Seiyaku Neran, alias Doc!

Nom :

Neran

Prénom :

Seiyaku

Surnom :

Seiya, Doc et… mademoiselle à vos risques et péril!

Age :

37 ans

Date de naissance :

12 janvier 1974

Nationalité :

Japonaise et Allemande

Statut :

Docteur de profession, mais simple touriste dans cette ville.

Description physique :

Comment ça mademoiselle?! C’est ce qu’il vous répondra si vous vous trompez en lui parlant dans la rue où bien ailleurs. S’il arrive que bien des gens fassent l’erreur, sans trop avoir voulu le vexer, c’est en majeure partie à cause de son physique. Seiyaku est en effet presque taillé au couteau. Une taille fine aux muscles assez fins pour un homme portant souvent de longs manteaux ou des vêtements longs collés contre sa peau. Déjà qu’il n’est pas très gros il ne s’avantage pas pour se montrer homme viril. Le second point qui peut vous faire commettre l’erreur de le prendre pour une femme, est le fait qu’il porte ses cheveux blancs comme neige très long dépassant même ses reins allant jusqu’aux fesses. Cette couleur lui vient d’un défaut génétique que sa mère aussi avait et qu’elle lui a transmis .Tout pour que vu de dos il est l’air d’une jeune femme. Si on ne regarde pas que derrière, il y a aussi un devant sur un homme non? Seiya porte souvent une chemise accompagnée d’un jeans ou bien d’un pantalon long, on ne le voit jamais en short ou en débardeur même lorsque les températures sont très élevées. Parfois habillé plus décontracté, il portera un pull à l’intérieur, ce qui le change déjà de son habitude qui était de porter toujours ce long sarrau de docteur qu’il portait presque nuit et jour. Bien qu’il l’ait apporté durant ses vacances il ne le met pas vraiment.

Ça, c’est pour son habillement régulier que plusieurs qualifieraient de chic la plupart du temps. Ensuite pour ce qui est du physique on le croirait presque anorexique ou du moins quelqu’un qui prend trop bien soin de lui, étant beaucoup plus agile que fort il ne faut pas le sous-estimer non plus sinon vous aurez de très mauvaises surprises. Le plus surprenant se trouve sur son visage et ce qui l’entoure. Il a en effet deux grandes lignes sur le visage et non ce ne sont pas des tatouages ou encore une marque de naissance, mais se sont des cicatrices qui lui sont restées marquées au visage malgré les années. Une marque de guerre qu’il conservera tout le reste de sa vie. Ses oreilles aussi ont subi une étrange formation, bien que peu perceptible de loin, lorsqu’on regarde de plus près elle semble un peu plus pointue qu’à la normale. En plus d’être pointues, elles en sont par la même occasion extrêmement sensibles, non pas au bruit, mais aux sensations physiques. À toucher avec précaution si vous ne voulez pas vous faire mordre ou frapper. Ensuite, si vous en avez la chance et qu’il ne porte pas ses lentilles pour les cacher vous pourrez apercevoir ses pupilles, ses yeux, ressemblant à ceux d’un oiseau de proie, un hibou ou un harfang. Lorsqu’il vous fixe dans les yeux, vous aurez l’impression que de n’être qu’une proie devant lui. Les yeux d’une couleur jaune clair vous ne pouvez pas les manquer durant la nuit. Sinon vous risquez de le rencontrer avec les yeux verts la plupart du temps.

