Reservoir Dogs
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 Alizée Watson {U.C ... j'écris, j'écris ...}

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Alizée Watson {U.C ... j'écris, j'écris ...} Vide
MessageSujet: Alizée Watson {U.C ... j'écris, j'écris ...}   Alizée Watson {U.C ... j'écris, j'écris ...} Icon_minitimeDim 14 Juin - 19:35

Nom : Watson.
Prénom : Alizée.
Surnom : Aucuns.
Age : 22 ans.
Date de naissance : Un vingt et un octobre.
Nationalité : Anglaise du côté de son père, Américaine du côté de sa mère.
Statut : La chose du Maître. Ancienne prostituée & danseuse de charme.


Description physique :
    [20 lignes minimum – Corpulence, visage, goûts vestimentaires, etc…]

Description psychologique :
    [20 lignes minimum – Qualités, défauts, caractère, sociabilité, etc…]
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Alizée Watson {U.C ... j'écris, j'écris ...} Vide
MessageSujet: Re: Alizée Watson {U.C ... j'écris, j'écris ...}   Alizée Watson {U.C ... j'écris, j'écris ...} Icon_minitimeDim 14 Juin - 23:08

Histoire :
    Je ne sais plus trop quand je suis arrivée ici. Je peux juste te dire que j'avais dix ans. C'était en hiver oui, c'est cela, en hivers. Je crois que ce jour, j'ai fait la plus grosse erreur de mon existence. Aujourd'hui, cette erreur, je vais la réparer. Malgré les blessures, je vais te réparer, je te le promets. Je sais, ça fait déjà si longtemps mais, je sais que tu y arriverais. Prend ton courage, tu en as. Tu en as beaucoup, car, tu as survécu dans un monde de noirceur. Alors, demain, lorsque tu iras le voir, tu prendras ton courage et, alors, tu commenceras à tout réparer, l'extérieur d'abord, ensuite on verra. Je te le promets...

    Se levant difficilement, elle posa son pied droit sur le sol puis, le gauche. Un soupire passa ses deux lèvres avant qu'une de ses mains glisse dans ses longs cheveux emmêlés. Un nouveau soupire en constatant qu'elle allait devoir passer plus d'une heure à se coiffer. Se redressant totalement, nue, elle se dirigea vers la salle de bain, se glissant dans la douche sans un regard pour son reflet. L'eau s'alluma et alors, doucement, ses mains commencèrent à parcourir son corps. Il était meurtrit, brisé, abimé mais, il était toujours aussi beau, svelte, doux et souple. Oui, elle était belle mais, quelque chose n'allait pas. Peut être était-ce toutes ses équimoses qui la recouvraient. Oui, c'était surement ça. L'eau se stoppa. Propre, elle se glissa hors de la cabine, s'enroulant dans une serviette à la couleur de l'ivoire. Un petit soupire et elle attrapa sa brosse à dent. Un premier coup, un second et elle rangea la dite brosse dans son verre. Un autre soupire, la serviette tomba sur le sol et doucement, un slip glissa le long de ses cuisses. Rouge et noir, il était petit, joli et sensuel. Elle l'enfila. Puis, sur sa poitrine arriva deux jolies soucoupes. Elles se posèrent avec délicatesse sur ses seins, les glissants à l'intérieur. Les couvrant d’un joli voile rouge et noir tout comme le slip. Un autre soupire puis, une brosse arriva dans les longs cheveux ébène de la jeune femme, se glissant à l’intérieur pour les démêler, avec souplesse et douceur. Il lui fallut une demi-heure pour les coiffer. Lorsque ce fut le cas, avec l’aide de ses mains agiles, ses cheveux furent regroupés en un magnifique chignon, jeune et décoiffé. Un soupire et elle enfila une petite robe. C’était lui qui lui avait offert. Une robe à la couleur du sang. Elle lui arrivait un peu plus haut que mi-cuisse. Elle ne l’aimait pas. Un nouveau soupire et, doucement, elle ferma la fermeture qui se trouvait dans le dos. Une fois ceci fait, elle glissa autour de son ventre un bustier, noir au lacet rouge. Elle le noua et ensuite enfila des bas. Couleur peau. Il aimait ça. Un soupire et, un crayon Khôl noir vint glisser sur les paupières inférieures de la jeune femme puis sur celles du haut. Ensuite, un peu d’eye-liner et du mascara, du fond de teint, du blush pour les joues et du rouge sur les lèvres. Ensuite, des boucles d’oreilles se glissèrent sur ses oreilles, des créoles. Des chaussures rouges aux pieds et, elle était prête. Doucement, son regard se tourna vers son reflet et, elle sourit. Parfait. Oui, elle était parfaite. Elle se glissa hors de la salle de bain et sans un regard pour sa chambre, elle sortit de celle-ci, descendant les escaliers, allant le rejoindre. Aujourd’hui était son jour.

