observer l’étrange scène, mais Matthew les ignora. Un appel fit vibrer son appareil dans sa poche, et il le sortit pour décrocher. Encore ce fichu Kieurk.
- Du retard ? Oui, pas de problème, tant que vous arrivez à bon port.
Et avec cela, il raccrocha. Il ne manquait plus que Kieurk ait lui aussi un problème de voiture. Arrivé au café, il attendit dix bonnes minutes le bonhomme. Ils discutèrent autour d’une tasse de café pendant une bonne demi-heure avant de finalement se quitter en se serrant la main. Retournant alors à la voiture, il espéra qu’Alexzander ait trouvé de quoi s’habiller plus décemment, et qu’il se soit lavé le visage. Il ne devrait avoir pas eu de problème à faire cela. C’était quelque chose de simple non ? Ah, et puis louer une voiture. Chose plus difficile à faire. Il était évident que Matthew ne montait pas dans n’importe quelle voiture, alors allez trouver une agence de location de voitures pas loin d’ici qui serait en possession d’une voiture de luxe, genre berline noire. Quel était déjà le prochain rendez-vous sur la liste ? Il devait aller au bureau là non ? Sortant son agenda de poche, il le feuilleta rapidement. Non, il avait encore un peu de temps devant lui avant d’aller à son prochain rendez-vous.
Marchant d’un pas rapide, il faisait attention à ne pas se cogner contre d’autres passants. A vrai dire, il n’était plus habitué à marcher seul dans une foule. C’était vraiment étrange. Toujours en voiture, ou accompagné de quelqu’un, il n’avait plus pris le temps depuis des mois à présent de marcher pour marcher. Flâner dans les rues, sans penser à rien. Avant, il le faisait souvent. Il s’arrêtait devant les stands de fleurs, et hésitait à acheter un bouquet à sa femme, avant de se raviser au dernier moment. Ce ne serait que pour les grandes occasions qu’il en offrirait, sinon cela perdrait tout son charme, non ?
Arrivé à l’endroit de la panne, il chercha des yeux son homme de main. Il n’était pas encore là ? Où était-il donc passé ? Avec un soupir blasé, il scanna rapidement l’endroit des yeux. Peut-être Alexzander avait trop honte d’avoir commis des erreurs et ne pouvait pas lui faire face ? Ouais, c’est ça… Il devait juste être légèrement en retard. Prenant appui contre la voiture, l’homme d’affaires croisa ses bras et attendit patiemment que son homme de main arrive. Alexzander. C’était un prénom bizarre en soi non ? Il y avait bien Alexander, mais Alexzander ? Ca sonnait presque russe. Presque. L’était-il ? Aucune idée. Un jour peut-être, il lui poserait des questions à propos de son passé. |
| | | Alexzander Stevenson Homme de main de Coleman Your wish is my command
| Sujet: Re: What can I do for you Sir? [pv Matteo] Mer 27 Mai - 4:22 | |
| Le noir complet…Non il n’était pas mort de l’assaut de fumée noir qui était sortie de la voiture, cela aurait été des plus embêtants. Non, à place, la fumée causé par l’huile chauffée, lui avait complètement ternie le visage une bonne partie de sa chemise et bien sur avait fait de ses lunettes encore plus noirs que cette fois en plus des autres qui ne peuvent pas voir ses yeux, lui aussi ne voyait plus grand-chose. Il recula assez rapidement en toussant légèrement pour évacuer la fumée qu’il avait respirée. Qu’est-ce qui avait pu bien clocher dans la voiture il avait tout de même tout vérifié…Peut-être un conduit qui avait lâché ou bien une fuite de moteur ou bien…Stop…Son cerveau cessa de fonctionner en sentent la présence, sans pouvoir le voir, de Matthew. Ah! Il était déjà sortie de la voiture, mais la sans vision il ne pourrait pas le protéger non?...Enfin dans ce genre de quartier, le danger n’était pas se qui apparaissait le plus. Il aurait quand même préféré qu’il reste dans la voiture…comme sa il aurait pu se nettoyer rapidement avant de retourner a l’intérieur pour lui annoncer la mauvaise nouvelle.
Lorsqu’il entendit sa voix il se tourna tout simplement vers lui en suivant le son, mais il ne voyait qu’une forme avec du blanc un peu difforme. Au moins il savait que c’était lui…ou bien un grand poteau blanc qui était posé juste a coté. Il écouta attentivement comme d’habitude…Il le sentait énervé…se n’était surement pas visible de toute façon, mais en écoutant le ton de sa voix, il pouvait y distinguer l’agacement. Les deux derniers mots semblèrent rentrer plus profondément que les autres…Une voiture…qui marche…Ses mots frappèrent plus fort sa culpabilité d’avoir amené son patron dans une voiture qui était tombé en panne surtout après qu’il l’ait inspecté lui-même, mais il ne répliqua rien, ni même un désoler ou bien un semblant d’explication.
Il lui avait donné quelque chose de simple à comprendre, il lui avait donnée un ordre bien précis…En résumé, ne reviens pas avant d’être présentable et dans une voiture présentable et cette fois pas d’erreur. Il secoua la tête en signe d’approbation et laissa échapper un "oui monsieur" Et puis il entendit des bruits de pas s’éloigner lentement, sans empressement, sans énervement…Il semblait s’être calmé après avoir passé son énervement sur Alex. C’était tant mieux dans un sens, il ne tiendrait peut-être pas rigueur de l’accident du moins l’homme de main l’espérait grandement. Enfin il passa enfin le revers de sa chemise sur ses lunettes pour pouvoir avancer et trouver quelque part ou il pourrait ce refaire une toilette rapide. Il marcha lentement sur le bord, attirant évidemment l’attention, par rapport à son nouveau maquillage, mais ce n’était pas tout les jours qu’on voyait un type baraquer se balader en pleine rue.
Il trouva enfin un endroit commercial, cela ressemblait a une sorte de bar, mais le soir il semblait bien que sa devenait une boite de nuit. La dedans il y aurait surement de grande salle de bain ou il pourrait ce voir dans le miroir et se débarbouiller. Il rentra sans trop faire attention au personne qui était déjà là entrain de boire le matin…Il y avait des ivrognes un peu partout, mais dans ce quartier il semblait surtout y avoir des hommes. Il attira tout autant l’attention que précédemment, des chuchotements quelques rires…Lui il avait que la salle de bain comme objectif. Il se plaça devant un évier et fit couler l’eau s’aspergeant le visage et essuyant le tout pour effacer toutes traces noirs de sa peau et nettoyer ses lunettes par la même occasion tout en vérifiant que personne ne le regardait.
Un homme sortit d’une des cabines des toilettes et s’arrêta a coté de lui en le regardant drôlement…puis il se mit à rire.
-"Oh mon pauvre, on dirait bien que vous avez eu de la malchance à voir l’état de votre chemise!"
-"…"
-"Pas un grand bavard n’est-ce pas? Je peux vous aider peut-être mon chou?"
-"… J’ai besoin d’une autre chemise…"
-"C’est tout? Il y a une boutique très bien à 3 minutes en continuant votre chemin."