Description psychologique :

Antisocial, mauvais caractère et rabat-joie seraient un bon début. Il est en quelque sorte un solitaire endurci. Ayant toujours été porté à lui-même il n’a jamais essayé par la suite de faire le moindre contact social. Étant plutôt renfermé sur lui-même il ne parle pas beaucoup et s’il parle vous aurez sûrement droit à une insulte ou à un commentaire agressif et sans la moindre once de gentillesse. Enfin, vous pouvez toujours lui demander l’heure là il pourrait vous répondre sans trop de méchanceté. Il ne cherche pas à faire de contact et il ne veut pas que les autres cherchent à lui en faire non plus et de ce fait il se cache derrière une sorte de mur qui lui permettrait de discuter librement. Souvent de mauvaise humeur ou du moins le paraissant il n’est pas la meilleure personne à vivre avec. Une tendance à être beaucoup trop sérieux, il verra davantage à aller travailler et faire son travail comme il se doit au lieu de penser à lui-même et a ses patients. Voilà pourquoi son travail est souvent situé à la morgue où en chargent des personnes qui vont bientôt mourir, ne sentant pas la moindre pitié dans son cœur face à ses personnes n’est-il pas l’employé idéal? Bien que quelques personnes le connaissent, jamais aucune d’elle n’aura sa confiance, il n’est pas capable de donné sa confiance à qui que ce soit, toujours sur le qui-vive il ne vit que pour lui-même et n’a besoin de personne du moins sa ce est-ce qu’il croyait jusqu'à maintenant. Seiya est aussi un homme de grand stress, toujours sur les nerfs ce qui le rend 2 fois plus désagréable si vous le déranger dans sa petite bulle de pensée, il n’accepte pas que vous rentriez dans sa bulle, dans son monde dans son atmosphère, bien qu’une personne est réussit à percer au travers du mur.

Sinon, si on laisse passer la partie mauvaise caractère, Seiya est un homme cultivé, aimant bien dans sa solitude prendre un bon livre et le lire en toute tranquillité. Maniaque aussi du café, il lui faut un café ou bien un thé tous les matins et quelques fois par jours. Très solitaire il nous vous parlera jamais de ses peurs ou bien de ce qu’il aime vraiment eh bien oui, car cet homme a en faite une frayeur, aussi banal soit-elle, il a la frousse des orages. Celle avec les éclairs et le tonnerre le rendent 100 fois plus nerveux que d’habitude. Quoiqu’il ne sort pas vraiment durant les périodes d’orages. Vous le verrez par contre sous deux visages si vous le croiser qu’avec une seule personne, bien qu’il l’insultera quand même et le frappera parfois, mais il se montrera un peu plus ouvert a cette personne. La seule qui est réussie à percer ses défenses, cet homme n’a pas toute sa confiance, mais il est capable de supporter sa présence à ses côtés et a fini par l’accepter même.

Histoire :

On entendit un bruit, une dame qui parlait dans un haut-parleur, annonçant le départ du vol no 27 en direction des États-Unis. Seiyaku se dirigea, un simple sac à la main en direction de la dite porte pour le départ de son vol. L’homme à la chevelure longue et blanche fit la file jusqu'à pouvoir enfin entrer dans l’avion. Un billet de la classe affaire en main il se dirigea vers les sièges les plus confortables de l’appareil, laissant derrière lui l’homme qui avait pris un billet d’avion lui aussi, mais beaucoup trop tard donc il fut forcé de prendre la classe économique. Il le laissant s’y rendre comme si de rien n’était et lui s’installa enfin dans le siège prévu à cet effet. Se commandant automatiquement une bouteille d’un bon vin rouge australien lorsqu’il vit passer la demoiselle hôtesse de l’air. Le grand oiseau décolla quelques minutes par la suite après l’avertissement et la présentation du pilote. Sa succulente bouteille de liquide carmin et alcoolisé lui fut apporter aussitôt l’avion à l’altitude de croisière, empêchant ainsi les fâcheux incidents qui aurait pu tachés ses vêtements. L’homme blanc comme la neige, étira sa main pour fouiller dans le sac qu’il avait emporté avec lui et en sortit un carnet, recouvert d’un d’un cuir complètement noir et lacé d’un fil de couleur doré sur la reliure, s’agençant au signet fait du fil de la même couleur. À côté de ce petit carnet, dans la même main, un stylo argenté l’avait accompagné. Une coupe de vin maintenant versé, il plaça une mèche de cheveux derrière son oreille et ouvrit le petit carnet ou quelques petites lignes avaient déjà été écrites.

