Reservoir Dogs
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 Dante Kilstrong l Stray Dog l Finish

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Dante KilstrongDante Kilstrong
Barman in The Gem
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MessageSujet: Dante Kilstrong l Stray Dog l Finish   Dante Kilstrong l Stray Dog l Finish Icon_minitimeVen 6 Nov - 13:23



    Etat Civil :

    • Nom : Kilstrong.
    • Prénom(s) : Dante Abraham Lucius.
    • Surnom : Danny ou Dan, pour la plupart des gens.
    • Âge : 18 ans. Ce n'est encore qu'un jeunot, mais il en est fier.
    • Date de naissance : 16 avril 1993.
    • Sexe : Masculin.
    • Sexualité : Vous parlez d'amour ou de sexe? Lui, pas.
    • Nationalité : Anglaise.
    • Lieu de Naissance : En banlieue de Londres .
    • Lieu de Résidence : Il vit dans un petit appartement, au dix-huitième étage.
    • Statut : Barman au The Gem.
    • Classe Sociale : A la base, Dante est un membre de la haute société Anglaise. Mais il s'est auto-rétrogradé au rang de citoyen basique.
    Personnalité :

    • Description psychologique : Pour commencer simplement mais bien, commençons par les rares qualités de Dante. La question n'est pas de savoir si ce gosse est un bon à rien et n'a aucun point positif, mais plutôt de savoir si, vraiment, il en a aussi peu qu'il veuille bien le montrer. N'est-il vraiment pas un tantinet gentil et agréable? Ceci, ce sera à vous d'en juger après avoir lu tout ceci.

    Déjà, Dante est, contrairement aux gens de son âge quelqu'un de très réfléchis. Un problème a toujours une solution et rien n'est impossible. Il a beau ne pas souvent rentrer en conflit directe - combat, j'entends - il lui est malheureusement déjà arrivé de devoir se battre contre des personnes bien plus musclées que lui. Qu'importe, il n'a jamais finis à l'hopital - Une fois, mais vous comprenez bien où je veux en venir. Ce n'est pas qu'il est bon bagareur, mais plutôt qu'il est fin stratège. N'ayant pas particulièrement d'ambition et encore moins de passions, il passe son temps libre à réfléchir sur les casse-têtes de l'univers et ce depuis sa plus tendre enfance : Il a apprit seul, évolué seul, grandit seul. A présent donc, il est doté d'une logique à toute épreuve et d'une vitesse de réflexion inattendue. Malheureusement, cette intelligence irraisonnée nuit à sa spontanéité : Pas très romantique, pas très bavard, aucunement dragueur, assez peu ouvert d'esprit...La réflexion avant les sentiments. D'ailleurs, sentiments...A le voir agir comme il agit, il devient difficile de penser que ce gamin éprouve de quelconques sentiments. Mis à part un peu de haine et de rancoeur...Mais là n'est pas la question.

    Cependant, maintenant que l'on parle de sentiments...Dante est d'une pudeur affolante à ce sujet. Pas physiquement donc. Se déshabiller dans les vestiaire, pas de soucis, même devant les filles. Mais parler de lui...Ça, c'est impossible. Raconter son passé, dire d'où il vient, qui il est...En surface, ce n'est pas si problématique. Une présentation rapide, courte et précise ne pose aucun problème à ce gars plein de franc parler. Mais rentrer en profondeur, raconter un souvenir quelconque...Non, il n'aime pas ça. Un énorme défaut qui, malgré tout, pourrait devenir une qualité : Cela fait de lui une personne à l'écoute - Oui, enfin...Nous reviendrons là-dessus - digne de confiance puisqu'il est muet comme une tombe. Mais finalement, il n'est pas quelqu'un de proche, donc pas quelqu'un à qui l'on a envie de se confier. Et puis...Contrairement à ce qu'on pourrait se dire, même s'il ne parle pas beaucoup, ce n'est pas non plus une raison pour lui d'écouter. Ou alors d'une oreille distraire. Ou en faisant semblant d'être innatentif...Nous avions dit qualités? Ah. Dommage qu'il n'en affiche pas beaucoup...