-"Merci…"
Vous espériez quelque chose de mieux comme conversation peut-être? Et non vous vous seriez trompé! Il tourna tout simplement les talons en jetant les bout de papier qu’il s’était servit. Laissant l’homme qui en resta un peu bouche-bé, il semblait s’être attendu a davantage, ou bien qu’il reste à discuter un peu. Alexzander pour lui n’avait pas de temps à perdre, il devait se dépêcher pour ne pas être en retard et puis lui ne voyait pas les discussions ou les invitations même si on lui mettait sous le nez.
Il se dirigea donc vers le magasin que lui avait conseillé le type beaucoup trop amicale à son goût, mais il n’avait pas vraiment le choix il ne connaissait pas ce quartier. Il arrêta devant la boutique ou on y affichait des chemises de toutes les couleurs, amis beaucoup trop de pastel a son goût…mais il devait bien avoir une chemise blanche à l’intérieur de cette boutique non? Une fois a l’intérieur, il n’eut pas même le temps de chercher un vendeur qu’un lui sauta presque dessus, le faisant reculer d’un pas par la même occasion…il c’était fait prendre de court par…c’était un homme ou une femme, dur a dire…Ah oui c’était bien un homme… Avec une chemise bouffante et du maquillage… Il était encore plus bizarre que lui ce type et fallait le faire.
-"Bienvenue! "
-"Euh…j’ai besoin d’une chemise…"
-"Oui oui oui! Je vois sa! Il faut vous mettre présentable pour votre personne spéciale?"
-"Mhh…Oui c’est une personne spéciale…"
Les deux n’avait surement pas vu le même sens au mot spéciale, surtout que l’un trouvait l’autre bizarre et se n’était pas le vendeur, lui avait les yeux qui brillait que sa donnait presque la trouille. Il lui attrapa même le bras pour le tirer dans les profonds de la boutique, il lui mit dans les bras des chemises blanches, bleu rose et même une jaune et une autre avec un arc-en-ciel dessus…Pas très officiel tout sa et en moins de temps qu’il lui fallut pour dire d’attendre il se retrouva dans une cabine d’essayage avec cet amalgame de vêtement. Le temps qu’il réalise le tout et qu’il reprenne ses esprits, il se mit à essayer les chemises blanches elle était beaucoup trop bouffante pour faire bien. Le vendeur lui força a essayer la rose et a sortir de la cabine.
-"Je ne crois pas que…"
-"Bien sur que vous ne croyez pas, vous ne voyez rien!"
Et il lui retira ses lunettes de force, en souriant, l’air de dire et voilà! Alex s’étira tout de suite le bras en sautillant un peu en essayant de les récupérer.
-"Rendez les moi ! J’en ai besoin!"
-"Non non non, pas tant que vous n’aurez pas essayé la bleu classique mon joli!"
Il du se résigner et a retourner dans la cabine pour changer de chemise et d’en mettre une d’un bleu poudre un peu plus classique, mais n’empêche...la couleur. Il sortit et le vendeur sembla tomber comme en amour avec lui a se moment, lui disant que tout était presque parfait avant de lui ébouriffer les cheveux se qui le fit gigoter sur le coup, pas habituer a se genre de contact, il lui donna même un coup.
-"Oups, je l’ai ai échappé!"
Alexzander se redressa rapidement...Il avait échappé quoi!?...Ses lunettes…ou sa? Ou avait elle filer!? Il courut en direction d’un bruit, il semblait venir d’une fenêtre de la boutique donnant sur la rue et un crak…Ses lunettes fumée venait de rendre l’âme sous les roues d’une voiture et lui qui n’en avait pas d’autre sur lui…Une chute dans les abysses il avait perdu sa seule défense…Il regarda sa montre…trop tard pour chercher une boutique de lunette...Il devrait se résigner…Il ne remarqua même plus sa coiffure et sa cheveux qui lui donnait un air plus normal et moins coincé…mais qui n’était pas lui…Il paya finalement le vendeur qui s’excusa.
Au moins pour la voiture il s’avait quoi faire, il n’aurait qu’a contacter celui qu’il avait contacté lorsqu’il était venu ici avec ses parents, c’était un spécialiste de voitures de luxe et souvent il venait les porter lui-même. Il sortit son portable et se dépêcha de prendre une voiture...Il était à court de berline noir, quoi prendre, quand même pas une limousine…Il choisit plutôt une Lamborghini, un peu plus sport mais toujours aussi luxueux. Il donna l’adresse de la boutique de chemise et attendit assis sur les escaliers pas du tout rassuré…Il se sentait toujours vulnérable sans ses lunettes. Il remplit tous les papiers, sous les yeux un peu surpris du locateur qui ne le reconnut pas de suite, très normal en faite, même ses parents ne l’aurait pas reconnut, il se dépêcha de grimper dans la voiture pour retourner non loin de celle qui fumait encore très légèrement.
Il vit son patron arriver…Regarder, puis s’appuyer contre la voiture en panne…Il ne l’avait pas vu, quoique pas surprenant, il c’était appuyer le front contre le volant, le temps de reprendre sa constance, il n’était pas en retard par chance. Il finit par sortir de la voiture grise de luxe pour marcher vers son patron…ses quelques pas semblèrent lui durer une éternité et il se plaça a coter de l’homme d’affaire.
-"Monsieur, la voiture est là. Lorsque vous serez prêt à partir."
Les yeux toujours rivé vers le bas, sans pouvoir le fixé, il tourna les talons pour retourner à sa place derrière le volant en attendant qu’un bruit de la porte arrière se fasse avant qu’il remette le moteur en marche et retourner sur la route en direction du bureau, les autre rencontre était toutes la bas de toute façon…Par chance il savait qu’i lavait des vêtements de rechange convenable là-bas et surtout le plus important, des lunettes…
-"Veuillez pardonner mon apparence, je n’ai pas trouvé mieux, mais je pourrais me changer de nouveau une fois à la Coleman business. Nous y serons dans 15 minutes exactement."
Il espérait qu’il ne lui en voudrait pas trop, au moins c’était toujours mieux que la chemise rose…
(dsl pour le long post, je devait trop décrire ses péripéties XD) |
| | | Matthew Coleman PDG de Coleman Business
| Sujet: Re: What can I do for you Sir? [pv Matteo] Dim 7 Juin - 17:05 | |
| Le bruit d’une portière qu’on ouvre attira son attention, et il tourna la tête en direction d’Alexzander. Ah, ce dernier n’était donc pas en retard. C’est juste qu’il ne l’avait pas remarqué au volant de la Lamborghini. C’était une voiture de luxe, oui. Un peu trop sportive à son goût. Elle attirait trop l’attention. Les vitres étaient néanmoins teintées, ce qui était une bonne chose. Matthew n’aimait pas que les gens puissent le voir de l’extérieur, et encore moins quand on cherchait à le scruter pour savoir quel personnage se faisait donc conduire partout en ville dans une voiture pareille. Se dirigeant à pas lents vers Alexzander, il lui lança juste un regard dédaigneux. Qui avait dit qu’il était quelqu’un d’agréable, de facile à vivre ? Travailler pour lui était une chose difficile, et chacun de ses employés était tendu à l’idée de recevoir une visite du patron dans leur bureau. Ce n’était que rarement pour de bonnes nouvelles. Il arrivait donc parfois que certains tombent en dépression à cause de la pression qu’il leur mettait, mais c’était pour leur propre bien. En quelque sorte.
