| Lucrecia Ruben Armani | Call me... Yulee. Please ? |

I.

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Small – Quiet - Cute

Last Name : Armani. Eh oue, comme Giorgio Armani.
First Name : Lucrecia, pour une raison quelconque, elle n’aime pas trop son prénom. Et voudra qu’on l’interpèle Yulee. Ensuite, étant un prénom composé, Ruben. Ne lui faite par remarquer, elle sait que c’est masculin. Mais que voulez-vous, ses parents voulaient un garçon.
Surname : Yulee. Elle préfère être appelée ainsi, ou Yuyu. Lulu, qu’elle déteste encore plus que son prénom. Ruben, mais cela ne la dérange pas, elle aime être appelé comme un garçon.
Age : 25 brouettes, bientôt 15. Elle se comporte comme une adolescente, parfois. Alors elle à tendance à dire qu’elle a plutôt quinze ans.
Birthdate : 18 Juin. Là où il fait soleil !
Nationality : Italienne.
Rank : Garde du Corps d’Edward Cordeiro. Mannequin pour une marque peu connue.

II.

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Blond – Nervous - Sweet

Physical appearance : Je suis petite, et alors ? On se moque souvent de ma taille, on m’appelle la naine. Baby, parfois. Mais pas dans un contexte aguicheur, seulement pour sous-entendre que je devrais retourner à la garderie. Je ne fais même pas 1 mètre 60, je suis minuscule. Je suis toute mince et peu de hanche. Je n’ai pas de culotte de cheval, et je n’ai ni la silhouette d’une jeune adulte. Je suis presqu’une planche à pain, si ce n’est que ma petite poitrine que je cache sous mes ample vêtements. Jamais rien de serré, je préfère pouvoir être libre de mes mouvements. Je suis mini, mais j’ai tout de même des longues jambes, et je cours vite. Très vite. J’sui aérodynamique~ J’ai un visage rond, très poupin. Ma tête blonde est couverte par de longs fils dorés qui retombent gondolement jusque dans ma nuque. J’ai déjà eu les cheveux plus longs, mais je les ai coupés. Je préfère les avoir court, un peu à la garçonne. Ils sont en bataille, et comme j’ai une longue frange qui me retombe devant les yeux, je l’écarte avec mes milles et une barrette colorée. Ils sont naturellement soyeux et brillant. Ma tête ronde me fait ressembler à un petit soleil. Les rayons étant les diverses mèches rebelles qui refusent de tenir en place. J’ai de longs cils dorés entourant mes grands yeux de mômes. Ils sont bleus, aussi claire que le ciel ! Pas celui pollué de New York par contre. D’une couleur plus vive et pâle. Avec mon petit nez retroussé et mes lèvres rosées, j’ai une allure niaise. J’ai un corps frêle, en apparence, une silhouette menue mais qui ne manque pas d’énergie. Ma peau pêche et légèrement blême fait ressortir un certain côté poupée, ou Barbie. Je porte généralement des vêtements d’enfants, ou d’adolescent. La taille adulte étant un peu trop grande pour moi, malgré tout. Des robes blanches avec des petites broderies de fleurs pastelles jusqu’aux salopettes jeans et t-shirt rayé. Avec une queue de cheval, j’ai l’air plus androgyne, peu de personne arrive à être berné. Cela m’est égal à vrai dire. J’ai des manières de garçons, grazie papà !
Psychology : /////
Like and Dislike : Mais j’aime les choses enfantines moi… On me reproche parfois mon manque de professionnel. Je suis plutôt vêtue à la fillette, avec des couleurs flashy, des motifs de fleurs ou de petites fées. Je ne suis pas vraiment fan des tailleurs ni des vêtements serrés. Je préfère être à l’aise. Parfois je porte des vêtements de jeune garçon, et attache mes cheveux. J’ai alors l’air d’un gamin, et j’aime ça. Je suis une fanatique de petites barrettes. J’en porte souvent, de tous les motifs et les couleurs ! Et puis, j’ai une longue frange, donc faut bien que je dévoile mon visage pour bien voir !
J’aime les peluches aussi. Ma chambre en est remplie ! Des oursons, des lapins, des chats. Pleins pleins ! Je reconnais que c’est bébé, mais j’aime beaucoup les habillés. J’aime les gâteaux de ma mammà et de Virgilia, ils sont trop bons. Parfois j’en apporte à Edward, Alicia et les autres. Ma sorella en fait toujours trop !
Par contre, aussi surprenant que cela puisse paraître, je n’aime pas parler. Je prononce des mots que très rarement. Peu de personnes ont déjà entendus ma voix. Je ne suis pas muette, mais je n’aime pas dépenser ma salive pour rien. Plutôt, je prends mon portable et envois des textos. Autant que je suis muette, j’écris à une vitesse fulgurante et considérablement. Parfois, je suis dans l’obligation de parler, ce n’est pas un problème, mais il faut s’attende à des réponses courtes et probablement pas claires. Je n’aime pas parler de moi, ni donner mon avis. J’aime qu’on se confit à moi, je suis une tombe ! Mais pas le contraire, cela me rend mal à l’aise.