    Aux yeux des autres, ce garçon aux cheveux blancs est plutôt un chieur né, mais passons. En réalité, il est plutôt calme - l'un empêche pas l'autre, me direz-vous. Étudiant correct, malgré le fait qu'il ait redoublé une année, personnage perspicace...Pour les gens les plus proches de lui, ceux capables de tenir avec lui une conversation, Dante serait juste quelqu'un de compétant. Son attitude, sa façon d'être et de se comporter face à ses clients ne reflétent absolument pas son sal caractère - son vocabulaire encore moins, puisqu'en société, il tente de se tenir. Il a cependant toujours eu du mal à rester innactif, encore plus à recevoir des ordres et à obéir au doigt et à l'oeil. C'est pourquoi, après avoir reçu son diplôme, ce jeune garçon à mit les voiles. Adieu autorité parentale, capitalisme abusif et futur merdique.

    Dans d'autres domaines, ce petit rageur anarchique peut être quelqu'un d'organisé, ordonné, méticuleux, appliqué, propre..Des aptitudes nécessaires pour son boulot de barman. D'ailleurs, ceci est aussi une de ses principales qualités : Dante est un travailleur acharné. Ce n'est pas le mollasson qui traine dans son lit toute la journée. D'ailleurs, son lit, il est plutôt déserté. Il y est, mais jamais en compagnie de qui que ce soit. Célibataire endurcis? Oui. Mais peut-être vierge... Et ça...Les rumeurs vont bon train sur son sujet. Enfin, il préfére de loin se dire misanthrope qu'associable, et associable plutôt que vierge. Chacun son point de vue.

    Et en parlant d'avis qui divergent, pour les gens à qui Dante ne voue que haine et rancune, son caractère peut paraître bien différent de celui décrit plus haut. Certes, il reste bourré de défauts plus que de qualités, en toute logique, mais, s'en devient presque des péchers capitaux. Soulignons tout de même ceci : Dante n'a pas sa langue dans sa poche, et rares sont les personnes qui apprécient ce trait de sa personnalité. Il devient très impoli quand il se retrouve face à des gens qu'il n'appréice pas, ou quand il est dans une situation qui l'ennuie. De ce fait, pour toutes ces personnes qu'il insuporte réellement, cette Blanche-Neige pointilleuse - surnom qu'il déteste au plus haut point, rappelons le - devient une véritable calculatrice avide de souffrance. Il passe du chaud au froid. Il se moquera de vous, sans aucun regret. Toujours prêt à vous en faire voir de toutes les couleurs - sans coup bat, pourtant -, il en devient agaçant. "Je te hais pour la vie", sa devise. Et sa rancune est une chose bien mesquine, comme les piques qu'il lance en plein coeur. Heureusement, rares sont les personnes qui ont le malheur d'assister à cet aspect de Dante. Il a beau ne jamais être agréable, il est rarement méchant. Cependant, parmi ces ennemis, certains ne lui ont absolument rien fait. Encore l'une de ses tarres, sans doute.

    Mais...Un si mauvais caractère doit sans doute cacher quelque chose. Quelque chose de dur à porter, de dur à vivre. Et si, en réalité, Dante était quelqu'un de bien? Si, en fait, il tente simplement de cacher cet aspet naïf, adorable et innocent de sa personnalité? Comment cela se passerait-il, si quelqu'un découvrait ce qui se terre sous la carapace de solitude et de froideur de Dante? Même si cela n'arrivera sans doute jamais, la personne qui risque de découvrir Dante en sera bluffée. Parce que Dante, celui qui n'est plus vraiment, le vrai, n'est en fait qu'un garçon un peu coincé, un peu triste. Totalement refoulé.

    Parce que oui. Il y a donc vraiment cet autre aspect de Dante. Cet aspect refoulé que personne ne connait vraiment. Sous cette couche de défauts se cachent les réelles qualités qu'il enfuit au plus profond de lui. Comme s'il avait tout fait pour devenir un cancre très peu aimable, plutôt que d'être l'enfant chéri, le fils prodige. Ce quelque chose, profondément encré en lui depuis toujours et qui ne ressort qu'en de rares occasions. Seul sous son arbre, dans sa solitude la plus profonde, il se laisse aller. Un sourire, un regard véritablement doux, chaud. Cette personne qu'il n'est pas face aux autres. Prévoyant, honnête, fidèle. Un amoureux mort. Timide et réservé, douloureusement adolescent. Il a mal. Ce gamin qui aime tant sourire, qui aime tant faire rire et voir les gens être bien. Ce type correcte, qui aide au moinde besoin, même s'il doit râler en le faisant. Ce gars qui ne refuse rien à personne, ce voyageur idiot - vous ne connaissez pas cette comptine? -, ce brave gamin plein de tendresse et de secrets. Est-ce quelqu'un pourra un jour lui donner envie de se dévoiler? Bonne chance.