- Oui, j’ai vu ça.
Grimpant dans la voiture, il sortit de nouveau son paquet de cigarettes pour s’en allumer une. Lui-même était parfois stressé, et la nicotine l’aidait à se détendre. L’homme d’affaires ne répondit rien. La tenue d’Alexzander était un peu près correct, bien qu’il se demandait où étaient passées les lunettes de soleil. Et il était évident qu’il faudrait qu’il se change pour une tenue plus conventionnelle arrivé à la Coleman Business. Cette entreprise… Dire qu’elle n’était même pas sienne au départ. Il l’avait obtenu grâce au mariage, puis au décès de sa femme. Après tout, il n’aurait pas dû hériter de la fortune de la jeune fille, du moins pas directement, et voilà qu’il était à présent propulsé au sommet. Il n’était qu’un simple orphelin, il y a de ça trente ans à présent, et avait trouvé gloire et fortune. Un pauvre gamin des rues paumé qui ne savait rien faire, et qui s’était acharné, qui s’était battu pour en arriver à là. Mais au final, avait-il vraiment réussi sa vie ? Ce qui avait une réelle valeur, ne l’avait-il pas perdu durant cet attentat terroriste ?
Perdu dans ses pensées, il regardait par la fenêtre. Le bout de sa cigarette commençait à présent à se consumer doucement, et la cendre tomba sans qu’il n’y prenne garde. Il était plongé dans des souvenirs qui semblaient lointains. Betty… Si elle était encore en vie, elle serait à la maison, en train de lire un bouquin, à la terrasse de l’appartement, une tasse de café fumante devant elle. Puis son regard se serait posé sur le ciel éclairci, dénué de tout nuage. Pour finir, elle aurait sourit en pensant à son mari qui était partit au travail. Et à présent… Il n’y avait personne qui pensait à lui. Du moins, pas d’une façon tendre et affectueuse.
La voiture s’était arrêtée, et il jeta sa cigarette par la fenêtre. Il n’en avait tiré que quelques bouffées. Quel gaspillage. Jetant un coup d’œil à son homme de main, il sortit de la voiture et attrapa son attaché-case. Quelques pas, et il était à présent dans la Coleman Business. Un grand bâtiment de plusieurs étages de haut, aux vitres transparentes qui étaient lavées une fois par mois. Saluant d’un coup de tête certaines personnes, Matthew était à présent dans l’ascenseur qui le guiderait jusqu’à son bureau. Il évitait également soigneusement de croiser le chemin de son secrétaire personnel. C’était qu’il pouvait être envahissant parfois, et lui avait besoin d’être seul. Aujourd’hui, il se sentait morose.
- Mary, pouvez-vous m’envoyer M. Scape dès qu’il arrivera ? Merci.
Attrapant son courrier de la journée, il alla s’enfermer dans son bureau. Quelques minutes plus tard, la jeune femme toqua à la porte, accompagnée du rendez-vous de cette matinée. Encore un… Se levant pour accueillir le Monsieur, Matthew l’invita à s’asseoir après lui avoir serré la main. Il lui décocha un sourire poli et se rassit également. Et c’était partit pour un autre tour. M. Scape était le PDG d’une autre entreprise qui souhaitait faire affaires avec la leur, notamment dans une exportation importante de textile en provenance des pays d’Asie. Sortant le dossier approprié, Matthew releva la tête pour retenir la secrétaire, Mary.
- Ah. Pourriez-vous nous apporter deux cafés s’il vous plaît ? Et demandez aussi à Stevenson de venir à mon bureau.
Hochant la tête, la secrétaire s’éclipsa discrètement. Matthew se tourna finalement vers l’homme d’affaires pour discuter, regarder les chiffres, les coûts des transactions et toute sorte de chiffres plus ennuyants les une que les autres. Mary, entre temps, leur apporta deux cafés. Il se mit à en siroter un tout en griffonnant quelques notes sur ses papiers. Les deux hommes parlaient avec entrain, mais cela ne voulait rien dire. Ils n’arriveraient à une réelle conclusion que quand tous deux auraient signé un contrat. Ce fut à ce moment-là que l’on toqua à nouveau à la porte et qu’une autre personne entra dans la pièce. Sûrement Alexzander. Jack, lui, ne prenait jamais la peine de s’annoncer avant d’entrer dans son bureau, ce qui était assez frustrant. Les portes, ça servait à garder une certaine intimité, non ? Redressant la tête, il regarda le profil d’Alexzander apparaître dans le cadre de la porte. |
| | | Alexzander Stevenson Homme de main de Coleman Your wish is my command
| Sujet: Re: What can I do for you Sir? [pv Matteo] Mer 10 Juin - 0:13 | |
| La plus dure étape avait été passée, celle de l’évaluation de son look par son patron. Une dure épreuve qui lui avait demandé de l’énorme courage, car si jamais celui-ci le réprimandait tout pouvait arriver…il ne savait pas si Matthew était du genre à renvoyer ses employé rapidement aussitôt qu’ils font quelque chose qui le déplait ou bien leurs laissait-il une seconde chance…Il n’y avait pas de chance à prendre si l’on pouvait dire. Du moins il passa la première étape, un regard dédaigneux le scrutant de haut en bas…quelques mots…puis rien il grimpa tout simplement dans la voiture après l’avoir observer…il avait passer le test, un stress de moins sur les épaules.
Bien que le fait des lunettes qu’il lui manquait sur le bout du nez, ce qui ne lui donnais pas vraiment plus de confiance en soit, il ce devait en premier lieu éviter toutes émotions qui pourrait apparaître dans ses yeux ou sur son visage. Si ce n’était pas des émotions c’était surtout le fait que ses yeux ne fixait jamais personnes, il ne devait pas montrer ses faiblesses, il ne devait pas avoir de faiblesse voila ce que lui répétait sa mère à chaque fois qu’il montrait la moindre faiblesse qu’elle soit mentale ou bien physique, il devait a tout pris ce montrer complètement neutre face a ses supérieurs et face au gens que ceux-ci rencontrait. D’un coté il était une preuve de puissance et de contrôle lorsqu’on le présentait à quelqu’un. Imaginer un patron ayant engagé un type mou et sans colonne incapable de ce défendre ou bien de se tenir droit face a qui que ce soit…Le patron ne passera-il pas lui non plus pour une personne molle pour avoir engagé un type pareil.
