Reservoir Dogs
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 Sir Joseph Turner

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Joseph TurnerJoseph Turner
Millionnaire Assidu
Werewolf


Cute Name? : Jo'!
How old are you? : 47
Messages : 6


Sir Joseph Turner Vide
MessageSujet: Sir Joseph Turner   Sir Joseph Turner Icon_minitimeMer 24 Fév - 23:32

Nom : Turner
Prénom : Joseph
Surnom : Jo’
Age : 47 ans
Date de naissance : 1er Février 1968
Nationalité : Américaine
Statut : Millionnaire Assidu - Werewolf

DEscriptION PHYSIQUE


    Il n’y a pas à dire, quand Joseph Turner est là, on le remarque tout de suite. Déjà de part son air hirsute, limite animal sauvage, mais aussi par sa taille imposante. Mesurant 1m89, il dépasse largement la plupart des gens. Commençant donc par son corps. Il n’y a pas que la taille qui est imposante chez ce millionnaire, bien au contraire. On peut aisément deviner des muscles saillants sous son costume deux pièces. Musclé, ça il l’est sans aucun doute, pratiquant du jogging régulièrement, et passant de temps en temps au gymnase du coin, histoire de se maintenir en forme malgré son âge. Sa peau est légèrement tannée grâce à quelques bronzages sur les plages d’îles paradisiaques. Il représente parfaitement l’homme viril et plein de testostérone. Ses mains sont également assez particulières par leur taille. Elles sont rugueuses, et ses doigts sont noueux, pas du tout parfaitement manucurés comme on pourrait le croire avec la fortune qu’il possède. Il porte une chevalière en or à l’index de sa main droite qu’il ne quitte jamais d’ailleurs. Au niveau de son visage, première chose étonnante, sa coupe de cheveux. Ses cheveux partent dans tous les sens, et sont la plupart du temps ramenés en arrière. Ils sont d’un marron foncé, presque noir à vrai dire. Lui arrivant jusqu’au bas de la nuque, rebiquant aux pointes, cette coiffure naturelle lui confère un air sauvage, animal, et séduit bien des personnes. Mais il les coiffe souvent en queue de cheval pour lui donner un air plus correct, officiel. Vient ensuite la barbe qu’il possède, tout le long de son menton, et seulement là. Un loup-garou, voilà ce à quoi il ressemble. Ses sourcils sont épais et broussailleux. Ses yeux légèrement en amande sont couleur noisette. Et son sourire… Des dents toutes blanches, et des canines un peu pointues, accentuant encore plus son côté bestial. Un sourire ravageur, charmant, gentil, aimable.

    Côté vestimentaire, il est très sobre quand il sort de chez lui. Des costards iront parfaitement, avec chemise de toutes les couleurs, cravates de tout genre, et parfois insolites, cadeau de ses filles. A lui tout seul, il pourrait ouvrir une boutique de costumes. Il possède toutes les couleurs possibles, tous les rayés possibles, et le tout sur-mesure, bien entendu. Monsieur ne fume pas de cigarettes, mais des cigares coûteux, qu’il allume avec des allumettes qu’il emporte toujours avec lui. A le voir, on comprend tout de suite qu’il fait parti de la classe supérieure, des grands riches. Rien que les chaussures en cuir lustrées le prouve. Sa démarche est discrète, mais fait toujours son petit effet. Peut-être est-ce son regard observateur, ou alors ses bonnes manières, ou encore la façon dont il parle. Il a une attitude très noble et courtoise, et vous entendrez rarement sortir de sa bouche des insultes ou des mots grossiers. Monsieur sait se tenir en société. Chez lui par contre, c’est tout autre chose. Il enfile des vêtements larges, sans forme, dans lesquels il se sent confortable, et traîne pieds nus, cheveux en bataille. Joseph est quelqu’un d’assez naturel au final, mais qui a eu une éducation très stricte au final, qui aujourd’hui le poursuit encore. Un parfum d’eau de Cologne se dégage de lui, mais en l’approchant de plus près, vous pourrez sentir une légère odeur de roses.