    Il y a des gens dont on ne sait cerner le caractère. Trop compliqué, changeant ou pire, un comportement hypocrite à souhait, qui dit oui puis non, d'une fausseté dégoûtante. Puis il y a d'autres personnes. Ceux qui ont un caractère d'une simplicité presque niaise ou ennuyante. En résumé, Dante lui, fait partie des deux catégories. Ca n'a rien à voir avec les gens "du milieu". C'est quelqu'un de simple dans son sourire. Quelqu'un de très complexe lorsqu'il serre la mâchoire.

    Un garçon de 18 ans au sourire agréable, au regard doux. Un caractère malgré tout un peu cynique, mais pas méchant, juste naturel. Des mots justements dis, sans abus, mais peut-être pas toujours agréable à entendre. Une pique bien placée, suivies d'un rire ennivrant, envoutant. Pour ses amis, Dante représente le frère idéal. Toujours là pour aider, d'un calme et d'une sagesse à toute épreuve. Une main charitable toujours tendue vers les autres. Il a cette façon d'être toujours polie - surtout lorsqu'il travaille - mais distante -, cette joie de vivre dont il exulte à longueur de temps, lorsqu'il a les mains dans les poches, qu'il marche lentement le long d'un sentier. Quand il est vraiment seul.

    Complexe par contre, c'est son attitude face à ses ennemis. Cet air hautaint, ce regard narquois. Un cynisme mal placé cette fois-ci, réellement blessant, marquant, touchant. Une véritable bataille navale à chaque réplique où seul compte le résultat : Touché, coulé. Il devient froid, violent, prêt à tout pour blesser l'autre. Et son regard, ses sourires. Rien de bien sympathique. Non, tout le contraire. Carnassier, presque cannibal. Il n'y a qu'une seule chose qui le trahisse réellement, mais encore faut-il ouvrir les yeux pour le voir. Lui-même. Son véritable caractère qui ressort. Dante, c'est quelqu'un de bien. Pas méchant de nature, mais s'il vous aime pas, c'est pas de chance. On dit que l'attaque est la meilleure des deffenses. C'est une maxime d'application chez lui. Et sous les jurons qu'il lance à tout va, il n'y a rien d'autre que de l'ennui refoulé.


    Physique :

    • Description physique : Si vous vous attendiez à tomber sur un gars splendide, au corps d'Apollon et au visage radieux, c'est raté. Dante, c'est loin d'être ça. Certes, il n'est pas laid - Et encore, ça dépend des goûts - mais il est aussi loin d'être le garçon le plus beau que la terre ait portée. Déjà, ce qui est certain, c'est que vous n'aurait jamais croisé quelqu'un de semblable. Ensuite, une fois que vous aurez rencontré Dante, il vous sera impossible d'oublier son visage. Non pas qu'il vous hantera jour et nuit, mais presque. Il sera gravé en vous.

    Comme il le dit si bien, "Je ne suis pas le genre de garçon que l'on croise tous les jours dans la rue". En fait, ce serait même tout le contraire. On n'en voit pas souvent, des garçons qui ont naturellement les cheveux blancs. Ou encore des enfants aux yeux si bleus qu'ils en font peur et donnent froid dans le dos. Des iris d'un bleu stupéfiant, cerclé d'un noir profond. Son regard pourrait être beau. D'ailleurs quand on repense à une époque lointaine, quand ce gosse n'était encore qu'un bambin, il était vraiment beau, son regard. D'un bleu pétillant et plein de joie. Le moins qu'on puisse dire, c'est qu'aujourd'hui, ce n'est plus le cas.