Roulant toujours tranquillement sur la route jusqu'à l’arrivé à la Coleman Business le plus grand des silences régna dans la voiture, pas que c’était vraiment différent de d’habitude, mais il y avait plus qu’une absence de paroles il semblait y avoir aussi une absence d’esprit. Alex avait regardé plusieurs fois dans son rétroviseur, pour voir si tout allait bien, il ne voyait que son patron, le regard perdu par une des fenêtres, la cigarette habituelle au travers de ses lèvres, elle semblait brûler lentement, a son rythme comme si elle n’était la que comme décoration. Il était donc partit quelque part dans ses pensées, des souvenirs? Du moins, quelque part ailleurs que dans cette voiture. Il avait l’envie de lui demander Monsieur vous semblez soucieux quelque chose ne va pas? Mais la dernière fois on lui avait répondu de ce mêler de ses affaires et de faire son travaille tout simplement, alors il n’osa pas le déranger, il ne le ferait qu’en cas de besoin.
Cependant ce ne fut pas le cas, puisque une fois arriver à l’établissement, celui-ci sembla tout simplement revenir a lui comme si de rien n’était, au moins il ne semblait pas trop affecté…Sa prochaine rencontre le dérangeait-il? Tout de suite arriver, il n’eut pas droit a plus de mot, celui-ci disparut tout simplement à l’intérieur de l’établissement, toujours décider, toujours concentré sur le travail. Alex quand à lui vérifia la voiture et le suivit par après, prenant le prochaine ascenseur pour aller a son petit bureau, bien qu’il était toujours entrain de suivre monsieur Coleman il avait quand même une petite pièce a lui ou il pouvait laisser son manteau ou bien autre chose et y compris des vêtements de rechange pour tout genre d’occasion. Cependant il devait passer au travers d’un monde dangereux…les filles…et les employés trop curieux, ils eurent à peu près la même expression en voyant l’homme de mains passé, comme s’il était un phénomène hors du commun dans ce laps de temps.
On ce demandait bien ce qui avait pu ce passé durant qu’ils étaient sortit, pourtant Matthew lui n’avait rien de changer, un grand mystère de plus. Il disparu dans la petite pièce et refermant rapidement la porte, c’étant concentrer généralement vers cette destination, ne faisait aucune importance sur ceux qui posait des questions, les ragots les histoires…tout n’était que des mots, il n’y avait rien la dedans pour avoir raison de ses réactions. Il ouvrit rapidement le placard sur sa droite, pour y sortit chemise blanche veston noir et bien sur une paire de lunette ce fut même la première chose qui fit apparition sur son habillement, il ce sentait mieux ainsi…il eu à peine le temps de retirer la chemise bleu poudre qu’on cogna a la porte.
Il alla tout simplement répondre, une jeune femme était la, le regardant un peu surprise sur le coup avant de lui dire que Matthew l’avait fait demander dans son bureau, après c’être changer sa c’était un must!
-"J’y vais tout de suite, merci madame."
Il se changea encore plus rapidement remonta en dernier lieu le nœud de sa cravate, avant de sortir de la petite pièce habiller comme a son habitude, ne faisait aucune intervention des autres employés habituer a cet accoutrement des plus normal. Il ce dirigea donc en direction du bureau de Matthew, la porte était fermer, donc il était surement avec quelqu’un. Il toqua quelque coup a la porte avant de tourner la poigner et d’entré en excusant son intrusion comme a chaque fois. Il avança de quelque pas et ferma la porte derrière lui, regardant un instant l’homme avec qui il était en compagnie…son visage lui disait quelque chose…Il ce rappela le planning de la journée Mr. Scape…Oui il avait déjà croisé cet homme avec ses ancien patrons.
-"Je n’en crois pas mes yeux, c’est vraiment lui, eh bah sa alors."
L’homme se leva de sa chaise pour avancer vers lui, avec un air…qu’il connaissait que trop bien, un sourire en coin, s’approchant de trop près. Il ce mit face a lui, essayant de le fixé dans les yeux au travers des lunettes.
-"Je ne me suis pas tromper, c’est bien lui. Alexzander…oh devrais-je plutôt dire, le chien des Stevensons? Ils sont tous morts n’est-ce pas? On te croyait mort aussi en fait. Comment ce fait-il que soit encore ici?"
-"J’étais à l’extérieur lors de l’accident."
-"Mouais peut-importe. Si tu es ici…tu es le chien de Coleman maintenant? Tu as changé un maître pour un autre au lieu de prendre une place qui te reviendrait de droit."
-"Elle ne me revient pas de droit"
-"Sa c’est ce qu’il t’on rentré dans le crâne, par héritage tu y a droit mais tu l’as refusé n’est-ce pas?"
Mais ou voulait-il en venir avec toutes ses questions? Alex ne savait pas vraiment quoi donner comme réponse, c’était le passé après tout, maintenant un autre s’occupait de la compagnie et rien de plus. Pour lui la fin avait été la, il avait trouvé un autre…Maitre si on pouvait le dire ainsi.
-"Je suppose que tu n’as rien dit à Coleman non?"
-"Monsieur Coleman n’avait pas besoin d’être importuné par cela."
-"Oh alors je vais lui dire moi, sa ne m’importune pas. Mr Coleman! Lassé moi vous présenté Alexzander Stevenson, dernier fils et descendant de la famille Stevenson qui possédait la Stevenson international, une compagnie œuvrant dans divers domaine mais qui au central était une compagnie financière œuvrant sur plus d’argent que vous ne pourrez jamais en mettre dans vos mains. Le second fils devait hériter, mais ils sont tous mort lors de l’attentat et lui a refusé ses droits pour venir travailler ici comme chien chien de garde pour vous."
- "…"
Que pouvait-il dire à cela? Il n’avait pas tout a fait tord, ses dires était vrai bien que lui s’était habitué a les ignorer et a continuer sa vie comme il l’avait toujours fait.
- "Eh bien sur se, je crois que j’ai terminé les présentations, ou en étions nous Mr.Coleman?" |
| | | Matthew Coleman PDG de Coleman Business
| Sujet: Re: What can I do for you Sir? [pv Matteo] Sam 20 Juin - 18:58 | |
| Installé face à son client, il regarda l'homme d'un air calme. Sirotant sa boisson, tous deux parlaient de chiffres, de crise, de tout et de n'importe quoi. Finalement, Alexzander était arrivé. Et contre toute attente, M. Scape s'était mis à parler avec lui. Haussant le sourcil, Matthew s'était reculé dans son siège pour s'installer confortablement, mains croisées devant lui. Il était resté silencieux pendant toute leur petite entrevue, l'air désintéressé. Les mots employés par Scape lui hérissait légèrement le poil. Certes, Alexzander se comportait vraiment comme un clébard parfois, à toujours obéir au moindre de ses ordres, à toujours être sur le qui-vif, mais ce n'était psa la peine d'enfoncer un homme comme ça en le traitant de la sorte. Et s'il était aussi riche qu'il le disait, pourquoi lui parler sur ce ton? Scape avait toujours été quelqu'un d'assez désobligeant, avec peu de retenue, chose qui avait toujours freiné Matthew. Il avait horreur de lui parler. Tout ce qui sortait de sa bouche était inutile. Il se vantait sans cesse de ses richesses, de ses connaissances et de ses conquêtes. Lui ne faisait que l'écouter d'une oreille discrète. D'ailleurs, la scène qui se déroulait devant ses yeux ressemblait fortement à une sorte de sketch.