DEscriptION PSYCHOLOGIQUE


    Qui est exactement Joseph Turner ? Il fait parti de cette classe de gens dont vous avez l’impression ne pouvoir jamais atteindre, ne pouvoir jamais connaître. Et c’est vrai qu’on ne le croise pas dans des endroits banals, comme les supermarchés, on encore le métro. Les courses, c’est un domestique qui s’en occupe. Les déplacements, toujours en voiture, berline noire aux vitres teintées. Mais alors, comment est-il ? Contre toute attente, il est quelqu’un de très simple, qui profite de la vie autant que possible. Il n’aime pas s’encombrer de choses futiles et matérialistes. Il possède un grand sens de l’humour et rit très souvent. Le moindre gag l’amuse. Autant dire que cela l’aide franchement à se faire des amis. Plus que sociable, il ne peut pas vivre sans les autres, et cherche constamment leur compagnie. C’est quelqu’un de très facile à vivre, avec qui on ne s’ennuit pas. Joseph n’est pas seulement sociable, mais il est aussi généreux, attentif. Bref, on pourrait même le considérer comme l’homme parfait tellement il est attentionné avec les êtres qu’il aime. De plus, il n’est pas rancunier et oublie facilement les petites querelles. Mais les petites, seulement. Il y en a certaines qu’il ne peut pas oublier, comme ce qui est arrivée à sa famille, il ya des années. Cette haine est tel un poison qui se propage en lui.

    Ce côte-là de sa personnalité cependant, il le cache soigneusement, surtout devant sa fille chérie. Car cette noirceur en lui, ces ténèbres qui sont enfouies, ressortent parfois. Et ce n’est pas joli. Il a un défaut majeur : son alcoolisme. En effet, malgré ses airs d’homme confiant, sûr de lui, il a une faiblesse, l’alcool. L’alcool lui permet d’oublier, pendant un instant, son passé. Mais quand il est dans son état normal, c’est un homme très détendu, et toujours aussi jovial. On peut dire que Joseph Turner a changé après cet évènement tragique, qu’il n’est plus exactement le même, même s’il essaye de garder ce masque souriant. A côte de cela, ce grand homme est d’un calme olympien. Il ne s’énerve jamais, et vous ne verrez jamais une veine ressortir au niveau de sa tempe. Ses excès de colère, il les passe seul, pour ne pas déranger les autres, et surtout, ne pas dire ce qu’il ne pense pas au fond. Monsieur fume également beaucoup, mais des cigares seulement. C’est son seul vice, si on ne compte pas sa défaillance pour l’alcool. De gros cigares coûteux, il en a toujours dans sa poche. Que dire d’autre sur cet homme ? Même s’il paraît facile à aborder, il n’est pas du genre à se dévoiler facilement. Fin manipulateur, il n’a aucun problème à obtenir ce qu’il désire à coup de stratagèmes, parfois vicieux. Après tout, il faut savoir l’être un minimum pour pouvoir réussir dans le monde des finances. Son argent, il ne fait que le placer ici et là, et l’épargne. Nul besoin de travailler donc.



HISTOIRE


    - Vous savez, mon père ne ferait jamais de mal à une mouche. C’est un homme foncièrement bon. Je n’ai jamais rencontré quelqu’un d’autre d’aussi gentil et attentionné que lui. Oh certes, il me surprotège un peu, mais je pense que c’est normal, après tout ce qui s’est passé. Vous savez…

    Un léger silence. Le journaliste se contente d’hocher doucement de la tête et semble noter quelques petites choses sur son carnet. Posé sur la table basse, entre lui et la jeune blonde, se trouve un magnétophone. Il est allumé et en marche, enregistre le moindre son. Dans l’appartement luxueux, tout est calme. Il y règne une étrange sérénité. Assis face à lui se trouve Mary Turner, fille de Joseph Turner. C’est une jeune fille sans histoire, au sourire bienveillant, à la peau claire. Elle a des beaux yeux verts turquoise, et de longs cils. Son maquillage est si naturel que l’on pourrait croire qu’elle n’en met pas. C’est une parfaite petite poupée de porcelaine, qui arbore des airs de fleur fragile. Elle n’est pas très grande et cela lui donne un air encore plus adorable. Ses longs cheveux blonds sont légèrement bouclés. Difficile de croire que son géniteur est Joseph Turner, un homme dont les traits sont durs, carrés. Mais elle a son nez, sa bouche. Le reste lui vient de sa mère.