    Et puis, pour couronner le tout, il y a aussi son sourire carnassier, qui lui fait perdre tout air charmant. Un grand sourire à tendance narquoise et froide. Tout ça plaqué sur un visage creusé, à la mâchoire carrée et au menton pointu. Avec un front plat recouvert de mèches blanches et pointues, elles aussi. On dit de lui qu'il fait peur. Certes. Mais c'est peut-être son intention, tout simplement. Certains disent malgré tout qu'il est beau. Cependant, quoiqu'on en dise, lui ne supporte pas les compliments et se fiche pas mal de votre avis. Il rougira simplement en poussant un grognement. Il s'en fout, et il vous le fera bien comprendre. Enfin...Revenons-en à nos moutons.

    Donc! Dans le prolongement de son visage, il y a son cou. Pour beaucoup de gens, le cou est une partie sensible du corps, où l'on aime sentir les caresses d'un être aimé. Pour lui, comme beaucoup l'auront déjà comprit, c'est tout le contraire. Son cou, c'est son cou. Il est constamment masqué par un bandage grisâtre. Ce qu'il y a en dessous? Un tatouage. Rien de particulier, en réalité. Mais il a vraiment horreur qu'on lui pose des questions là-dessus, ou qu'on ose le toucher.

    De là, direction ses épaules. Contrairement aux personnes pour lesquelles il travaille, Dante n'a pas vraiment la carrure d'un homme puissant. A le voir, on dirait plutôt celle d'un adolescent, avec des épaules frêles, les clavicules un peu trop marquées. Dans le dos, rien d'intéressant non plus, si ce n'est que ses cheveux s'arrêtent au bas de sa nuque, dans une coupe un peu anarchique. Plus bas, la colonne vertébrale ressort encore fortement. Pour tout ceux qui seraient inquiets pour sa santé, ne vous en faites pas. Il est mince, certes, mais il mange pour quatre. De ce fait, même si sa colonne vertébrale se ressent au toucher, ce n'est en aucun cas du à une quelconque anorexie.

    A cette étape de sa description physique, il serait temps de signaler un fait important que personne n'aura manqué de remarquer : Sa pâleur. S'il y a bien une particularité physique chez Dante, c'est bel et bien celle-ci: La couleur de sa peau, sa finesse et sa douceur. Depuis ses cinq ans, il n'a cessé de pâlir, passant du rose des poupons au blanc des cadavres. Ses cheveux blonds n'ont évidemment pas manqué de se transformer eux aussi, passant du blé doré au blanc neige - D'où son surnom : Blanche neige. Certain diront que ça n'a rien d'étrange. Mais pour ceux qui savent que ceci n'est ni du au vitiligo et encore moins à un syndrome d'albinos, ça se complique un peu. Enfin, passons...Mais précisons quand même que Dante est imberbe, avant de passer au reste de son anatomie.

    Revenons en donc à son corps maigrelet. En plus de sa finesse, Dante est aussi quelqu'un d'assez longiligne, très fin et qui paraît donc plutôt grand, malgré son mètre septante-deux. Pour ses cinquante-neuf kilo - Il a tendance à se rajouter cinq kilos quand on lui pose la question fatidique - Dante est plutôt bien constitué : Deux pectoraux sculptés, de beaux abdominaux, des biceps épais...Il a beau paraître frêle, l'air ne fait pas la chanson. Recevoir un coup de sa part n'est pas forcément agréable. Il n'est pas du genre à s'en vanter, mais malgré tout, ce petit gars s'apprécie, physiquement parlant. Il n'a rien à envier à personne, voilà tout. Et puis, encore une fois "Je m'en fous", dira-t-il.

    Dirigeons-nous enfin vers la partie la plus intéressante de sa physionomie...En-dessous de la ceinture, Dante a la preuve qu'il est un mâle, un vrai, un pur, un dur. Enfin, même si personne n'a jamais vérifié - jamais -, il n'y a pas lieu d'en douter. Il a aussi deux belles fesses légèrement rebondies qui ont déjà attirés pas mal de regards, ainsi que des jambes musclées, preuves de son activité. Non pas que Dante soit du genre sportif, mais il est plus souvent debout en train de marcher qu'assit en train de glander. Pour le reste, ses mollets sont durs comme du béton, ses pieds sont fins et normaux. Il chausse du 44, mais ça, on s'en fout.