Dernière édition par Lucrecia R. Armani le Jeu 29 Oct - 5:56, édité 25 fois

III.

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Bodyguard - Photographer – Other ?

Some thing about her story :
Mon papa voulait un petit garçon. Il voulait l’élever comme un petit homme et tout lui apprendre. Ma mamma voulait une petite fille, pour pouvoir la traiter en princesse. C’est mamma qui gagna, j’étais un nouveau né, pleurnichard comme tous les autres. À la différence que j’étais une petite fille, j’avais une petite touffe blonde sur le dessus du crâne. Ma mamma était albinos, elle ne ressemblait pas beaucoup à une italienne. Peau pâlotte, blonde super claire et yeux bleus. J’héritai en partie de ses gênes.

Évidemment, papà n’a pas fait une crise parce que je n’étais pas un garçon. Il a seulement décidé de me choisir un deuxième prénom ; Ruben. C’est le nom que j’aurais eu si j’avais été un jeune homme. De toute façon, je ne le suis pas et je me nomme tout de même ainsi. Mamma m’a appelé Lucrecia de son plein gré. Il semblerait que les propositions de son mari étaient toutes très nulles. J’aurais préféré m’appeler seulement Ruben. Lucrecia… Je ne c’est pas, cela fait étrange à mes oreilles. Alors, depuis mes études, je préfère que l’on m’interpelle Yulee. Certain le fond, d’autre non. Cela ne me dérange pas plus que cela. Je ne m’énerve pas. Sauf quand papà m’appelle Principessa devant les autres. C’est gênant.

D’ailleurs, il était souvent absent. Il était partit pour le travail, disait mamma. Sans m’en dire plus. J’étais une fillette curieuse, mais je n’arrivais toujours pas à savoir. Personne ne voulait me le dire ! Même ma petite sœur, Virgilia, ne le savait pas. Elle faisait souvent des petits biscuits, et moi des petites cartes, que mamma lui envoyait. Elle ne voulait pas qu’on perde contacte avec lui ! Il était partit au États-Unis, revenais ici, en Italie, à chaque quelques semaines. Virgilia m’a dit un jour qu’elle avait espionné mammà et qu’elle avait dit qu’il trainait dans des trucs louches. Lorsque je lui en ai parlé, elle a dit de ne pas s’inquiété.

Un jour, alors que j’étais encore qu’une jeune adolescente, il m’emmena en Amérique. J’étais contente ! Changer de pays, de culture ! J’avoue que la nourriture est mauvaise là-bas, mais il y a quand même quelques bons petits plats ! Nous logions chez un de ses amis, James Taylor. Il était sympa, il connaissait un tas d’histoire marrante. Et comme j’étais nouvelle dans le pays, il m’a fait découvrir un tas de trucs ! Papà n’était pas très à l’aise avec cela, mais il avait confiance en son ami.

