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 |  Sujet: Andonis Isocrate - Civil en Perdition  Mer 24 Juin - 0:52 | |
| Nom : Isocrate.
Prénom : Andonis.
Surnom : Dodo.
Age : 25ans.
Date de Naissance : La même que ta mère. ( Si elle est née le 2 mars 1986 )
Nationalité : Grecque.
Statut : Civil paumé.
Histoire :
Mon Histoire, c'est tout juste si je m'en rappelle. Je suis né en Grèce, in the capital, Athènes. Mes parents ont vite pigé à ma naissance qu'ils allaient en chier. Je suis pas le genre de gosse facile qu'on exhibe devant toute la famille. Et c'est pas plus mal. On me foutait la paix. On me laissait, seul, petit Athénien que j'étais et sans surveillance. Mon père était du genre alcoolo et ma mère, vers les fins de mois, je la croisais sur les trottoirs. Je crois qu'elle avait pas l'air de détester tout ça. Quand à moi, ça me dérangeait pas du tout. Après j'ai grandit un peu, et mon père me bastonnait parce qu'il le pouvait moins avec la mère. Une pute tabassée, ça fait fuir les clients. Alors j'avais quelques questions à l'école, les maîtres parlaient bien dans mon dos. Puis ils ont conclu décidément que j'étais juste un enfant turbulent, le jour où j'ai pété le nez d'un de mes « camarades ». Et sinon, j'étais plutôt bien aimé dans ma classe. Pas très doué, mais on m'aimait bien. Fallait juste pas me chauffer.
Parfois j'angoissais. J'angoisse toujours d'ailleurs. C'est d'ailleurs grâce à ça que j'ai commencé la dope. J'étais dans mon monde, dans mon espace, je sentais plus la douleur. Je prenais tout, je suis pas du genre difficile. Puis dans mes grands délires, j'étais Dieu. Et c'était franchement kiffant. Alors j'ai pas cessé. Mes journées, je les passais dans la rue, près des amphis parfois, pour gratter des clopes et de la thune. Puis une fois, vers 3heures du mat', plus de maison. J'avais fait le mur pour un « super coup », deux doses pour le prix d'une. Merci le cousin. D'ailleurs, lui, j'l'ai toujours remercié pour ces coups d'enfer. Pendant ce temps par contre, le père avait un peu trop joué avec les bougies, et avec l'alcool toussa, la maison a cramé. Les parents étaient morts, genre brûlés vifs J'étais vraiment désemparé mais quand même vivant. Et c'est là que ça a déconné sévère. Je suis passé à la casserole la même nuit, plutôt vers l'aube avec une jeune bande d'ivrognes. C'est pas pour autant que j'ai détesté. J'avais plus aucune attache, plus aucun foyer, seulement deux doses, il fallait donc que je compense. Et j'ai trouvé une autre vocation : le Sexe. Là non plus, je fais pas mon difficile. J'ai juste un peu de mal avec les trop vieux, mais on fait avec. Non non, je ne me prostitue pas, je me laisse faire. Les gens prennent leur pied, tant mieux pour eux, that all.
Sinon après tout ce petit numéro à Athènes, j'ai décidé de me barrer. Vivre des nouveaux horizons, voir des nouveaux gens, une nouvelle dope... Enfin, vous comprenez le délire. J'avais entendu parler de New York dévasté bien sûr, puis sa reconstruction. Parfait pour ma nouvelle vie. Alors j'ai pris le premier avion qui s'offrait à moi. J'ai du faire la manche un petit moment pour me payer le billet. C'était assez complexe, mais l'air de petit chien battu me va très bien. Mais j'ai pas aimé l'avion. Les hôtesses n'étaient pas désagréables, mais les secousses, c'est pas pour moi. Ça me rappelle les gros manèges où tout le monde gerbe à la fin. Même moi. Et le vol dura longtemps, trop longtemps pour ma petite personne. Enfin, j'étais à New York plusieurs heures après. De suite, j'ai cherché un bon hôtel mais un problème existentiel surgissait : Le fric. Fléau de ce monde. Le fric. J'en avais pas. A la dèche. Sur ce, j'ai cherché un bon petit coin où dormir. Une voie sans issue, une tente, parfait.
Voilà maintenant deux ans que je crèche dans mon petit coin. J'ai parfois des visiteurs, je suis presque populaire dans le quartier. J'arrive à assouvir mon besoin de dope. Je vole les magasins pour bouffer, je vole les petits vieux. Il n'y a pas longtemps de ça, il y a même un petit con qui est venu m'aborder. Juste parce que j'lui avais volé une clope. Le genre gros balèze et tellement mégalomane que ça lui sort par tous les orifices. Tout ça pour dire qu'il m'a arraché un bout du téton, l'enfoiré. Mais bref, dans tout ça, j'ai bien sûr eu vent de l'histoire de New York racheté par les mafieux. A vrai dire, tout ça m'importe peu. Je me sens mieux ici qu'à Athènes car je me dis que là-bas, je ne trouverais jamais le confort que j'ai ici. Les gens sont plus riches, on peut facilement les voler et les flics sont beaucoup plus corruptibles. Il suffit de leur promettre quelques plaisirs pour qu'ils vous laissent tranquille. C'est plaisant.
Et un jour, je vais être riche. Incorruptible. Même si je ne sais pas encore quoi foutre de ma vie. Parce qu'en y réfléchissant, vivre ses vieux jours dans ma ruelle tant aimée, c'est pas possible. J'y arriverais, même par des manières de truands.