    En conclusion, il peut être beau. Il peut être terrifiant. Et finalement, tout cela l'importe peu, tout comme à la plupart des gens qui peuplent New-York 2.

    Entamons maintenant le chapitre qui traite du style vestimentaire de Dante Kilstrong. Chapitre court et concis, puisque Dante n'est pas vraiment du genre à avoir un dressing long de vingt mètres et large de cinq. Au contraire, il se contente d'une unique garde-robe et de deux paires de chaussures qui, malgré leur âge, tiennent encore la route. Pour ce qui est donc de sa façon de s'habiller, cela dépend fortement de son activité. En outre, Dante porte deux styles de vêtements.

    Lors de ses journées de repos, lorsqu'il fait chaud ou juste quand il est de bonne humeur, le gosse s'habille "à la tranquille". Des vêtements larges et communs, pour passer inaperçu. Généralement donc, il porte un sweater blanc et moulant, par-dessus lequel il enfile différents t-shirts assez larges et aux couleurs variées. Ses pantalons sont soit des trois quarts tout aussi larges, soit des jeans délavés ou déchirés. Un style un peu skater, puisque le skateboard et les patins à roulettes sont ses seuls moyens de locomotion.

    Lorsque Dante travaille ou n'est pas d'humeur joviale, son style change du tout au tout. Déjà, il bannit les couleurs et ne s'habille qu'en noir et blanc. De la chemise noire à la veste longue et blanche, en passant par le pantalon en cuir noir et la ceinture à clous, il n'oublie jamais d'avoir la classe. De temps à autres, la chemise est remplacée par un t-shirt à logo - noir ou blanc, selon le jour. Voilà donc en quoi correspond la garde-robe de ce jeune adulte.

    Cependant, il faut encore décrire ses deux paires de chaussures, et l'élément de sa tenue auquel il porte le plus d'attention : La veste. Pour les chaussures, rien de plus simple. L'une des deux paires est exactement celle que portent tous les skaters. De grosses "shoes" couleur café au lait - beige, aux lacets gris - qui ne sont d'ailleurs jamais fait mais toujours rentré dans la chaussure, pour plus de confort. L'autre paire quant à elle est déjà moins...Basique. Ce sont de grosses chaussures de sécurité, noires, et qui portent au niveau des orteils deux sortes de cornes en argent. Elles ne comportent pas de lacets et s'enfilent comme des bottes, montantes jusqu'à la cheville.

    Enfin, pour ce qui est des vestes, Dante en a plusieurs. Il y a la plus banale, blanche et longue, avec le col cachant le cou. La noire à fourrure, coupée à la taille. Une autre noire, plus longue, dans le même modèle que la blanche. Ensuite, toujours une noire, en cuir, cintrée. La veste de costume aussi, à col mao. Et tout un autre tas de vestes, variant toujours dans ces deux teintes.

    Pour terminer, il ne reste plus qu'à parler des ornements et autres bijoux. Le premier, déjà cité, est le bandage que porte Dante au niveau du cou. Ensuite, viennent les ceintures à clou ou aux motifs écossais. C'est à peu près tout ce que Dante porte. Mais il y a aussi tout ce qu'il ne retire jamais, comme ses piercings. Il en a trois à l'oreille droite, dont un au cartilage, et quatre autre à gauche, dont deux au cartilage. Le tout dernier piercing - mais ça, c'est secret - se trouve sur son téton gauche. Avis à ceux qui veulent aller vérifier : Personne ne l'a jamais vu. Enjoy.


Dernière édition par Dante Kilstrong le Dim 8 Nov - 22:51, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Dante Kilstrong l Stray Dog l Finish   Dante Kilstrong l Stray Dog l Finish Icon_minitimeVen 6 Nov - 18:32

    Passé :

    • Histoire : Raconter l'histoire de Dante, c'est raconter celle d'une famille. C'est parler de tout un passé rance et pourrit, d'une histoire dont, à la base, personne ne parle.

    Vouloir raconter uniquement celle de Dante, c'est le forcer à ignorer d'où il vient, qui il est, pourquoi il en est là où il est aujourd'hui. Finalement, c'est lui rendre la vie plus sucrée et douce, comme du miel.