Le problème, c’est que James était chef d’un gang. Je n’étais pas au courant à l’époque.
Et papà bossait pour l’adversaire. Par pur précaution, nous avons dû aller loger à l’hôtel. Ils continuaient à se parler, mais jamais de boulot. Seulement d’anecdotes diverses. Mamma n’aimait pas vraiment James, elle disait que c’était de sa faute si papà trainait un peu trop souvent aux Étas-Unis. Elle était même sur le point de m’avouer se qu’il faisait ! Mais c’est rattrapé à temps…

Depuis que je suis haute comme trois pommettes, papà m’apprenait à me battre au corps-à-corps. Il disait que les autres étaient tous tarés et qu’il fallait se méfier. Il a aussi ajouté que, comme j’étais mignonne, il ne fallait pas que je me laisse faire et me défende. Je n’étais pas une personne violente, plutôt calme, alors il m’autorisait à frapper lorsque je le voulais. Il savait que je me contrôlais. Comme j’étais son premier garçon manqué, il voulait que j’apprenne tout ce qu’il savait, malgré tout. J’eus quelques notions de mécano, d’informatiques également. Il m’apprit l’anglais et le français. J’ai encore quelques difficultés, les leçons s’effaçaient un peu au fil des années. Il voulait m’apprendre l’espagnol également, mais il ne le parlait pas et n’aimait pas. Donc cela tomba à l’eau.

Même si je ne me trouvais pas très bonne, ma mamma disait que j’étais plutôt talentueuse en art. Elle voulait donc m’envoyer à une université qui pourrait faire fleurir mon talent. J’étais une jeune fille active, je devais bouger plus. Rester assise à étudier… Pas trop mon genre. J’espère que cela ne l’a pas blessé, de savoir que je refusai l’offre d’une des meilleure écoles d’Italie. Elle semblait déçue. Elle a même eu une discussion avec papà, se soir là. Comme si c’était de sa faute… Ah ah, elle aurait bien voulu tenter le coup pour Virgilia, mais elle était nulle en art plastique. Elle, c’était la cuisine. Ma sorella n’a d’yeux que pour ça. Et son petit ami du moment. Virgie rêvait de perfectionner ses techniques culinaires, et malgré ce que je lui ai dit (Que la nourriture était mauvaise), elle voulait tout de même aller au États-Unis. Aller voir du pays, en même temps.

Et c’est alors que j’étais en train d’espionner mon paternel que je découvris son secret. La mafia ! C’est pour cela qu’il était si possessif et cachotier. C’était pour protéger sa famille. Normalement, j’aurais dû lui dire que c’était une mauvaise idée, qu’il devait arrêter. Tuer des gens c’est mal. Arnaquer c’est mal. Et ainsi de suite. Mais… J’étais sa gamine excentrique et muette. Comment aurait-il pu prévoir que je réagirais autrement ? Virgilia aurait dit cela. Pas moi. Moi… J’ai toujours été une fanatique d’action. Et c’est pourquoi je détestais tant aller à mes cours. J’adorais les cours de gym, par contre ! Sinon, j’avais que trop hâte que les cours finisse pour aller courir dans les couloirs. À ne pas faire. Je me suis tordue une cheville, une fois. Ou deux, qui sait…