Car j'ai du talent.
Description Physique :
Je ne suis pas moche. Clairement, je l'avoue. La beauté, de toute manière, c'est aléatoire. Les gens ont chacun leur propre vision d'elle. On peut me considérer en tant que jeune homme beau, ou pas. Mais je ne suis pas moche. Ma carrure n'est pas mauvaise. Bien sûr, je suis pas du genre « tout dans la gonflette » mais c'est pas trop mal de ce côté là. Je finirais même par dire que j'ai du charme. Un charme fou. Puis comme tout le monde, j'ai des yeux. Deux yeux, bien symétriques puis d'un bleu profond. Rien qu'à mon regard, on devine bien que je suis perdu. Je suis toujours perdu, car je pars du principe qu'on ne sait jamais tout, ni ce que l'avenir nous réserve, le con. Ils sont plutôt clairs sinon, en correspondant avec la célèbre phrase bateau « Ça peut changer au soleil ». J'ai envie de féliciter le gars qui a trouvé ça. Forcément qu'à la lumière, les yeux sont plus clairs que dans l'obscurité. Mais passons. J'ai une vue plutôt bonne au passage. Seulement une légère hypermétropie, quelque peu agaçante, je vous l'accorde. J'ai aussi deux oreilles, petites mais une en mode off depuis assez longtemps. Tout le monde connait les bestioles appelées « pince-oreilles » ? On va considérer que oui, dans l'hypothèse où vous n'êtes pas cons. Et de ce fait, j'ai l'audition qui a vachement ramolli. Deux tétons sinon, mais un petit bout de l'un a viré. Saleté d'enfoiré. Ah oui. Puis j'ai une bouche, des lèvres bien pleines, paraît que ça fait sex' et je jure sur la vie de ta mère que j'utilise pas de botox. Un nez pas trop laid, mais il pourrait être mieux. Il a quand même le mérite de fonctionner correctement, pas d'entourloupe avec celui-ci. Puis, mes cheveux bruns sont en bataille la plupart du temps. Le gel, ça sux, de toute façon et c'est très démodé. Après, côté vestimentaire, c'est pas parce que je vis dans une ruelle sans issue que je pue et que mes vêtements sont en haillons. J'en prends soin, ou du moins j'essaye, puis je fouille pas ce genre de trucs dans les poubelles. Avec le fric que j'amasse à droite et à gauche, j'arrive à m'habiller « convenablement ». Et ça vous en bouche un coin, avouez.
Description Psychologique :
Je suis pas du genre psycho-compréhensible. Je suis même anti-compréhension. Il paraît même que c'est génétique, mais que voulez-vous ? Pourtant, j'aime bien la psychologie. Comprendre les gens et interpréter leurs réactions avec qu'elles n'arrivent. Mon plus grand tripe serait d'être voyant mais m'ouvrir aux autres et aux esprits, c'est pas vraiment un truc que j'apprécierais non plus.. J'aime pas beaucoup de choses finalement. Et c'est pas plus mal. Je déteste par exemple les gens niais, ou trop coincés. Je veux du caractère, du cochon, du puissant.
Sinon, je suis pas mégalomane, ou peut être un peu, mais rien de bien méchant. Les gens comme ça n'arrivent à rien dans la vie. Je ne suis pas parfait, je ne cherche pas à l'être. Je suis excellent, tout simplement ( et je vous ai dit pas mégalo' hein ? ).
On me dit aussi charismatique. J'étais même délégué de ma classe en primaire. C'est vous dire. J'arrive facilement à exprimer mes opinions et faire preuve aussi de diplomatie. C'est une facette, la diplomatie. Je peux être aussi très franc quand je veux, et je n'hésite pas à faire comprendre aux gens quand ils me font chier. La taquinerie, ça me connait aussi. Charrier la populasse, avoir quelques emmerdes après coup, bref, pas besoin d'expliquer le délire. Pourtant j'aime bien délirer. J'y vais pas de main morte quand je le v(a)eux bien. Un peu comme la dope quoi.
Faut pas mal me parler, je déteste ça. Généralement, ça finit par une tarte dans la gueule ( puis ça se tire en courant ). Un peu quand j'arrive pas à faire une chose, ça me démange et ça m'agace. C'est le moment où je deviens grognon. Ensuite, pour me décrire dans les détails, j'ai les insultes faciles. J'insulte pour rien, pour tout. Les gens qui me connaissent sont habitués, mais ça peut poser problèmes avec les inconnus. Parfois même, il y en a qui ont le malheur de me croiser en pleine crise d'angoisse – parce que ça m'arrive toujours – et ça fait toujours des sales gueules. Dans ma panique, j'interprète ça comme de la pitié. Tout le contraire lorsqu'on me voit shooté. J'inspire plus le dégout et j'fais des trucs de dingues. Le goût du risque, sûrement.
Famille :
Mr Isocrate – Décédé à la suite d'un incident alcoolisé.
Mme Isocrate – Décédée à la suite d'une connerie de son mari.
Cousin Isocrate – Fournisseur de doppe attitré, découvreur de bonheur.
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 Jack Alvarez Homme de main SFU
Dog #1
| | Sujet: Re: Andonis Isocrate - Civil en Perdition Mer 24 Juin - 13:22 | |
| | C'est parfait, Fiche Validée mon grand ! |
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