~~Ma vie, mon malheur, mon bonheur~~

" Moi, Seiyaku Neran, de ce nom donné par de parfaits étrangers, va écrire dans ce petit carnet, l’histoire de mes 37 ans dans ce monde des vivants, bien pour presque chacune d’entres-elles je me demande si je l’ai bien été vivant.

Tout à commencé, selon l’histoire que m’a raconté ceux qui m’ont élevée, dans le lit d’une entreprise de prostitution, très bien reconnu au japon. Si aujourd’hui je suis quelqu’un de beaucoup plus fier, je dois avouer que je n’étais qu’une simple merde lorsque je suis né. Mes origines? Une chose est sûre c’est que j’ai une partie en moi qui est japonaise, pour le reste je l’ignore totalement. Ceci étant dit, je retourne à la base de l’histoire. Ma mère n’était finalement qu’une simple prostituée dans l’entreprise gérée par un homme d’affaires cruel et dépourvu de compassion. Un jour celle-ci coucha avec un client, sûrement faute de préservatifs probablement et elle est tombée enceinte de moi…Pourquoi n’a-t’elle pas décider de se faire avorter tout simplement? Peut-être ne le voulait-elle pas tout simplement? Non, elle avait reçu des menaces, l’homme qui lui avait fait cet enfant voulait le garder pour lui, n’ayant ni femme, ni concubine il lui fallait un garçon pour son héritage et il me voulait moi…et bien qu’il court toujours au point ou j’en suis rendu. Cela n’empêcha pas ma mère de le défier une dernière fois par contre…celle-ci fuit durant l’une des pires nuits de tempête qui put y avoir au japon, et ce, juste après avoir accouché de moi. Elle avait couru aussi loin qu’elle avait pu, nu-pied dans la neige glacé, mais elle finit tout simplement par s’écrouler dans la neige et c’est la qu’elle mourra de froid, mais juste avant…un homme était venu a sa rencontre, vérifiant si elle était toujours en vie et celle-ci me confia à cet homme sans savoir qui il était. Je crois que j’aurais préféré encore mourir gelée dans cette tempête de neige plutôt que de vivre maintenant…

Cet homme était en fait un membre d’une société secrète, existant sous l'emplacement d’un temple pour cacher ses agissements, une bande de scientifiques, d'expert et de détraqué. Malgré tous, les quelques faux moines ne faisaient pas que prier toute la journée adorant les dieux, il était la pour jouer un jeu, le jeu de la cachette, ce n'était qu'une facade. C’était un temple plus ou moins bien caché dans une montagne à quelques kilomètres de la ville. Ce qui s’y passait exactement, de l’écrire ici, risque de me valoir la tête coupé, mais qui sait ce que j’écris dans ce petit livre après tout? Ce temple récupérait la plupart du temps des orphelins, des enfants abandonnés ou bien des enfants confectionné dans l’enceinte de la société secrète. Sous le temple, là ou se déroulait les vrais manoeuvres, existait une installation technologique de vrais laboratoire, et nous en étions les rats. Tous ces couloirs, ces salles ou l'ont nous ammenaient sans savoir ce qui s'y passerait vraiment, tout pour mettre la chair de poule et pourtant j'y ai vécu une bonne partie de ma vie. Seul les plus forts peuvent gagnés, seuls les plus forts peuvent survivre, voilà ce qu’ils nous répétaient sans arrêt alors que nous nous entrainions jusqu'à l’épuisement total. Encore et encore, des pratiques de combat, de l’entrainement d’endurance des combats entre-nous et de plus en plus violents seuls les plus forts pouvaient survivre, les autres mourraient pour certains. Pourquoi moi j’ai réussit à survivre tout ce temps? Tout simplement parce que j’ai commencé plus tôt…je n’avais jamais connu autres choses, tout ce que je savais venait d’eux, je n’avais jamais connus les contacts entres-êtres humains, les joies des amis, et surtout les émotions que les humains pouvaient ressentir, la seule chose que j’arrive à ressentir c’était une sorte de rage intérieur qui c’était ancré en moi sans pouvoir sortir…