Alors que papà disait qu’il repartait pour son boulot, je fis la route avec lui, jusqu’à l’aéroport. Avant qu’il ne parte sur un élan de « Comment ça va à tes cours ? » « As-tu un petit gars un vue ? » et tout ce qui vient avec, je brisai le silence.
{Papà, je peux te poser une question ?
{Heu… Bah ouais principessa.
Il était surpris. Habituellement, je ne parle jamais.
{Qu’es-ce que tu dois faire, dans la mafia ?
Il écarta les yeux et ne me répondit pas immédiatement. Il cherchait une excuse.
{Que racontes-tu là ? Je ne suis pas dans…
{Je le sais. Tu as oublié de fermer la porte, alors j’ai écouté.
{Hey ! Ta mère ne t’avait pas appris à ne pas écouter aux portes ?
{Mais mamma elle n’était pas là !
Il soupira. Je devais l’agacer. Croyait-il vraiment que je n’allais jamais le savoir ?
{Principessa, je ne vais pas te mentir. Ouais, je suis dans la mafia. Je fais le messager entre l’italienne et une américaine.
{Je ne veux pas aller en école d’art ! Papà…
{N’y pense même pas… Mes filles ne seront pas un poil dans la mafia !
{Virigilia ne sera jamais là-dedans, voyons… Je sais que c’est dangereux ! Ma…
Il me coupa une seconde fois. Il insistait, sa voix se faisait plus dure.
{Surtout si tu continus à porter se genre de trucs…
Il pointa mon chandail sur lequel deux petite canards se lavaient et étaient pleins de bulles. C’était mon t-shirt préféré !
{Tu ressemble à une élève de maternelle, Virgie pourrait presque passer pour ta mère !
{Mais je veux te suivre aux USA !
{Tu iras sur le pouce parce qu….
{J’ai assez d’économies pour le billet ! Je vais me faire discrète mais laisse-moi venir !
Il savait que je trouverais un moyen de le suivre, d’une façon ou d’une autre. Il craquait, à chaque fois que je lui demandais un truc. Vive les petits canards ! D’accord, c’était autre chose et je pourrais probablement m’y faire tabasser… Mais j’étais plus forte que j’en avais l’air ! Ce serait toujours mieux que les pupitres et l’université d’art…
{On en reparlera lorsque tu seras majeur !
{Mais je peux quand même te suivre, hein hein ?
{… Qu’es-ce que t’as mère à dit ?
{Elle croit que je suis en cours…
Il soupira, de plus en plus décourager de mon attitude. J’étais une bonne fille, bien élevée et respectueuse envers ses parents. Mais ils me cachaient tant de choses depuis longtemps ! C’était comme l’accumulation des congés maladie pour un enseignant, quoi !
{Si ta mère veut, voila se qu’on peut faire :
Un large sourire agrandit mes joues rosées. J’étais très heureuse en ce moment.
{Tu termines ton semestre,
Partit le petit sourire.
{Je paierai une partit de ton billet, tu garderas le reste pour toi. Et tu viendras vivre avec moi, à New York.
Il souffla. Moi, je bougeai sur mon banc, j’avais trop hâte ! Je devrais cependant patienter un mois… Très looong mois.
{Ta mère était supposée vous le dire, mais je m’installe là-bas, je ne reviendrai pas régulièrement comme avant.
J’hochai affirmativement la tête. Un mois, un mois, un mois !
{Bon, Principessa, c’est l’heure de descendre !
Il m’embrassa le front et me serra dans ses bras. Il me tendit quelques billets.
{Paie-toi un retour. Ne fait pas de détour chez je-ne-sais-qui !
{Oui papà ! J’ai trop hâte !
{Si ta mère veut !

Comme prévu, et après milles supplications faites à ma mamma, je rejoignis finalement papà au États-Unis ! Mais je n’étais pas seule, un ami vint, lui aussi. Je n’étais pas encore majeur, je n’avais pas encore de permis. De toute façon, je préférais les marches et les bicyclettes. Mon ami se nomme Renato, mais lorsque je l’interpèle, j’ai pris l’habitude de l’appeler seulement Nat. Il a quelques années de plus que moi, presqu’un adulte. Il a une copine qu’il compte épouser après avoir terminé trois années d’études qu’il comptait faire en Amérique. Mes parents ne voulaient pas que je fasse le voyage seule, alors je l’ai déniché. Il est gentil, il parle beaucoup. Renato me raconte tout ce qu’il a vécu, ou presque. Il est intéressant. Nous étions côte à côte dans l’avion. Il respectait mon silence, il a rapidement compris que je n’aimais pas parler. Nous devinrent vite proche l’un de l’autre. Même qu’au début de l’après-midi, alors que nous survolions l’océan, je me surpris à dormir sur son épaule.