    Tu crois que je suis t'as chose mais, tu as tout faut. Je suis arrivée ici à dix ans. Le jour même il m'a prise pour la première fois. Je m'en souviendrais toute ma vie, ce fut le jour le plus horrible de ma vie. Non, ce fut le premier, les autres arrivèrent après. Je te promets, je réparerais toutes les erreurs, je te sortirais de cet endroit, je sais que tu mérites mieux...

    Posant son poing contre une porte, elle toqua, laissant un son lourd et puissant envahir la chambre qui se trouvait derrière. Personne ne répondit. Elle savait qu'elle avait le droit d'entrer alors, doucement, elle ouvrit la porte, se glissant avec sensualité dans la pièce. Personne. En retard. Il était encore en retard. Un petit soupire passa ses lèvres. Elle savait qu'elle ne pouvait rien dire. C'était ainsi, elle devait attendre. Il était le Maître, toutes lui devaient obéissance et, même elle, sa préférée. Se dirigeant vers un fauteuil, elle s'assit avec calme et beauté. Tout son être criait la sensualité et le désir. Elle était faite pour cela et, elle avait appris à s'en servir. Un nouveau petit soupire et la porte s'ouvrit. Fixant son regard sur l'homme qui entrait dans la chambre, elle sourit, avec douceur et sensualité. Se levant doucement, elle ne fit pas attention à ses paroles, elle s'approcha juste, allant poser ses lèvres dans son cou puis sur sa bouche. Elle devait le faire languir et elle savait si prendre. D'ailleurs, elle se détacha rapidement de son étreinte, laissant un sourire se dessiner sur ses lèvres. Pervers, moqueur. Il aimait ça, elle le savait. Une main l'attrapa par le cou pour ensuite la porter avec violence jusqu'à un mur, la cognant avec force contre celui-ci. Elle se contenta de gémir, ouvrant doucement ses cuisses. Il aimait faire croire au viol, elle savait le mimer, elle savait lui faire plaisir. La main se posa sur le devant de sa gorge, la serrant, l'empêchant de respirer, elle gémit à nouveau alors qu'un doigt s'insinua en elle, sans lui demander la permission, sans attendre qu'elle soit prête. La douleur la traversa, elle s'empêcha de crier et se contenta à nouveau de gémir encore et encore sous les allers et venus qu'il faisait avec son doigt. Deux autres doigts vinrent rejoindre le premier, la douleur se fit plus belle mais, elle cria de plaisir, laissant ses yeux s'ancrer dans ceux du Maître, lui montrant le plaisir qu'elle prenait. Ce plaisir qu'elle savait créer qu'elle savait mimer. Les doigts la quittèrent et avec violence, il arracha son corsage, le laissant tomber sur le sol alors qu'il la balançait sans douceur sur celui-ci. Atterrissant en se cognant la tête, elle réfréna les larmes de douleur et se mit à quatre pattes, laissant une vue agréable à son Maître, laissant faire ce qu'il voulait. Elle ne voulait pas mais, elle n'avait pas le choix, si elle ne voulait pas partir comme Edite, elle devait obéir. Et, elle connaissait toutes ses envies, tout ce qu'il lui faisait plaisir. Sa culotte fut arrachée et elle se fit pénétrer. Un cri de douleur voulut sortir d'entre ses lèvres, elle se contenta de le transformer en jouissance. Laissant deux mains venir l'étrangler alors que son corps se faisait bousculer par des coups de reins ni agréables ni doux.