    Et ce ne serait pas drôle, n'est-ce pas? Si Dante était aussi heureux qu'il le souhaite depuis si longtemps...Ce serait d'un ennuie mortel, il n'aurait plus raison d'être, le Dante. Il serait une âme comme une autre qui vit sa vie comme elle l'entend, à New-York 2. Mais il n'est rien de tout cela. N'est-ce pas? N'est-ce pas?

    Alors commençons par le début. Par le fait que sa famille qu'il hait plus que tout n'est en fait qu'une famille de riches, une famille au pouvoir. Et à la base d'ailleurs, ce sont deux familles. Deux familles de riches, deux familles au pouvoir, mais deux familles aux valeurs morales tout à fait opposées, contrairement à leur avenir.

    A être trop bonne, la famille Kilstrong, celle du père de Dante, perd de ses capitaux. Les bénéfices sont en chute libre, mais les ouvriers sont heureux. Leurs salariés sont des gens au sourires magnifiques, étincelants, et sont des personnes heureuses de travailler. Et puis, face à cette société où le bonheur est présent dans chaque coin, il y a la société Johnson, celle de la mère de Dante, manipulatrice, pourrie et corrompue jusqu'à la moelle. Une famille dominatrice qui, à force de jouer des coups-bas s'enrichit, s'enrichit, moisit mais s'enrichit.

    Et puis, vient un beau jour où, à chuter follement, la famille Kilstrong perd de son pouvoir. Elle en perd tant et si vite qu'il leur devient impossible de survivre à une faillite. Dans ce monde de requin qu'est la finance, c'est manger ou être mangé. La loi du plus fort, du plus malhonnête. Et cela, la famille Johnson l'a comprit, ainsi que les Kilstrong, à leur dépend. Mais ce jour est arrivé. Celui où, pour survivre, les Kilstrong doivent vendre. Ils doivent tout vendre, pour ne pas mettre la clef sous la porte. On appelle cela la fusion de deux entreprises. La mort d'une âme, au profit d'une autre.

    Mais en réalité, tout n'est pas si beau, si facile pour les Johnson. Corrompus comme ils le sont, ils font face à une guerre peu commune. Une alliance, une mégapole de sociétés diverses et variées s'allient, montent au combat contre l'univers des Johnsons. Alors que faire? Fusionner? Mais avec qui? L'ancienne entreprise la plus grande d'Angleterre? Celle qui, d'ici peu, devra sans doute déposer le bilan? Qu'elle horrible idée. Mais quel coup de génie. Pourquoi pas. Tentons le tout pour le tout, se disent les Johnsons, crapuleux comme jamais. Et ils s'en vont joyeusement, le Roi, la Reine et le petit Prince, serrer la pince des Kilstrong.

    Ainsi commence la chute. Commence la remontée. Commence l'horreur de Dante Kilstrong. L'Angleterre compte à présent la plus grande société qui n'ait jamais vu le jour : La Société Jo' & Kill. Et les deux familles les plus grandes d'Angleterre s'unirent à tout jamais. Sur les faire part de mariage, on y voit le nom de la société, pas ceux des deux mariés. Mais on peut déjà y lire le nom de l'heureux évènement. Mariage, enfant, tout le toin-toin. La jet-set anglaise tout entière assistant au mariage, lustres en cristaux, flute de champagne remplie à rabord, pyramides de verre et de nourritures colorées et délicieusement british. Le caviar de l'Angleterre, pourrit jusqu'à la moelle.

    Les Kilstrongs font mine basse. Mais leur fils, Ethan Kilstrong, semble être heureux. Oh certes, son épouse, Sara Johnson, n'est pas la femme la plus loquasse que la terre ait portée. Elle est encore moins douce, encore moins gentille que toutes les femmes qu'il connait. Mais mon dieu, est-ce seulement possible d'aimer comme il aime? Naïf, comme ce voyageur idiot dont son père lui narrait l'histoire. Heureux comme le voyageur idiot, dont le père de son père narrait l'histoire à son père. Oh, certes sa femme n'est pas la plus sociable et la plus souriante, ni la plus irrésistible et la plus aimante. Mais il l'aime. Et cela est malheureusement suffisant pour que les Kilstrong disent adieu à leur monde de joie, pour rentrer dans la morosité morbide de celui des Johnson.