Avec l’aide de Nat qui à fourrer le système, si je puis dire, j’ai réussis à me faire engager dans le bar. Le West Coast. Un endroit que j’apprécie. L’ambiance est bonne, il n’y a pas trop de malentendu désagréable. Au début, le patron était réticent quant à ma date de naissance, mais il craqua. Vêtue d’une robe noire simplette et chic, plus une touche de far à paupière et de crayon noir, je passai pour une petite adulte. Je gardai mon air poupin, mais perdait toute l’innocence que je dégageais ordinairement. Un voile de mystère planait autour de moi. Mon paternelle croyait que je travaillais dans une boutique. Renato passait régulièrement me saluer, m’encourager et prendre des nouvelles. Il était plus où moins à l’aise quant à me voir ainsi. Il s’était habitué à la petite Lucrecia Armani. Mais devant lui se trouvait Yulee Trussardi. Même en dehors de mon job, lorsque je le rejoignais à la sortie de l’université, il m’appelait Yulee. Il a vite compris que je n’aimais pas Lucrecia.
Entre temps, je bossai à temps partiel pour une marque de vêtements peu connue. Elle vendait des vêtements d’adolescents, un peu gamin (Trop mon genre) mais mature à la fois. Il y avait d’autres jeunes filles et garçons qui étaient en priorité, moi c’était sur demande, lorsque quelqu’un manquait où que le morceau ne faisait pas aux autres. C’était drôlement amusant, et camouflait davantage mon job au bar.

Durant les trois ans des études de Nat, notre relation c’est renforcée, mais pas comme je l’aurais voulu. Pour moi, ce n’était qu’un simple ami, un type sympa. Lui parlait peu, mais l’écoutait beaucoup. Étant gestuelles, il me comprenait sans que j’ai à dire quoi que se soi. Nous rions, nous nous amusions.
Puis un jour il m’embrassa.
Choc total, aucun garçon ne m’avait jamais embrassé avant. Disons également que je n’étais pas très sociable et que je ne m’intéressais pas encore à ce genre de choses. J’avais la tête ailleurs, j’harcelai mon père avec la mafia, bossait au West Coast. Avoir une relation intime avec quelqu’un ne faisait pas partie de mes priorités. Battre mon père aux jeux vidéo était plus important.
Suite à cela je passai plus de temps chez lui, nous sortions au cinéma, au restaurant. Il était plutôt galant, mais ce n’était pas que cela… Mon papà n’était cependant pas au courant, il ferait une crise cardiaque s’il l’apprenait. Renato était tout de même majeur, et probablement trop vieux pour moi. Et il lui ferait une démonstration de mafiosos s’il apprenait que nous couchions ensemble. Il était trop protecteur.

Enfin ma majorité ! Cette année, il y eut plein de changement ! Dès mon réveil, j’allai dans la chambre de mon père et lui sautai dessus. Pas besoin d’explication, il savait de quoi je voulais parler. C’était bête de vouloir se jeter ainsi dans la gueule du loup. Mais moi, j’aimais un peu trop les loups à son gout.
Virgilia débarqua au États-Unis pour y faire de la cuisine. Elle rêvait de s’ouvrir son restaurant et de devenir un coin touristique et tout ce genre de rêve de cuisinier. Elle se dénicha rapidement une place au Sushilicious. Les spécialités japonaises n’étaient pas son talent, ni ses préférences, elle en profitait pour apprendre. En parallèle, elle faisait d’autres études.
Et ce fut d’un au revoir froid et apathique que Renato retourna en Italie… Retourna voir sa fiancée. J’étais particulièrement triste au début, je l’aimais… bien. J’en parlai à Virgie, elle me consola et me dit que ce n’était qu’un frocio et un cafone. Insultes italiennes pour dire qu’il était homo’ et con. Sorella était douce, mais pas lorsque son entourage était triste, elle pouvait insulter quelqu’un dans cinq langues différentes ! Ma Virgilia était très studieuse.
Je démissionnai au Bar West Coast, par contre, je ne cessai cependant pas de le fréquenter. Tout de même, j’y ai travaillé trois ans et j’ai fait plusieurs nouvelles rencontres.