On avait fait de moi un semblant de machine, une machine à tué et à obéir et oui, car dans cet endroit enfermé sous terre, nous ne faisions pas que nous entretuer. Des contracts de mercenaires, des assassinats à faire, nous faisions à peu près tout ou presque, nous nous fondions dans la société à quelques occasions. Nous apprenions aussi à gérer le moindre sentiment, la peur, la tristesse, la joie…aucun de tous ceux là était permis d’être utilisés, la première chose à perdre, était les pleurs. Lorsque l’un d’entre-nous ce mettaient à pleurer, un responsable le frappait encore...et encore de plus en plus fort jusqu'à ce que les pleurs s’arrêtent…Je ne me rappelle plus combien de marques j’ai dans le dos a cause de mes débuts… Chacun de nous avait une arme privilégier qu’il apprenait à maitriser, pour ma part, j’étais très agile, alors, je pris possession de la maitrise de 4 lames dans chaque main. De petits couteaux bien affilés pouvant couper une tête en quelques fractions de secondes.

Étant certains de ma fidélité, je fus autorisé à suivre des études supérieures, je choisis donc la médecine. Un métier plutôt pratique lorsqu’on parlait de cacher la mort de certains corps, inventés de faux rapport et surtout…que je n’avais aucune antipathie pour les êtres humains. Je n’en ai pas beaucoup plus d’ailleurs. Enfin, je continuais à travailler en secret lorsqu’on me demandait d’achever quelqu’un, ce durant la nuit et durant le jour je devenais l’enfant studieux voulant devenir médecin. L’école ne fut pas mieux pour mes relations humaines, mon ton blafard, mes cheveux blancs comme neige et mon air glacial n’attiraient personnes, du moins ceux qui c’était tenté n’avait jamais réessayé, ma haine pour tout ce monde grandit de plus en plus…mais jamais il ne sortit, jamais une expression au visage ne c’était montré. Enfin, je ne dis personne, il eu bien une personne une fois, qui tenta de m’approcher, plus qu’une fois, je ne parlais pas beaucoup, mais cette personne oui et finalement j’ai décidé de laisser aller quelques mots, mais je fus rapidement découvert. On me donna l’ordre d’éliminer la seule personne qui m’avait considéré comme une personne…cette fois-ci je dis non, c’était la première fois que je dis non à un ordre…je n’aurais peut-être pas du faire sa en faite. En guise de punition, on m’attacha à un arbre à l’extérieur sous un orage et une pluie torrentielle. Jusque-là ça pouvait aller, bien sûr que je mourrais de froid, mais ce n’était pas une première fois qu’on me laissait souffrir, mais on apporta non longtemps après le corps de la personne que j’aurais dû tuée, ils le laissèrent la devant moi…j’avais déjà vu des corps auparavant, mais celui-ci fit tout simplement bouillir le sang a l’intérieur de moi…sans que je ne puisse rien faire. Dans cette même nuit, un éclair frappa l’arbre où j’étais attaché, je ne suis pas mort brûlé, mais j’ai bien failli y passer. J’ai dû rester plusieurs jours dans les pommes, blessé gravement, je fus hors services pendant quelques semaines. Après cet incident, les orages ne m’ont jamais paru de la même manière. N’ont plus ceux de ma communauté…Une fois mes études enfin terminées, je continuai, encore plus renfermé sur moi-même à exercer cette double vie…Jusqu'à ce qu’une fois enfin en moyen, je disparus pour eux, j’ai fuis comme un lâche, enfin, je suis tout de même resté dans la ville, mais j’avais effacé, mes traces. Me faisant une vie à part, nombres de fois m’ont-ils retrouvé, lors de mes massacres nocturnes, lorsque je me défoulais sur les prostitués croisés en chemin, une vengeance contre celle qui m’avait donné une vie de mort vivant, nombres de fois ont-ils essayé de m’exécuté comme un traître, mais je n’étais pas n’importe quel élément, de simples élèves ne pourraient jamais m’achevé. "

Seiyaku Releva la tête de ses écrits alors qu’il entendu des marmonnements près de lui, un passager semblait-il donnait de la misère aux hôtesses de l’air, se plaignant sans arrêt, bousculant tout le monde et elles avaient l’impression que plus le voyage avancerait que plus cet homme allait vouloir tuer les autres passagers, surtout le gros homme devant lui et le gamin qui donnait des coups de pieds a son siège.