    Puis, tout se finit, elle fut lâchée, son souffle revenant avec difficulté, son corps tombant contre le sol. Pourtant, elle n'y resta pas. Malgré la douleur, elle se releva nue, sous le regard pervers de cet homme. Elle sourit tout en récupérant ses vêtements. Elle s'approcha de lui et l'embrassa avant de partir dans la salle de bain, s'enfermant. Lorsque ce fut fait, elle frissonna violemment avant que l'envie de vomir l'envahisse. Se reprenant, elle se calma rapidement mais, son cœur s'était mis à battre à vive allure, annonçant ce qu'elle allait faire, annonçant qu'elle allait enfin réparer toutes ses erreurs. Enfilant rapidement ses vêtements, elle se coiffa tout aussi vite avant de chercher une lame de rasoir. Voilà. La glissant entre ses doigts fins, elle la saisit doucement et alors l'enfonça dans sa chaire. Celle du bras gauche précisément. Coupant en profondeur la peau, se retenant de hurler de douleur, elle entailla son bras de dix centimètres de longueur. Lâchant la lame ensanglantée dans le lavabo, elle ne put empêcher des larmes de couleur le long de ses joues. Ca faisait mal et encore, c'était un mot bien petit pour décrire la douleur qui l'envahissait. De sa main droite, de ses doigts tremblant, elle fouilla la plaie. Elle devait trouver cette chose, elle devait se libérer de cet endroit. Là. Glissant ses doigts un peu plus profondément, elle lâcha un petit gémissement de douleur avant de ressortir sa main ensanglantée, entre deux de ses doigts se tenait un petit objet argenté. Quel était-il ? Une puce. Au cas où on souhaitait s'enfuir. Elle servait à tracer les quelques aventureux. Un soupira passa ses lèvres avant qu'elle n'asperge son bras d'alcool à 90°, enfouissant dans sa bouche une serviette pour ne pas hurler. Les larmes coulaient de douleur mais, elle ne devait crier. Doucement, tremblante, la peur au ventre, elle désinfecta la plaie pour ensuite la recouvrir de gaze et d'une bande. Voilà, c'était fait. Elle était libre, enfin presque. Quelques coups furent tapés à la porte. Sursautant, elle se retourna vers celle-ci et soupira, il devait y aller. Enfin, son plan pouvait continuer. Nettoyant la lame de rasoir, la serviette et le lavabo, elle remit tout en ordre et se remaquilla avant de sortir discrètement de la salle d'eau. Ses oreilles aux aguets, ses yeux tournant tout autour d'elle. Là, l'argent qu'il lui donnait. Attrapant les billets, elle les glissa dans son soutien-gorge avant de partir tranquillement vers la sortie. C'était le rez-de-chaussée. Prêt de la porte de secours. Marchant calmement et pourtant rapidement, ses deux mains finirent par appuyer contre la poignée et, l'air lui gifla le visage et ce, au moment même ou une alarme retentit dans tout le bâtiment.


Dernière édition par Alizée Watson le Dim 14 Juin - 23:24, édité 3 fois
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Alizée Watson {U.C ... j'écris, j'écris ...} Vide
MessageSujet: Re: Alizée Watson {U.C ... j'écris, j'écris ...}   Alizée Watson {U.C ... j'écris, j'écris ...} Icon_minitimeDim 14 Juin - 23:08

    Je ne veux plus vivre cela. Dire qu'il m'a fallu attendre douze ans pour en avoir le courage. Oui, le courage de réparer cette erreur, pour te libérer de ce monde dans lequel tu as souffert si longtemps. Je te le promets, tout sera réparé, un jour, tu pourras sourire comme tu le faisais avant mais, maintenant, court, COURT !