{Edward, ça fait quatre ans que ma principessa rêve de te rencontrer, et presqu’une semaine qu’elle m’harcèle et me menace de faire les pires conneries.
Je me tenais à côté de mon papà, devant LE Edward Cordeiro. J’avais un sourire timide au visage ne le détaillant. Mais j’étais terriblement vexée de me faire appeler princesse… C’était trop honteux ! Shut Papà !
{Elle s’appelle Lu…
{Yulee Armani, ravie de vous rencontrer, enfin !
Oui enfin, ça fait quatre ans que j’attends de pouvoir l’apercevoir. Entre temps j’ai appris à tirer (merci Nat, mais je ne te revaudrais pas ça), et à me défendre encore mieux. Je n’étais pas balèze, même ma cousine de neuf ans me battait aux bras de fer, mais je préférais la vitesse. En pleine santé, jamais malade, toutes mes dents. Qu’es-ce que je pouvais faire d’autre, je ne suis qu’un bébé…
Edward ne semblait pas remarquer les signes subtils que mon père lui envoyait pour obtenir une réponse défavorable de sa part. Il semblerait qu’il manque de pratique, parce que cela ne joua pas en sa faveur. Je fus placé homme de main, au désarroi de papà. Il était toujours sur mon dos, tentait de me suivre discrètement. J’étais en équipe avec un autre mafieux, plus grands, costaux et tout ce qui vient avec. Il n’aimait vraiment pas ça.
J’avais beaucoup de difficultés, aux débuts. C’était plus dur que je le croyais, mais j’étais plutôt débrouillarde pour une crevette. On se moquait de moi, de ma taille, de mes vêtements. Je me refermai encore plus, parlant beaucoup moins. Je devins presque muette. Il était impossible d’entendre le son de ma voix. J’ai côtoyé le même homme de main pendant plusieurs semaines. Jamais, JAMAIS, il a pu entendre un son sortir de mes lèvres. Même lorsque je reçu une balle dans le bras. Je n’avais pas hurlé. Je n’avais pas non plus demandé de l’aide.
J’ai finit à l’hosto et mon papà n’était pas content. Il a caressé de ses divines jointures basanés et dures le nez don mon partenaire sur cette mission, pour m’avoir cru morte. J’ai été… vexée par ce geste. Je ne suis plus une gamine ! Je ne suis pas SA gamine ! Même avec un bras invalide pendant des semaines, je n’étais pas morte. J’apprenais de mes nombreuses erreurs, et j’étais consciente que je n’atteindrai jamais la perfection. Je sais qu’il veut protéger sa famille, mais il commence à délaisser Virgilia un peu trop à mon gout. Avouons-le, elle ne lui parle pas beaucoup, depuis que je lui ai refilé l’info’. Virgie est une pacifique, elle est douce et attentionnée. La mafia, ce n’est pas du tout son truc, elle trouve que ce n’est qu’une perte de temps. Peut être a-t-elle raison. Mais je n’acceptai toujours pas d’abandonner.

{Je retourne voir ma femme en Italie, je ne reviendrai pas avant un moment.
Dit-il à Edward Cordeiro. Moi j’étais timidement placé à côté de mon papà.
{Je sais qu’il te faut un garde du corps supplémentaire, pauvre Alicia tout de même…
Ajouta-t-il sur un ton ironique. Alicia, qui se tenait en retrait du bureau d’Edward, elle parlait avec un autre homme, était deux fois plus grande que moi. Plus forte, probablement. Je passai ma petite main dans mes cheveux dorés, replaçant une petite barrette au passage.
{Laisse Lucrecia s’en occuper, tu ne seras pas déçu.
Je fus mise à l’épreuve, on ne me faisait pas confiance. La crevette n’était même pas assez grande pour servir de bouclier au chef ! Enfin, ce genre de trucs que j’aurais bien aimé ne pas entendre. La discrétion ne semblait pas être le point fort de tout les hommes de mains, disons.
Ce n’était pas si facile de garder un œil sur Edward, je les verrais bien à ma place. Cafone !