Seiya poussa un grand soupir en refermant son livre le plaçant dans une poche de sa veste et se leva de son siège pour se diriger dans la classe économique.

-" Pas moyen d’être tranquille…"

Il alla du coté économique, allant retrouver le dit homme qui foutait le bordel…ou plutôt qu’il allait finir par commettre un meurtre et sa se voyais dans ses yeux. Il attrapa le type par son avant-bras et le tira du siège le traînant ainsi l’empêchant d’étriper qui que ce soit durant le trajet jusqu'à la classe supérieure, il le fit s’asseoir sur son siège et s’installa sur les cuisses de celui-ci sans aucune gène.

-" Je vais le buter ce gosse! Je vais l’éventrer l’espèce de grosse vache! "

-" Mais oui, mais oui, maintenant arrête de bouger dans tous les sens et tien toi tranquille, je viens de perde mon siège à cause de toi."

-" Je suis sur que ça te plaît… ce siège est beaucoup plus confortable et beaucoup plus pratique hehe"
Seiyaku pinça les mains qui tentaient de se faufilé sous sa chemise qu'à même voir du bleu sur ses mains jusqu'à les sentir quitté sa peau.

-" Je t’ai dit de rester tranquille dans l’avion, recommence et tu retourne derrière avec le gros type et le morveux "

Et il regardant cet espèce de pervers se mettre à bouder tout simplement, cessant de parler et l’ignorant presque. Seiya soupira de nouveau et ouvrit son calepin, et fit cliquer son crayon.

"Ou en étais-je déjà? À oui après que j’ai réussi à me libérer de maudite secte. Je dois dire que plusieurs années suivantes de cette vie, je ne fus pas plus qu’un zombie faisant son métier jour et nuit, sans arrêt, comme une surmené parfois. Cependant, mes employeurs eux étaient plutôt satisfaits de ce que je faisais, lorsque quelqu’un avait une maladie incurable ou plutôt grave c’est à moi qu’on faisait appel. N’y a-t-il personne de mieux qu’une personne sans émotions et surtout sans compassions pour annoncer à quelqu’un qu’il va mourir. Ce travail ne me déplaisait pas vraiment, annoncer la mort des gens était presque une satisfaction…j’en ai longtemps voulut à tout être humains, car ils avaient ce que je n’avais pas. Du moins jusqu'à ce que je rencontre…le serpent. Il c’est entouré autour de ma vie au point de l’étouffer, il l’a envenimé jusqu'à dissoudre ce que j’étais.

En effet, un jour, dans un bar je crois, j’avais l’habitude de les fréquenter pour boire un verre après avoir travaillé toute la journée. Un homme, ou plutôt je devrais un crétin c’était approcher de moi, sûrement à cause de mon apparence efféminée, ça avait dû l’intéresser. Il voulait parler…alors en espérant pour lui qu’il aimait parler tout seul, car je l’avais complètement ignoré, quelques regards simples voulant dire qu’il me gênait plus qu’autre chose. Cela fonctionnait habituellement avec les types aux beaux sourires charmeurs, mais celui-ci semblait…différent. Et oui il l’était complètement puisqu’il se mit à me harceler sans cesse! Sans arrêt, une à deux fois par jour, il m’attendait à la fin de mon travail, me harcelant là bas, je ne sais plus combien de fois je l’ai frappé d’ailleurs. Cela ne l’empêcha pas non plus de me persécuter jusque chez moi, j’y ai même retrouvé des parties de corps humains a quelques reprises, le plus grand problème était dans disposé correctement et sans traces, sinon je n’étais pas plus affecté que cela par les traces de restes humains. Pourquoi ce type ne voulait pas me lâcher, Sayonji ce vil serpent ne comptait pas lâcher sa proie qui était moi a l’occurrence, je n’ai jamais compris pourquoi et je ne le comprends encore et toujours moins.