    - Oui, je vois de quoi vous parlez. Ce fut terrible.

    Elle hoche doucement la tête également et ses yeux se remplissent d’une certaine tristesse et mélancolie. Dure épreuve à vivre pour une fille de son âge. Et pas étonnant que le père la protège bien plus qu’il ne le faut.

    - Je pense qu’une partie de lui a été détruite ce jour-là. Il ne s’en est jamais vraiment remis, même s’il se montre fort. Mais il garde pourtant sa gaieté et sa gentillesse. Il ne se lasse jamais de me raconter son enfance, sa jeunesse, et comment il a rencontré notre mère. Son éducation a été très stricte dès son plus jeune âge, pour le préparer à son rôle d’héritier. Il m’a toujours dit que cela avait été très dur mais qu’il avait pris sur lui.

    Un jeune garçon assis à une table. Ses cheveux sont d’un brun très foncé, coiffés en arrière, gominés. A ses côtés, une dame aux airs très stricts, une règle à la main, penchée au-dessus des cahiers du petit. Il fait ses devoirs de maths. Après, ce sera l’astronomie, puis la physique, et enfin la biologie. Demain, il allait falloir qu’il finisse le livre sur ce grand philosophe français au risque d’être puni. Ses pieds se balancent dans le vide. Il ne touche pas le sol tellement la chaise est haute. Tous les meubles sont d’une taille démesurée d’ailleurs. La salle d’études, comme on l’appelle, est gigantesque, et un silence religieux y règne. Deux des quatre murs ont été transformés en bibliothèques, où les livres s’alignent les uns à côté des autres. Le troisième donne une vue sur le grand jardin du château, sur sa fontaine, ses rosiers.

    - Il vivait dans un immense château. L’endroit n’était pas du tout chaleureux. Je l’ai déjà visité plusieurs fois. Il est à l’abandon à présent. Mon père n’aime pas y remettre les pieds. Cela lui rappelle bien trop de mauvais souvenirs. Mais auparavant, c’était très majestueux. J’ai vu quelques vieilles photos. Les jardins étaient magnifiques. Il aimait beaucoup se promener dans les jardins.

    Il est habillé d’un short, de chaussettes hautes, de petites chaussures en cuir, d’une chemise rentrée dans un pantalon et d’un veston. Les Turner sont une illustre famille, et il est le seul héritier. Il doit faire en sorte d’être un digne héritier. Mais aujourd’hui, il a besoin de se détendre, de s’éloigner de ces maths, de ces cours de langue, pour respirer l’air frais. Le parfum des roses est enivrant. Elles sont si belles, si grandes. S’il en prend une dans le creux de ses mains, elle prend toute la place. L’odeur des roses…

    Dans l’appartement, on peut voir ici et là des vases remplies de roses. Des roses rouges, jaunes, roses. Il y en a de toutes les couleurs possibles, aux quatre coins du salon. Une douce senteur, légère, loin d’être écœurante. Peut-être que le sentiment de sérénité vient de là. Ou peut-être vient-il des stores levés d’où filtrent les doux rayons d’un soleil chaleureux. Ou encore la propreté de l’endroit, les objets bien rangés à leur place.

    - Que je suis impolie… Souhaitez-vous un rafraîchissement ? Il fait assez chaud en ce mois de juin.

    - Volontiers. Auriez-vous du thé glacé ?

    Elle sourit et lui répond par l’affirmative, avant de partir à la cuisine. Il est étonnant que la jeune fille aille le servir. Dans un tel lieu, on imagine aisément un majordome accomplir ce genre de tâches. Mais non. Ici, on élève dans la modestie. On apprend à rendre service aux gens. Quelques minutes plus tard, la jeune blonde revient, avec un plateau en argent entre les mains qu’elle pose sur la table basse. Sur le carnet du journaliste, il y a des petites anecdotes, des rayures, des citations ici et là, des idées qui lui viennent pour son article. Avec grâce, Mary pose le grand verre de thé glacé, agrémenté de glaçons, face à lui, avant de prendre le sien pour en boire quelques gorgées. C’est désaltérant.