Links :
S.F.U.’s Gang.
Edward Cordeiro.
Il n’avait pas l’air très frivole avec ses comics, au début. Je n’échange pas plus de mots qu’il le faut. Enfin, de toute façon, c’est bien connu, les spagnolos parlent toujours. Alors je me contente de l’écouter attentivement. Une chance qu’il est intéressant. Il peut tenter de me faire dire plus d’une phrase, il n’y est pas encore arrivé. Lorsqu’il est hors de vue, je suis toujours en train de me demander où il est. Qu’es-ce qu’il fait. Que lui arrive-t-il ? Lorsque j’ai un doute, mon intuition féminine me trompe rarement, j’envoie un texto à lui, où Alicia.

Alicia River.
La demoiselle faisant deux fois ma taille est ma collègue. Nous pratiquons le même métier, même si j’y manque de crédibilité. Elle est… Plutôt sympa. Lorsque je dois me rendre à une séance photo, et accepte de doubler ses efforts pour surveiller le ptit boss, et vice-versa. Alicia doit être la #1 sur ma liste d’appel téléphonique. Es-ce que tout va bien. Il n’a pas tenté de s’enfuir en douce. Elle non plus n’a pas droit à mes mots, mais elle arrive à me déchiffrer facilement.

Urumi Natchigo.
Elle donne des pommes à Edward, moi je l’échange subtilement pour du bonbon. Je sais, je semble réduire ses efforts à néant, mais c’est pour m’amuser. Urumi est gentille, elle aussi. Elle fait à peut près la même taille que moi, alors je me sens moins ridicule, contrairement à lorsque je suis aux côtés d’Alicia. Ne maitrisant pas parfaitement mon anglais, il m’arrive d’avoir des blancs. Et qui je vais voir, alors ? Secrétaire chewie.

Family :
Parents.
Cassandra Armani.
Ma mamma est meilleure que la tienneuh !
Elle était blonde aux yeux bleus, comme moi ! Elle était douce et gentille, quelqu’un d’bien. J’ignore encore comment elle a pu tomber amoureuse de papà. Ils sont si différents, mais si chouchous à voir ! Ma mamma, elle fait les meilleurs gâteaux du monde ! Mais malheureusement, elle est resté en Italie.

Orlando Armani.
Mon papà est plus fort que le tient !
Lui, il était brun aux yeux verts pétants ! Il était fort et protecteur, personne ne pouvait arriver à faire de mal à ma mamma ou à moi ! Il était super puissant, et faisait partit d’un gang. Parfois il était à la maison, parfois aux USA. Il était trafiquant, ou quelque chose du genre. Je ne sais pas trop. Aujourd’hui il est à la « retraite » et reste qu’en Italie. Il veut que je lui envoie des mail chaque semaine, histoire de savoir si je vais bien.

Virgilia Vasco Armani.
C’est ma petite sœur ! Elle est à l’Université de NY-2 en se moment. Elle partage un appartement avec moi. Ensemble, nous ressemblons à des jumelles, sauf qu’elle, par ses vêtements, à l’air plus âgé et mature. Elle me textote souvent, pour savoir si je suis toujours vivante. Elle m’a déjà aperçu avec Edward et Alicia et elle ne les aime pas du tout. Si je lui raconte pas les potins que je connais, elle me menace de ne pas me cuisiner de gâteaux. Après mamma, les siens sont imbattables !

Others :
James Taylor.
C’était un ami de papà. Ils échangeaient souvent des conversations de mafieux ensemble. Lorsque papà m’a emmené à New York, la première fois, c’est chez lui qu’on était hébergé. Enfin, les premiers temps, jusqu’attend que le job de papà devienne un problème. Par sécurité, on a été à l’hôtel. Ils sont restés de très bons amis malgré tout.

Dernière édition par Lucrecia R. Armani le Jeu 29 Oct - 5:56, édité 2 fois

Fiche Validée ~

Bienvenue sur RD ^.^

Psychology?

Voilaaa ! Je l'ai refaite !
J'espère que ça ira, cette fois >< !

Tout ça est très bien! ^w^

Fiche validée!