Leur conversation terminée, Matthew lança un regard ennuyé à l'homme d'affaires. Il n'en avait que faire de ces sottises. La vie privée d'Alexzander, son passé et tout le reste ne le concernait pas. Certes, il était toujours intéressant de savoir que son employé était plein aux as, mais il trouvait ça plus inquiétant qu'autre chose. Pourquoi ne pas avoir pris sa fortune avec lui, s'il était aussi riche que Scape le clamait si haut et fort? Il n'y avait aucun intérêt pour son homme de main de travailler pour lui. Pour lui, le brun était de plus en plus bizarre. Dès le premier jour, il l'avait trouvé étrange. Le brun était sortit presque en courant du café pour l'accoster et le supplier de le prendre dans son entreprise. Lui ne savait pas trop pourquoi il avait accepté. Peut-être était-ce son air désespéré, ou bien son air perdu, il n'en était pas trop sûr.
- Mh.... Excusez-moi M. Scape, je viens de me rappeler que j'ai un rendez-vous important. Je vous recontacterais prochainement pour conclure l'affaire.
Lui faisant un sourire contrit, il se leva, signe que oui, il souhaitait que l'homme sorte de son bureau. Et malgré l'air courroucé que ce dernier prenait, il lui tendit la main par politesse avant d'attendre que l'homme se tourne pour sortir finalement de la pièce. Se rasseyant, Matthew jeta un regard très ennuyé à Alexzander. Il n'aimait pas être rabaissé par d'autres niveau richesse, et même si cela n'était pas de la faute du brun, il considérait cela comme tel. Lâchant un soupir, il invita Alexzander à s'asseoir d'un geste, face à lui. Se penchant en avant, il croisa ses bras sur son bureau et regarda le brun d'un air sérieux. Rares étaient les fois où il discutait avec l'homme mis à part pour le travail. Il fallait bien une première fois à tout.
- Pourquoi ne m'as-tu pas parlé de ça? Non, encore plus intriguant, pourquoi vouloir travailler pour moi si tu possèdes une telle fortune? C'est une blague c'est ça? Je dois te dire que j'ai du mal à comprendre la façon dont tu marches.
Matthew commençait d'ailleurs à être suspicieux. Pourquoi un héritier aussi riche irait travailler pour une entreprise vraisemblablement plus petite que la sienne, mh? Il cherchait à faire quoi franchement? A faire couler son entreprise pour que la sienne prospère? Tout était possible dans cette ville après tout. Certes, peut-être était-il un peu paranoïaque sur les bordes, mais il y avait de quoi. Ici, n'importe qui pouvait se faire tuer au coin de la rue. Lui n'allait certainement pas laisser son entreprise aux mains de mafieux qui tâcheraient la réputation de la Coleman Business. Matthew n'était pas seulement un bourreau de travail. A vrai dire, il faisait en sorte que l'entreprise prospère, non pas pour perdre de l'argent, mais surtout pour faire vivre le souvenir de son épouse décédée.
- Si toute cette histoire est vraie, j'aimerais bien que tu m'expliques pourquoi est-ce que tu te contentes d'être un simple homme de main? C'est stupide. De plus, ce n'est pas comme si je traitais bien ou quoi que ce soit.
Il n'avait jamais été désagréable et ne s'était jamais amusé à lui crier dessus, mais tout de même... On ne pouvait pas dire que Matthew était le plus gentil des patrons. Lui-même le savait, il était inutile de se voiler la face. Il était franchement détestable parfois, et mettait bien trop souvent la pression sur ses employés. So what? S'ils n'étaient pas contents, ils n'avaient qu'à chercher un boulot ailleurs, ce n'était franchement pas son problème. Libre à eux de se trouver au chômage. M'enfin... Alexzander était vraiment très, très étrange. Plissant les yeux, l'homme d'affaires scrutait son employé comme s'il cherchait à percer un quelconque secret enfoui au fond de lui. Qui était Alexzander Stevenson, et que lui voulait-il?
- J'avais entendu parler de la Stevenson International, mais je ne me serais jamais douté que tu en étais l'héritier. Et que comptes-tu faires maintenant? Continuer à travailler en tant que marche-pied?
Comptait-il travailler en tant qu'homme de main pendant encore des années? Alors que tout le monde le voyait comme un simple chien à la solde de la Coleman Business? Dire qu'il pouvait être tellement plus. C'était un peu du gâchis. Mais cela n'allait pas changer l'attitude de Matthew vis-à-vis de son employé. Il l'était toujours pour l'instant, et il n'y avait pas le moindre changement dans le statut social d'Alexzander pour lui. Le brun restait le même. |
| | | Alexzander Stevenson Homme de main de Coleman Your wish is my command
| Sujet: Re: What can I do for you Sir? [pv Matteo] Ven 26 Juin - 7:03 | |
| Ah mais comment il pouvait tout savoir sa ce type!? A oui…Il l’avait déjà rencontré plusieurs fois, il avait souvent discuté affaire avec ses parents, il lui arrivait même parfois de rester plusieurs jours, il semblait toujours avoir une bonne relation avec ses parent cependant avec lui c’était autre chose. Il était comme plusieurs, qui sans arrête et sans remord de traiter l’homme de main de chien, de clébard et tous ses synonymes et tout sa parce qu’il obéissait comme on lui avait montré a le faire. Scape avait toujours en prendre une grande joie de le rabaissé a chaque fois qu’il le rencontrait comme si cela mettait l’homme de très bonne humeur a la fin. Alors même qu’il avait changé de patron, il n’était plus avec ses parents qui l’avait déjà appelé comme un chien…et bien il recommençait, cependant, pour Alex, ses mots ne lui firent pas changer d’expression davantage. Pourquoi? Parce qu’on lui avait dit qu’il n’avait pas de raison de se sentir mal quand on dit la vérité a quelqu’un. Une vérité…
*Flash back*
-"Qu’est-ce qu’il y a cette fois Alexzander?"
-"C’est juste que, cet homme…Il m’a appelé le « chien »"
- "Et alors? Quel est le problème?"
-"Et bien…Je n’aime pas vraiment, c’est méchant je ne suis pas…"
-"Bien sur que t’en ai un. Un chien sa obéit aux ordres qu’un maître lui donnes et sa reste fidèle. Tu es fidèle n’est-ce pas? Mais au moins les chiens sa ne donne pas d’opinion sa obéit sans répliquer et ne nous embête pas pour des bêtises!"
-"Mais je…"
-"Suffit, tais toi. Just bear with it! That’s all... Cette conversation est terminée. Et je ne veux plus en entendre parler."
-"Oui madame Veuillez m’excusez."
*fin du souvenir*
Il se souviendrait toujours de ses mots crus qui avait mit un fin a son soucis. Il c’était fait a l’idée qu’il ne pourrait jamais faire taire ses mots, et comme sa mère lui avait dit, il s’arrangeait avec.