Cependant, un jour il ce décida à frapper plus fort, il voulait qu’une chose…que je lui appartienne si ce n’était que pour une seule nuit. Il voulait tout simplement me briser…briser pour une fois cette défense que je me suis faite depuis toutes ses années. Briser ce mur de glace, et ce, par la plus violente et horrible torture que l’on pouvait imposer à un homme.

Je venais de rentrer d’une journée très épuisante a mon travail j’étais tellement crever cette journée la que je comptais même me rendre a mon lit sans même manger, ce fut encore plus rapide que je ne croyais…Quelque chose c’était glissé derrière moi et quelque chose d’humide et odorant c’était glissé sous mon nez, tout ce que je me rappelle c’est cela, après ce fut un noir complet. Jusqu'à ce que j’ouvre les yeux de nouveau…j’étais attaché à mon propre lit, un poids pesait sur moi…je pus entrevoir deux lueurs jaunes ainsi que ce qui me semblait être la lame d’un couteau. Lorsque je repris mes sens complètement, je crois qu’à ce moment j’aurais préféré être mort, ou qu’il m’est tué au lieu de faire ça. Il eut son plaisir à prendre son pied, mais je n’eus pas le mien…je me sentis déchiré de la partie ou il s’amusait à pilonner brutalement. Depuis si longtemps je n’avais jamais eu de larmes, pourtant quelques-unes s’échappèrent à cet instant, mais ce ne fut que celle de douleurs. Je ne put retenir quelque cris de douleurs…et puis plus rien…l’effort avait tant été que j’en avais perdu connaissance, j’avais été brisée en milles morceaux.

Lorsque je me réveillai enfin le lendemain matin, la tête tournante, je sentais un liquide visqueux s’échapper d’entre mes cuisses, mes poignets et mes chevilles me faisaient souffrir atrocement. Je n’arrivais pas à bouger le moindre muscle…je restais là…les yeux ouverts, comme si on m’avait volé quelque chose, comme s’il y avait eu un arrêt. J’ai fini par reprendre mes sens et aller prendre une douche…Nettoyant au mieux tout ce qui me semblait sale…j’ai dû y passer 2h au moins. Je n’avais plus entendu parler de lui, ni plus qu’il ne me harcela plus durant les jours qui suivirent…j’étais tranquille, mais cela n’était pas pour durer…il"

-" Seiya tu écris quoi? "

-" Un truc avec des mots, un truc que tu ne peux pas comprendre"

Dit-il tout simplement en essayant de cacher ce qu’il était en train d’écrire, loin de la vue de ce serpent vicieux.

-" Je suis pas débile non plus! Aller dit moi ce que c’est! "

-" Ce n’est qu’une petite biographie de moi c’est tout"

-" Y a intérêt à ce que je sois dedans…! "

-" Bien sûr que non, si je l’écris c’est au cas où j’aurais une perte de mémoire et autant mieux ne pas me rappeler de mauvais souvenir tel que toi. "

-" Hey c’est méchant! Je sais que tu m’aimes dans le fond."

-" Je te hais… Va donc t’occuper des hôtesses, il paraît qu’elles n’ont pas de petites culottes sous leurs minijupes. "

-" Moi aussi je t’aime."

Et il regarda Sayonji s’étirer de tous les côtés essayant de voir les hôtesses de l’air pour en faire sa propre idée. Il roula tout simplement les yeux avant de retourner à son calepin.