    La pluie tombait avec force mais, elle ne la remarquait à peine. Elle ne pensait à rien sauf à courir et ce, malgré les douleurs qui lui traversaient le corps. Son bras, se mettant à saigner plus abondamment. Elle courait alors que son souffle était dur. Elle courait de plus en plus vite entendant des pas venir vers elle. Elle avait peur, son coeur battait à vive allure mais, elle se sentait déjà un peu libre. Pour la première fois elle parcourait des rues qui lui étaient inconnues. Inconnu, ce mot lui faisait tellement peur. Oui, elle avait peur de ce qui allait arriver, de savoir que si, on la rattrapait, l'inconnu deviendrait mort. Un frisson la parcourut alors que ses pas dérapèrent pour tourner à droite. Elle devait enlever ses chaussures, des talons de vingt centimètres gênaient. Encore une bifurcation et stoppant ses pas, elle se débarrassa rapidement de ses chaussures, les jetant dans une benne à ordure. Une fois ceci fait, elle se remit à courir, ses cheveux se décoiffant sous l'air et la pluie, venant se coller à son visage. Ses pieds se coupant sur le sol mais, elle allait plus vite et, c'était ce qui contait. Elle tourna à nouveau et grimaça rapidement, un liquide brulant et visqueux coulait le long de ses cuisses. Elle aurait dû prendre une douche. Un soupire et elle tourna à nouveau, se perdant dans des dédales de rues qui lui étaient inconnus. La seule chose qu'elle savait, c'était qu'elle ne devait jamais tourner à gauche non, la gauche la ramènerait dans cet endroit. Un frisson et les pas se firent plus prêts. Hésitante, elle tourna à nouveau et alors, elle eut une idée. Attrapant la première échelle qu'elle trouva, elle se mit à grimper vers le toit de ce bâtiment de briques rouges et sales. Elle grimpait aussi vite qu'elle le pouvait, voulant se cacher, les laisser passer et alors, reprendre une marche plus tranquille. Arrivant sur le toit, à bout de souffle, la peur dans son ventre, le cœur bien trop rapide, elle s'allongea sur le toit, laissant ses yeux pouvoir voir en bas. Regardant les gorilles de cet homme passer sous elle sans se douter une seule fois de là où elle se trouvait. Un soupire passa ses lèvres et elle attendit dix minutes avant de redescendre. Se glissant à nouveau sur la terre ferme. Oui mais, de nouveau pas. Elle se retourna et, horrifier croisa le regard d'un de ces hommes. Sursautant, elle se retourna et se mit à courir, aussi vite qu'elle le pouvait non, plus vite qu'elle ne l'aurait crue. Elle courait sans savoir où elle allait mais, elle savait qu'elle ne devait pas s'arrêter. Cet homme avait une arme dans sa main. N'osant se retourner, elle bifurqua et alors, une détonation raisonna dans l'orage qui faisait rage. Elle tituba et pourtant, ne s'arrêta pas. Continuant sa course.

    Je ne dois pas m’arrêter là. Je n’en ai pas le droit non. Je n’ai pas le droit de te tuer. Tu dois vivre, je te le promets. Je sais que tu vas y arriver. Je sais que j’y arriverais, je sortirais de cet enfer de vie.

    La nuit était maintenant tombée et, s'est frigorifiée qu'elle s'arrêta sur un toit. Se recroquevillant sur elle-même alors que son regard se posa sur sa cuisse droite. Là où la balle l'avait touchée. Oui, sa cuisse avait été transpercée par le coup tiré mais, elle ne s'était pourtant pas arrêtée, elle n'était pas tombée. Pourquoi ? Comment ? Surement grâce à la rage, la rage de vivre, la rage de se sortir d'un enfer qui avait fait toute son enfance. Soupirant doucement, elle retira son bas de sa jambe gauche et alla l'enrouler autour de sa blessure, serrant autant qu'elle le pouvait. Serrant pour que le sang cesse un peu de couler. Une fois ceci fait, elle se laissa aller, fermant ses yeux pour s'endormir ici, sous la pluie, sur le toit d'un immeuble pourrit mais, bien plus beau que l'autre. Elle devait être dans la bonne direction.