    - Où en étais-je… Ah, oui. Il a passé son enfance dans cet endroit, et était scolarisé au château. Il n’est donc pas allé à l’école avant le collège, et était devenu quelqu’un de très timide, n’ayant pas eu l’occasion de se socialiser avec d’autres enfants de son âge. On l’envoya en pension dans une école privée, religieuse, où les bonnes sœurs étaient tout aussi strictes que son ancien professeur. Mais il y faisait bon vivre, car il s’était fait des amis.

    Un petit groupe d’élèves qui sont en cercle, en train de jouer aux billes dans la cour. Ils s’amusent follement, mais se font vite chassés par les bonnes sœurs. Il est interdit de jouer aux billes ! Que c’est ennuyeux, cet endroit. Mais qu’à cela ne tienne. Ils joueront aux billes dans leurs chambres ! Il y a William, Edward, Lawrence, John, et bien d’autres encore. Leurs noms, il s’en souvient encore aujourd’hui, et a même gardé le contact avec quelques-uns d’entre eux.

    - Finalement, il est envoyé dans un autre lycée, très prestigieux. Il a toujours eu de bonnes notes, et n’a jamais abusé de l’influence de ses parents pour quoi que ce soit, bien qu’il savait qu’il pouvait très bien faire ce qui lui plaisait au final. Il a eu son diplôme, puis est entré à Harvard. Les études sont très importantes pour lui. J’ai beaucoup appris grâce à lui. C’est justement à Harvard qu’il a rencontré notre mère.

    Oui. C’est un beau jour de printemps. Je sens la légère brise, allongé sur la pelouse du campus, sous un arbre. Le soleil est rayonnant. Elle est à quelques mètres. Elle s’approche de plus en plus, mais je ne la vois pas encore, yeux fermés. J’ai l’air d’un imbécile heureux, d’un rêveur. Mais je suis un rêveur. Je me redresse, et je la vois, installée à quelques pas, avec ses amies. Elle est si jolie, si fraîche. A elle seule, c’est un soleil. Et je suis submergé. Submergé par sa beauté, par son sourire tendre. Et sans réfléchir je m’avance, et je vais lui parler, je me présente, et je lui demande si elle ne voudrait pas boire un verre avec moi un de ces quatre. Et elle accepte, et je suis fou de joie, même si je ne le montre pas, ou du moins presque pas. J’ai un sourire jusqu’aux oreilles.

    Je la revois plusieurs fois, seul à seul, et on s’entend si bien. C’est l’osmose la plus parfaite, elle me complète, c’est ma moitié, mon âme sœur que jamais je ne veux quitter. Et puis…

    - Et puis les années passent, et tous deux sont diplômés. Ils font partis des meilleurs, c’était le couple parfait. Alors il la demande en mariage. Rien de grandiose. Il a été très romantique, très classique. Il s’est agenouillé au restaurant, et lui a demandé sa main. Cela fait très cliché dit comme cela, mais l’instant devait être magique.

    Tout le monde me regarde, la regarde, nous regarde. Je lui glisse la bague au doigt. Elle me glisse la bague au doigt. Avec l’accord du prêtre, je l’embrasse tendrement. Et c’est le plus beau jour de ma vie. J’entends encore dans ma tête les cloches sonner.

    - Oh, je suis désolée. Je dois y aller. Mais on peut reprendre plus tard si vous voulez.

    - Non, ne vous en faîtes pas, je pense que j’ai tout ce qu’il me faut.

    Ils s’échangent une poignée de mains ferme. Elle le remercie, mais non c’est lui qui la remercie de lui avoir accordé un peu de temps. Finalement, ils se quittent.

    Le son des cloches dans ma tête. Des cloches différentes. Des cloches funèbres, funestes. Pourquoi ? Pourquoi elles ?

    Lisa est morte. Lisa est morte, et Amy aussi. Lisa ma femme, Amy ma fille aînée. Deux soleils. Deux étoiles, éteintes à jamais à présent. Un kidnapping qui a mal tourné. Une rançon qui a été donnée, mais les otages n’ont jamais été rendus. Ils ont disparu, dans la nature. Elles et les malfaiteurs. D’après la police, l’affaire a tourné au vinaigre, et elles ont été tuées, toutes les deux, au cours d’une altercation. Ou peut-être avaient-elles essayé de s’enfuir.