Ah la vérité avait sortie du sac? Oui, cette homme c’était donner une grande joie d’exposer le tout au grand jour. Avait-il essayé de le cacher? Enfaite…pas spécialement, il c’était surtout dit a lui-même que tout ceci n’était qu’un détail…Enfin un énorme détail, mais un détail quand même. Il n’avait jamais cru bon en informer Matthew de peur de l’importuner avec des détails de sa propre vie qui ne lui était dans aucune utilité pour le travail. Cependant, il ne vit pas une simple expression d’embêtement, ou une sensation que les paroles que M.Scape avait prononcées l’avaient laissé complètement indifférent. Avait-il commis une grave erreur en ne lui disant rien de tout cela? Mais pourtant, même monsieur Matthew ne lui avait jamais demandé des choses sur lui depuis qu’il avait accepté qu’il travaille pour lui. E si son passé était important, celui de son patron n’en était-il pas tout aussi important et que cela non plus il n’en savait que dalle? Trop de chose compliquée pour son propre cerveau à analyser.
Ah il avait terminé avec monsieur Scape? Alex regarda sa montre l’espace d’un instant…C’était un mensonge, il avait beaucoup de temps devant lui, mais il semblait plutôt irriter plus qu’autre chose. Sa faut? Probablement indirectement. Se faux sourire, il l’avait vu a plusieurs reprise, Matthew ne souriait jamais habituellement…il disait bien habituellement, Alex l’avait déjà aperçu, aussi petit soit-il, sourire pour vrai, mais cela n’arrivait que lorsqu’il tombait quelque par dans ses pensée, l’homme de main n’avait jamais osée le déranger dans cette période.
Il était maintenant seul dans la grande pièce. Il ne lui avait pas donné d’ordre non plus ou encore demandé de sortir à la place son patron alla tout simplement s’installer a son bureau pour le regarder, et il semblait…contrarié. L’homme de main ravala sa salive par nervosité. Tout pendant que ses pieds le faisait avancer vers la chaise que lui avait indiqué son patron il avait l’impression de ce rendre a une chaise électrique ou seul un jugement choisirait du reste de sa vie. Pourrait-il trouver un autre emploi, un autre patron qui pourrait lui donner tout autant d’ordres fermes? Sa ne courrait pas les rue en faite, c’était surtout les fous qui courrait les rue.
-"Je…Non! Je sais bien que vous n’avez pas le temps pour ce genre de bêtises! Jamais je ne ferais une blague encore moins une qui pourrait vous attirer des problèmes…"
Il avait peut-être évité un peu les autres questions, mais il ne savait pas quoi répondre a part d’un « Je suis comme sa ». La façon d’ont il marchait? C’était tout simplement comme à une machine ou l’on donne des ordres et rien de plus, il n’y avait rien a comprendre de plus, il n’avait pas de personnalité qui lui était propre a part peut-être ce petit coté gamin qui ressortait parfois, car il ne savait pas autre chose que le travail, mais sinon il n’était rien de plus qu’un bourreau de travail, on ne lui avait jamais montré a faire autre chose comme des activités par exemple. Une autre chose qu’on ne lui avait surtout pas montré, c’était à réfléchir par lui-même, prendre des décisions être autonome, ce mot il ne le connaissait qu’en définition, mais pas en pratique.
-"La vérité hein…"
Il baissa légèrement la tête en signe de réflexion, la vérité, comment fait-on pour savoir si quelqu’un disait la vérité, car dans ce cas la, il avait toujours le choix de le croire ou non, il était toujours entre les mains de Matthew d’en décider.
*souvenir*
-"Tiens"
-"Des lunettes?"
-"Oui, met les et a partir de maintenant je ne veux pas te voir sans une paires d’entres-elles."
-"Mais…pourquoi?"
-"Parce que je ne peux pas te laissé tout fouttre en l’air par ton regard. Avec ses lunettes au moins personne ne verra que tu regarde toujours à terre. Et de plus la vérité est toujours lisible à travers le regard d’une personne et pour pas que tu sois une nuisance, tu va les mettre un point c’est tout."
-"Je ne vais pas vous décevoir madame"
-"Je l’espère bien, n’oublie pas tu me dois la vie quand même, alors tant que tu seras utile et raisonnable, tout ce passera bien."
-"Oui madame"
*fin*
C’était uns vérité qu’il voulait avoir non? Et la seule preuve de sincérité qu’il pouvait lui donner, c’était de lui permettre de lire la vérité en lui. Alors d’un geste il releva la main pour retirer les lunettes noir fumée qui lui voilait le regard toujours baissé, puis il finit par relever la tête, en essayant de garder le regard le plus droit possible.
-"Ce que monsieur Scape a dit est bel et bien la vérité. Je suis bien le dernier de la famille Stevenson et j’aurais du récupérer la compagnie après la mort de mes….paren patron…Et du successeur. Je ne suis pas très compliquer a comprendre monsieur, je suis tout simplement un chien. Vous n’avez pas à être irrité parce que Monsieur Scape m’appeler ainsi, ce n’est par le premier et ce ne sera pas le dernier, j’y suis habituer. "
Un simple et rare sourire avait apparut sur ses lèvres a cette parole, c’était quand même un souvenir.Il n’était pas du genre à parler beaucoup, la parole était une faculté qu’il avait, mais qu’on lui avait souvent défendu ou bien demander de ce taire. Il lui était difficile de trouver les bons mots à mettre, il ne voulait pas raconter sa vie ou bien raconter des détails inutiles qui ne ferait qu’ennuyer Matthew, sa le rendait très nerveux a un tel point ou on pouvait entendre un petite craquement des lunettes qui passait d’une main à une autre.
-"Ne dites pas sa monsieur, vous me traité très bien, je ne me sens pas malheureux et je ne suis pas malade. Mais je ne sais pas vraiment quoi répondre a pourquoi je fais ce que je fais, si ce n’est que c’est tout ce que je sais faire. Je sais faire de la comptabilité, mais je ne suis pas fait pour prendre des décisions, je ne peux pas continuer le travail de la compagnie. Madame me disait toujours que je n’avais pas besoin de réfléchir, je n’avais qu’à obéir et on prendrait les bonnes décisions à ma place."
Et puis crack, ah bah vit ses lunettes au contour de plastique avait finit par céder au stress de ses mains qui n’arrêtait pas de bouger. Quel dommage une toute nouvelle paire. Sa plus grande peur en ce moment était de ce faire renvoyer pour avoir en quelque sorte mentit ou plutôt avoir caché la vérité à la seule personne qui aurait pu être concerné par toutes ses information, il n’avait pas du tout envie de partir lui, que deviendrait-il? Survivrait-il cette fois si personne n’était la pour lui donner des ordres, la dernière fois il avait dépérit de plus en plus jusqu'à enfin trouver ce qu’il cherchait.