" Il fut enfin le temps ou je rencontrais à nouveau mon bourreau…Celui-ci arriva durant mes heures de travail à l’hôpital, non pas pour venir me harceler de nouveau, mais, car celui-ci avait trouvé le moyen de se faire planter une balle dans la jambe et dans l’épaule on vit me chercher immédiatement en urgence, mais lorsque j’aperçus ce type…aussi faible soit-il a ce moment, autant le sang coulait de ses blessures…quelque chose, je ne sais pas quoi ce mit a faire bouillir le sang a l’intérieur de mes veines, des souvenirs, des images, des sensations…Je crois que c’était la première fois que je perdais mon sang-froid…J’avais fait de ma main un poing et de toutes mes forces je l’avais frappé au visage, sans la moindre hésitation. Pour m’empêcher de lui en donner d’autre sans arrêt les infirmières m’avaient stoppée de tout geste avant que je n’aggrave son cas. Un autre médecin fut appelé et j’ai été me cacher quelque part ailleurs histoire de me calmer les nerfs.

Je croyais en avoir finit, mais non…Se serpent ce parasite avait décidé d’envahir ma vie, ma maison, mon lit! Chaque jour, après qu’il ait quitté l’hôpital une fois rétabli il terminait souvent sa course chez moi, s’installant comme si l’endroit était déjà a lui. Vidant mon frigo, abusant de mon alcool et tout…j’ai tout essayé, verrouiller les portes, les systèmes d’alarme et tout, rien n’y faisait, le serpent arrivait toujours à se glisser à travers pour terminer sa course chez moi, m’empoisonnant la vie... Il empoisonna même mes nuits, au début j’avais réussit a au moins préservé, mon derrière de ses assauts continuel, mais de peur qu’une chose comme l’autre nuit arrive de nouveau, j’avais fini par me laisser, faire. Bien que cela ne m’apportait aucune satisfaction particulière, je n’étais qu’une poupée entre ses mains, il pouvait ce montrer doux et agressif à la fois, c'est-à-dire qu’il prenait tout de même son pied, mais sans pour autant me faire saigner ou crier de douleur…mais ce n’était rien de plus que du sexe bestial et rien d’autre.

~Tu es à moi

Je me rappellerais toujours de la première fois qu’il avait dit ses mots, j’avais tout simplement quitté ma maison en claquant ma porte. Comment puis-je appartenir a quelqu’un…non c’était impossible pour moi, je suis seul et je resterais seul. Je ne peux compter que sur moi-même et personne d’autre. Alors comment appartenir à quelqu’un si on est seul…c’est impossible. Je m’étais mit à marcher, ou plutôt à errer dans la ville en réfléchissant ses mots se répétaient dans ma tête sans arrêt, comme une espèce de poison. Il y avait un pont enfin devant moi, sans savoir pourquoi je me mis sur le rebord de celui-ci, fixant l’eau…Elle semblait plutôt attirante, un saut et puis…tout pouvait être terminé, mais…je ne l’aurais pas fait…du moins jusqu'à ce qu’un camion a grade vitesse passa sur le pont me faisant perdre tout équilibre et je tombai vers l’eau. J’ai pensé que mes jours était terminé, que mes tourments allaient s’arrêter lorsque j’allais atteindre l’eau, mais finalement…J’ai pu ouvrir les yeux de nouveau et au-dessus de moi je pouvais apercevoir une silhouette trempée. J’entendais une voix, au début ce n’était pas très clair et puis enfin cela sonna comme un cri de rage…

~Je suis le seul à pouvoir te tuer tu entends! Tu es à moi!