    C'était un jour d'hiver, alors que la neige tombait doucement sur la ville. Moi, j'avais dix ans et je rentrais de l'école. Maman et papa m'avait dit de ne pas approcher les inconnus, ne pas leur parler mais, je ne sais pourquoi, ce jour-là, j'ai fait tout le contraire. Lorsqu'il est arrivé devant moi, son sourire sur ses lèvres, une sucette dans sa main, je ne pus que dire oui, attrapant le bonbon. Il était jeune, il était le plus beau garçon que je n'avais jamais vu, je ne pus m'empêcher de le suivre. Ce fut la plus grossesse erreur de ma vie. Ce jour-là tout changea, ce jour-là, il me prit ma virginité, me violant avec violence, m'annonçant que j'allais devoir faire ça tous les soirs. J'ai pleuré oui, j'ai pleuré... Je te promets, tout va se finir, je te promets que je vais te sortir de là, que plus jamais tu ne pleureras, tout du moins, plus pour ce salaud, plus pour ce monde. Je te le promets.

    Le soleil arriva rapidement et c'est à l'aube qu'elle ouvrit à nouveau les yeux. Gelée, pâle comme un linge, fiévreuse, elle se leva. Titubant tout d'abord, elle finit tout de même par réussir à mettre un pied devant l'autre. Alors, elle descendit dans la rue, reprenant son chemin. Marchant et non courant comma la veille. Elle ne savait pas s'ils étaient encore à sa recherche. Surement mais, pour l'instant, elle avait un moment de répits, elle le savait. Et puis, sa cuisse était beaucoup trop douloureuse pour lui permettre de courir, tout du moins, pour l'instant. Soupirant doucement, elle croisa plusieurs vagabonds, certains très jeunes d'autres plus âgés. D'ailleurs, un d'eux lui tendit un bout de pain et une fin de lait. Elle le regarda tout d'abord surprise puis, elle dévora le repas bien maigre qu'on lui avait offert. Elle le remercia et reprit sa route. Elle marcha toute la matinée et alors qu'elle croyait en être enfin tirée, elle entendit des voix. Se retournant, elle les vit. Alors, n'attendant pas une seconde, ses pas se remirent à courir. Quand allait-on pouvoir la laisser tranquille ! Quand allait-on pouvoir l'oublier ! Cela faisait maintenant des heures qu'elle courait, sentant son corps lâcher un peu plus à chaque minute, elle savait qu'elle ne tiendrait plus longtemps et pourtant, elle continuait, ne sentant plus ses pieds et ses jambes. Puis, alors qu'elle tournait dans une autre rue, une porte, un panneau. Hésitante pendant une seconde, elle finit par freiner d'un coup sec sa course, tournant à gauche, fondant sur une porte à la couleur de la nuit. Sa main droite appuya sur la poignée. La porte s'ouvrit. Fondant à l'intérieur, elle referma aussitôt celle-ci, s'appuyant dessus alors que quelqu'un arriva, la fixant les yeux ouverts comme des soucoupes.

    - Aidez moi…

    Une voix faible, inaudible et pourtant, elle raisonna telle un gong dans cette pièce. Puis, doucement et pourtant rapidement son corps tomba alors que ses yeux se fermèrent. Son corps fendit l’air pour aller vers le sol. Au même moment, quatre hommes passaient devant la porte, la cherchant, l’ayant perdue. Le corps frappa le sol. Trop vite pour qu’on la retienne, trop vite pour lui éviter la chute…

    Je ne veux pas mourir, aidez moi s'il vous plait. Ne me laissez pas comme cela. J'ai besoin de votre aide. Vous homme dont j'ai peur, aidez moi, je ne veux pas mourir. Je ne peux te faire mourir alors je me battrais. Je te l'aie promis non, je vais tout réparer, je vais te sortir de l'enfer. Tu pourras à nouveau sourire comme avant ce fameux jour. Oui, c'est une promesse...
Famille :
    Un père : François 49 ans à nos jours. Directeur d’un cabinet de dentistes. Marié à Maria sa deuxième épouse. Habite Londres.
    Une belle-mère : Maria40 ans à nos jours. Chirurgienne. A un fils âgé de 10 ans.
    Un demi-frère : Antoine10 ans à nos jours.

    Une mère : Jessica45 ans à nos jours. Ancienne journaliste, écrivaine maintenant. Marié avec Franck son deuxième époux. A eu deux enfants avec cet homme. Habite Miami.
    Un beau-père : Franck46 ans à nos jours. Docteur généraliste.
    Une demi-sœur : Arménie6 ans à nos jours.
    Un demi-frère : Jack10 ans à nos jours.
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