-"S’il vous plaît ne me renvoyez pas, je ne veux pas arrêter de travailler ici. Je n’ai pas de place nulle part…Madame disait que j’étais déjà chanceux d’être en vie, car je n’avais jamais été désiré et que je devais prendre la place qu’on me donnerait, car j’en ai jamais eu. Mais…si je dire, vous n’êtes pas obliger de répondre, mais…moi aussi j’ai de la difficulté à vous comprendre parfois. Ses congés que j’ai parfois, je n’ai jamais eu sa avant avec mes anciens patrons. Ils me demandaient toujours de ne jamais rester biens loin, je vivait juste a coté, mais avec vous j’habite beaucoup plus loin et vous ne me déranger jamais chez moi et puis je ne crois jamais avoir vu madame Coleman…enfin peut-être mais je dois me tromper."
Aie! Ah oui les ongles dans la peau sa ne faisait jamais de bien, et si sa continuait sa serait les os qu’il ce rongerait.
-"Je n’ai pas besoin de tout sa, tout cet argent, cette place, je pourrais toujours y avoir accès, mais j’en ai pas besoin. Je…Je veux rester travailler pour monsieur Matthew, alors laissez moi restez s’il vous plait. Si j’avais su que cela vous était important je vous aurais déjà tout dit cela."
Pour une fois qu'on arrivait a lui arracher plus que quelques, mots, ses moments était plutôt rare. |
| | | Matthew Coleman PDG de Coleman Business
| Sujet: Re: What can I do for you Sir? [pv Matteo] Dim 23 Aoû - 15:34 | |
| Un sourcil haussé, Matthew regardait son employé prendre place dans la chaise. Ses yeux noirs le fixaient à présent, semblaient vouloir le sonder, comprendre ce qui se cachait derrière le personnage d’Alexzander. Car oui, il avait toujours remarqué que ce dernier était assez étrange, et ce depuis leur première rencontre. Quel genre de passé avait-il bien pu avoir pour finir ainsi, pour n’être plus qu’un sous-homme à la solde de ses patrons ? D’un air sceptique, il observait le brun, écoutant attentivement ce qu’il lui disait. Les mots ne sortaient pas facilement, il hésitait, butait, ne semblait pas savoir quoi dire ou comment se justifier d’avoir caché une telle chose. Alors lui restait silencieux, installé dans son fauteuil en cuir. Son homme de main retirait à présent ses lunettes de soleil, et ce fut bien la première fois qu’il pouvait lire dans son regard. C’était une chose troublante. Le reste ne fut qu’un flot de paroles de la part de son employé. Il y eut un bruit de craquement et Matthew baissa les yeux pour regarder la paire de lunettes détruite, avant de reporter son regard sur le visage du brun. Et la voix d’Alexzander ne s’arrêtait plus à présent. Il lui déballait tout, tout ce qu’il pensait, une partie obscure de son passé et puis ce qu’il voulait. Lui qui ne demandait jamais rien d’habitude, qui ne faisait qu’obéir, il souhaitait quelque chose : continuer de travailler pour lui.
Silencieux après tant de paroles, l’homme d’affaires se pencha en avant pour poser ses coudes sur la table. Il ne savait toujours pas quoi penser de cette histoire qui était de plus en plus étrange. L’homme de main avait d’ailleurs fait mention de Mme Coleman, chose qui l’avait crispé plus qu’autre chose. Mme Coleman… Il préférait la plupart du temps ne pas penser à elle. C’était un sujet qui était plus douloureux qu’il ne le montrait. Epineux. Mme Coleman, peu de personnes l’avait vu. Elle était morte depuis des années à présent et pourtant son souvenir restait impérissable, ancré dans son esprit, toujours aussi vif. Comme on disait, ce n’est que quand on perd certaines choses que l’on se rend compte à quel point elles étaient importantes à nos yeux.
- Mme Coleman est décédée et ce depuis plusieurs années. C’est pour cela que tu ne l’as jamais vu. Je suis veuf actuellement. Si je ne veux pas que tu restes près de moi à tout moment, c’est parce que j’ai besoin de tranquillité et de solitude, tout simplement. Et tu n’es pas vraiment un garde du corps, juste un homme de main qui va faire des tâches ici et là quand on le lui demande.
Des gardes du corps, il devrait peut-être en avoir, mais ne les sortait que quand il devait se rendre à une soirée ou bien à une inauguration. Ce genre de choses l’ennuyait plus qu’autre chose à vrai dire. Avoir quelqu’un collé à ses basques constamment n’était pas sa tasse de thé, même si cela était une question de sécurité. Il tenait à être indépendant et libre de ses mouvements. Et avoir des gardes du corps ne sauvait pas d’une attaque terroriste. Ca, il l’avait déjà expérimenté. Mains liés face à lui, il continuait de regarder Alexzander, l’air grave. Evidemment, il n’était écrit nulle part que ce que lui avait caché l’homme de main allait à l’encontre de son contrait, mais c’était une question de confiance, tout simplement.
- Je ne vais pas te renvoyer.
Voilà, la sentence avait été déclarée. Pas de condamnation pour l’accusé, juste une petite mise en garde pour cette fois-ci, un avertissement en quelque sorte. Certes, les intentions d’Alexzander n’étaient toujours pas claires aux yeux du PDG. La façon dont le brun agissait et pensait était totalement incompréhensible pour lui. C’était hors de sa portée. Et il n’avait jamais étudié la psychologie. Se reculant pour s’enfoncer dans son siège, il lâche un léger soupir. C’était une journée bien plus mouvementée que prévu. Il aurait besoin de réfléchir à tout cela au calme, chez lui ce soir. Tapotant ses doigts sur sa cuisse, il ne savait quoi dire face à l’homme. Comment lui pourrait-il continuer à le traiter comme un simple homme de main alors qu’il détenait une telle fortune derrière lui ? D’ailleurs, ne pourrait-il pas tirer des avantages de cette situation ? Qui s’occupait de la Stevenson International en ce moment ? Personne ? Un membre éloigné de la famille peut-être, en attendant que le véritable héritier revienne ?
- Je vais te congédier pour l’instant. Va t’acheter des lunettes et voir si tu peux te rendre utile au secrétariat. Tu t’occuperas des petites tâches les prochains jours.
Etait-ce une punition ? Peut-être. Matthew avait plutôt besoin d’être seul et de ne pas l’avoir dans les pattes les prochains jours. Il était facile de traiter ses employés comme des marchepieds quand ils n’étaient que ça, mais malgré le comportement d’Alexzander, il était difficile de le traiter comme les autres à présent. Et si quelqu’un découvrait l’histoire ? D’ailleurs, M. Scape risquait bien de tout dévoiler à la presse. Cela ne donnerait pas une très bonne image de la Coleman Business. Il allait devoir se charger de le faire taire à propos de ça. Pas de façon abrupte, bien entendu. Il ne pensait pas à l’assassinat, loin de là, mais peut-être avec un contrat ou de l’argent à la clé… Et il devrait agir vite.
- Tu peux y aller à présent. Et si tu me caches encore quelque chose, je ne serais pas aussi clément la prochaine fois, compris ? Je suis ton patron, et tu te dois de me dire les choses les plus importantes te concernant.