    Dans tous les cas, elles étaient mortes.

    Ceci est la partie de l’histoire cachée. Ne répétez jamais ce que vous allez découvrir.

    Joseph, un père aimant. Un père exemplaire. Un homme qui a perdu la tête, fou de désespoir, de douleur. Tombé dans l’alcoolisme après cela, il l’a cachée à sa fille qui étudiait ailleurs. Et des sombres pensées l’accompagnaient, constamment. Il voulait se venger. Faire couler le sang de ces personnes qui avaient tué deux des êtres les plus chers à ses yeux. Tuer. Enfoncer son poing dans leur visage. Leur écraser la tête. Faire exploser leur cervelle. Faire de leurs tripes sa nouvelle tapisserie. Il caressait ce sombre souhait. Et il mit tout en œuvre pour y parvenir.

    Chronique nécrologique, quatre corps sont retrouvés démembrés dans un entrepôt désaffecté. La scène est horrible, même pour les inspecteurs. On ne remonta jamais la piste. On ne sut jamais l’auteur de ces crimes atroces, et au final, on s’en foutait.

    Apaisé, l’animal en lui s’était rendormi. Il était de nouveau lui-même, sauf qu’un bout de lui avait été arraché. Un gros bout. Un énorme bout. Et à la moindre défaillance, il savait qu’il replongerait dans les ténèbres. Même après s’être vengé, il ne se sentait pas mieux, loin de là. Il avait l’impression qu’il manquait quelque chose, qu’il aurait dû les faire souffrir davantage encore, les faire hurler de douleur, les obliger à rester éveillé pendant qu’il les démembrait. Tout cela, il l’avait fait tout seul, sans l’aide de personne. On lui amena juste les quatre corps assommés, et il s’était chargé du reste. Il n’avait même pas nettoyé après avoir fini.

    La nouvelle arriva comme une bombe. Une nouvelle bombe. On lui apprit une chose horrifique. Vraisemblablement, le corps des deux femmes n’avait jamais été retrouvé, et il n’avait su tirer de la bouche des quatre hommes ce qu’ils en avaient fait, mais il sut de source sûre le funeste destin qui avait attendu le cadavre de sa femme chérie et de sa fille aînée.

    Où est-Il ?

    Cet Homme. Ce Monstre. Donnez-le-moi que je lui fasse regretter.

    On ne donne pas des cadavres des Turner pour en faire des steaks hachés sans terribles conséquences.

    Beware of the Wolf.


FAMILLE


    Mary Turner [21 ans – Etudiante en psychologie] :
    Fille cadette des Turner. Une jeune fille très douce qui ressemble énormément à sa mère. Elle a une grande estime de son père et le considère comme un confident. Sage et sûre d’elle, c’est cependant une femme forte malgré son air fragile. Son sourire est doux, tout comme son attitude. Elle pardonne facilement et ne garde jamais bien longtemps sa rancœur, préférant parler du problème avec la personne concernée pour le résoudre le plus rapidement, et sans casse. Très diplomate, elle semble être la seule à pouvoir calmer son père quand il pique des crises.

    Lisa Turner [Décédée] :
    Une jeune femme à la double nationalité, anglaise et allemande. Elle était très déterminée, indépendante, et en même temps douce. Son mari qui est si strict est adouci à ses côtés, mais un destin tragique l’attendait. Cependant, elle a marqué bon nombre d’esprits, et on se rappelle d’elle comme une femme courageuse.

    Amy Turner [Décédée] :
    L’aînée de la famille, morte durant le même incident que la mère. Elle était casse-cou et touchait à tout, mais sa grande passion était la photographie. Avant de mourir, elle venait de finir ses études de photographie et allait devenir reporter sans frontières, mais le destin en décida autrement.


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Sir Joseph Turner Vide
MessageSujet: Re: Sir Joseph Turner   Sir Joseph Turner Icon_minitimeJeu 25 Fév - 5:13

J'aime beaucoup la manière dont l'histoire est écrite. :')

Fiche validée, bon jeu. ~
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Sir Joseph Turner

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