Encore ses mots, mais pour la première fois, enfin cette fois, j’ai enfin compris leur sens, c’était une étrange sensation, c’était la première fois que j’avais, un lien avec quelqu’un, un lien non pas de parenté, mais autre chose. Je ne sais pas ce qui m’a prit, mais je me suis accroché à la silhouette et j’ai pleuré sans raison, j’ai pleuré de soulagement je crois. Une fois retournée à la maison, je me sentais un peu différente, comme si j’acceptais maintenant sa présence dans ma vie. Le reste et la suite restent plutôt banals, si ce n’est que nous sommes maintenant en voyage pour la ville de NY-2, une ville reconstruite. Pas que j’aime prendre des vacances, mais on m’a obligé, il paraît qu’une semaine de 80h c’est trop pour une personne normale. "

Seiya serra son calepin ainsi que son stylo dans le sac qu’il avait apporté, il arrivait maintenant a l’aéroport de la ville de NY-2. Replaçant ses vêtements, ignorant Sayonji qui ce plaignait des mauvaises informations qu’il lui avait données sur les hôtesses de l’air. Ils quittèrent enfin l’avion, récupérant leurs baguages et tout et ce dirigeant enfin vers les services de taxi.

-"Aller dis-moi que tu m’aimes, et comme ça je te pardonnerais "

-" Mouais c’est ça."

Seiya monta rapidement dans un taxi, disant au chauffeur d’accélérer au plus vite laissant le serpent derrière.

-" Et votre copain? "

-" Il marchera, ça lui fera du bien…"

~~The End~~

Famille :

Sa mère => Une prostituée japonaise décéder quelque jours après sa naissance
Son père => Un homme d’affaires russe peut-être encore vivant

Il ne connaît ni leur nom, ni leur visage et n’a jamais cherché à savoir

Code: Validé

Après discussion avec Aedan, il y a quelques points qui nous chiffonnent.

Déjà, pour ce qui est des yeux. Nous trouvons ça un peu bizarre/irréaliste qu'ils passent du jaune au vert facilement. Bien entendu, il peut avoir des reflets verts en ayant des yeux marrons clairs, ou quelque chose du genre, mais pas vraiment de changement brusque.

Ensuite, il est étrange également que ton personnage travaille avec les patients de maladie incurable parce qu'il est froid et sans coeur. Normalement justement il faudrait des docteurs compatissants, mais soit, tu peux garder cela, Dr House est de ton côté après tout. xP

Une autre chose, c'est les moines. Je sais qu'il y a des moines qui enseignent l'art du combat comme les moines shaolin, mais l'art de tuer? C'est surréaliste encore une fois, même si cela serait une société secrète, ils ne peuvent tout simplement pas être appelés moines. Le mieux serait donc de dire que c'est comme une sorte de base secrète avec des gens étranges, mais pas des moines.

Pour finir il y a des fautes ici et là, mais je t'en avais déjà parlé dans la fiche d'Alexzander donc je ne vais pas m'étaler de nouveau sur le sujet.

Voilà, il faudrait que tu arranges un peu tout ça et ta fiche sera validée!

Pour les yeux je crois qu'il y a juste eu un petit manque de compréhension il est bien écrit dans la description physique:

si vous en avez la chance et qu’il ne porte pas ses lentilles pour les cachés
Il est ici clair que se sont des lentilles de contact de couleurs permettant de changer la couleur des yeux^^

Par rapport au patients je peux juste l'enlever u_u, c'Était juste pour expliquer qu'on lui donne les cas que personne veux s'occuper

Quand au moines, en faite je m'était basé sur ma premiere création de mon seiya, mais je m'en doutait un peu j'avais donc réfléchit a une alternative que je changerais dans les prochain jours.

Pour les fautes...">>...je viens de me rendre compte que j'ai envoyé ma copie non corriger...je vais remédier a la situation en même temps que l'histoire, mais bon...je peux pas faire de miracle, j'ai une difficulté énorme en français et de grammaire, je peux vous envoyer mes résultats de français s'il fallait des preuves

Ah désolée pour les yeux alors!
Change juste les deux derniers et redonnes nous la fiche corrigée! ^^

Désoler pour le retard, mais j'ai arrêter tout rp depuis un mois pour mes examens
J'ai corriger la partie qui parlait du temple qui vous semblait trop irréalistes et j'ai fait de mon mieux pour les fautes

Désoléeeee je croyais avoir validé!

Fiche validée, sorry pour le retard encore!