L’affaire était pour l’instant close, mais Matthew réfléchissait déjà aux possibilités de fusionner avec la Stevenson. Ce ne serait pas une mauvaise idée. Il devrait en parler avec ses actionnaires avant tout, prévoir une réunion et évidemment en parler avec son homme de main. Si ce dernier ne comptait pas reprendre sa place d’héritier, pourquoi ne pas en profiter ? C’était du gâchis, toute cette fortune et tout ce potentiel. Attrapant un stylo, l’homme d’affaires était déjà retourné au travail, griffonnant sur son agenda, ne jetant plus un seul regard en direction d’Alexzander. |
| | | Alexzander Stevenson Homme de main de Coleman Your wish is my command
| Sujet: Re: What can I do for you Sir? [pv Matteo] Dim 23 Aoû - 21:17 | |
| Pour un homme généralement silencieux dans la vie, Alexzander c’était mit à débiter énormément de paroles, il avait prit une chance, car c’était peut-être la dernière qu’il aurait. Le reste de sa vie se jouait un peu ici, soit il ce faisait complètement viré et devrai retourner a la Stevenson International, un endroit qui ne lui plaisait plus vraiment ou bien il restait ici a la Coleman Buisness, mais la décision ne lui appartenait plus vraiment. Il parla autant que possible, ce laissant aller un peu pour une fois, si c’était la dernière fois au moins il aurait tout essayé. Un secret maintenant lourd a gardé, il n’y avait jamais vraiment fait attention ne croyant pas nécessaire que d’autre apprenne à le connaitre. Cet homme…un homme était venu lui gâché sa vie, ou plutôt provoquer des troubles dans celle-ci, pourquoi devait-il ce montrer aussi méchant envers lui? Il ne ce rappelait pas lui avoir fait du tort avant alors pourquoi maintenant. Stresser comme jamais, nerveux de plus en plus, essayant de caché le plus possible ce sentiment devant le regard fixé sur lui. Devant un homme plus gros que lui, un homme lui voulant du mal, il n’avait jamais ressentit cela, même une arme a feu n’arrivait pas a le faire trembler, seul un patron pouvait lui faire peur… étrange quand même non?
Un petit moment de silence…Ah, il y avait bien déjà eu une madame Coleman, mais elle n’était plus de ce monde. Il commençait à regretter d’en avoir parlé maintenant, mais sans savoir il c’était avancer dans ce terrain dangereux, il y avait mit pied sans regarder, mais sembla en fin de compte s’en sortir sans trop d’égratignure. Un simple homme a tout faire, oui c’était bien ce qu’il était, mis par contre la solitude…il ne pouvait pas comprendre ce besoin. Lui n’aimait pas vraiment les grande foule bien sur, mais il aimait bien avoir une présence pas très loin ou savoir que quelqu’un penserait a lui ou qu’il irait revoir une personne un jour, peut-importe soit-elle, mais de la a désiré de ce retrouver seul, chez lui, non, sa il n’aimait vraiment pas. N’ayant pas l’habitude de penser pour lui, quand il était seul il ne pensait pas davantage et ce retrouvait donc, non pas seul avec lui-même, mais seul bel et bien seul.
-"Je ne vais pas te renvoyer"
Ses mots ressemblèrent a une chaine qu’on venait de lui retirer du cou, il ferma les yeux en prenant une grande respiration, un grand soulagement lui parcouru l’intégralité de son corps a cet instant.
-"Merci…"
Un chuchotement presqu’imperceptible. Mais il ce doutait…tout serait différent maintenant, non il ne voulait pas que tout deviennent différent il voulait que tout reste comme avant il était bien avant, il n’avait pas besoin de rien, il n’était rien pour personne, on ne se souciait pas plus de lui qu’a son habitude. Même ceux qui s’occupait de la compagnie de ses parents ne lui portait pas plus d’attention du moins pour ceux qui le savait en vie, la preuve il n’avait même pas tenter de le retrouver sachant qu’il n’avait pas été découvert parmi les cadavres de sa famille.
-"Mais!....Oui monsieur…"
Il avait blêmi quand il avait entendu le mot congédier de peur de ne rien faire et de devoir rester chez lui. Il pouvait venir travailler quand même, mais juste l’idée qu’il ne pourrait pas revenir en arrière et retourner auprès de Matthew faisait naitre une drôle de sensation en lui, une sensation assez déplaisante, mais il ne pouvait pas l’expliquer, il ne la comprenait pas lui-même alors comment l’expliquer a quelqu’un?
Il ce releva enfin de son siège une fois qu’ils eurent terminé et tourna les talons vers la porte ne pouvant plus supporter le regard de Matthew.
-"Bien monsieur, je ne crois pas avoir autres choses...."
Les choses importantes à son sujet? Mais on lui avait toujours dit qu’il n’était pas important alors comment les choses le concernant pouvait être importantes? C’était trop mélangeant tout sa. Il posa la main sur la poignée, mais il ne l’ouvrit pas de suite.
-J’aurais préférer que rien ne soit su, pour que tout reste comme avant, je ne veux pas que tout change.
Il n’attendit même pas de réponse qu’il ouvrit la porte et quitta le bureau en refermant celle-ci derrière lui. Blême comme un linge, il préféra continuer sa course vers les porte de sortit, il n’arriverait pas a travailler comme il ce dois, il salua les autres employé d’un geste de la tête et quitta enfin l’immeuble. Une personne était encore la, semblant attendre quelqu’un…n’était-ce pas monsieur Scape.
-"Tien, il y avait des yeux derrière ses lunettes? Pourquoi avoir rejoint un type comme Coleman Alexzander? Tu aurais être encore plus puissant que lui et toi tu va lui lécher les bottes. Tu es pathétique, tu pourrais causer sa chute, que fera tu si sa arrive? Sa sera surement dur a supporter d’avoir abandonné deux patrons hein?
Pourquoi l’avait-il attendu à l’extérieur pour lui tomber encore sur le dos celui-là? Toujours cet air arrogant et ses expressions cyniques. Lui tendait-il des menaces? Alex ce mit a grincer les dents et il serra le poing et en moins de temps qu’il était nécessaire pour réagir il attrapa la cravate de l’homme et le plaqua contre la voiture derrière lui. On vit le chauffeur de la voiture de luxe sortir aussitôt pour lui retenir l’autre bras qui allait pour frapper l’homme d’affaire.
-"Je n’accepterais pas que vous causer le moindre problème a Monsieur Matthew et encore moins par ma faute! Si je deviens une source de problème, alors je partirais, je ne veut pas lui attirer d’ennui, mais si j’apprend que vous lui causer le moindre tort, je m’assurerais que vous preniez une retraite préventive et forcé!"
Il lâcha finalement l’homme en dégageant son bras de l’autre et repartit sur un chemin opposé et a pied. Il n’avait jamais réagit de cette façon avant…Il N’utilisait la violence que si on l’utilisait contre lui d’abord, mais il c’était laisser emporter qui l’avait envahit un peu plus tout. Sur le chemin de sa demeure, une seule préoccupation lui trottait en tête…combien de temps, combien de temps resterait-il a l’écart. |
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