    Et c'est ainsi que tout cela se passe. Finalement, les Johnsons s'en tirent bien. Ils restent ces monstres avides d'argent, mais moins qu'avant. C'est comme s'ils se mettaient un peu au repos. Ils ne comptent pas rester sage longtemps, cela va de soi. Le temps que l'on oublie que les Kilstrong sont là, et ils reviendront en force, pour manger toutes les autres petites entreprises. Les Kilstrong eux, on les oubliera. Ils sont là, mais ils font office de décors. Un décors souriant, parce que leur entreprise n'est pas morte. Et avec leurs idées d'amour et de bonheur, ils font rire l'assemblée. Voilà à quoi ils servent. Leur âme va se noircir. Il faut juste le temps qu'ils pourrissent comme il le faut. Que l'enfant grandisse dans le ventre de Sara, petit à petit, lentement. Au bout de neuf mois, il devra être bon. Un bon futur Johnson.

    Mais il y a comme un hic, un petit soucis. Non seulement le gosse se pointe trop top, mais quelqu'un l'aime trop. Son père, ce fichu Kilstrong. Qui dit à son fils qu'il l'aime, qu'il est son petit prince. Et il y a cette autre chose qui cloche. Quelqu'un qui ne l'aime pas assez. Sara, la mère du petit. Elle le rejette, sans cesse, ne l'aime pas. Tout comme elle n'aime pas Ethan, comme elle n'aime personne, si ce n'est son matelas de billets verts. Elle n'aime rien. Vraiment, même pas les gazouillements de ce petit garçons aux yeux bleus. D'un bleu si magnifique que les oiseaux rêveraient d'y voler, comme dans le ciel, et les poissons d'y nager, comme dans l'océan. Et l'histoire comme là. La vraie. Celle de Dante. D'un petit enfant qui grandit trop lentement, prématuré pour bien des raisons, et qui n'aime pas l'odeur des billets qu'on lui colle au visage, lui qui rêve de sucreries, de douceurs et d'amour. Petit enfant qui dort, sous ces lustres en cristaux, ces rideaux brodés, dans ces draps soyeux. Voici l'histoire qu'il ne vous racontera jamais.

    * ~ *


    Du plus loin que je puisse me rappeler, mon premier souvenir date de ma première année d'existence. Je ne sais pas si c'est un véritable souvenir, ou si je l'ai recréé plus tard, à force d'avoir entendu cette anecdote.

    Il parait que mon premier mot fut "Maman", comme pour beaucoup de gamins, mais contre toutes attentes dans mon cas. Il parait que quand j'ai dis ce premier mot, j'étais joyeux, fier comme un coq d'avoir fait sourire la femme si belle qui me tenait dans ses bras. Sauf qu'en réalité, ma mère, c'est sans doute la personne que je supportais le moins, déjà à l'époque et qui réciproquement, me détestait plus que tout. Je n'avais qu'un an et demi, mais pour le peu de fois où je l'avais croisée, ses regards froids et hautains m'avaient poussé dans mes retranchements. Je ne l'aimais pas, elle ne m'aimait pas, tout allait bien. Cependant, pour que je dise "Maman", c'est qu'il devait y avoir dans ma vie une femme qui méritait de porter ce doux nom. Et certes, cette femme existait. Elle était d'une extrême beauté. Les joues légèrement rosées, les yeux d'un vert éclatant. Des boucles brunes qui coulaient le long de son dos et sur son front, encadrant son visage. Kate. Ma nounou. La femme que j'ai appelé Maman plus d'une fois. La mère qui selon moi, aurait du être la mienne.

    Mais ce n'était pas le cas. Elle n'était qu'une servante de la famille. Elle n'était que cette mère de substitution, une grande sœur qui m'éduqua, m'allaita, m'apprit à marcher, m'apprit à être, à sourire, et à avoir ce ton rosé sur les joues, tout comme elle, quand elle riait ou était en colère. Et ce souvenir, même si j'en garde une vague image, je ne suis pas sûr qu'il soit bien gravé en moi, comme un véritable souvenir que j'aurais vécu. Non. Il serait plutôt comme un film que l'on m'aurait raconté, que j'ai imaginé. J'appelle cela mon premier souvenir depuis que je sais ce que signifie ce mot. C'est une façon comme une autre, je crois, de me pousser à croire que ma vie n'a pas si mal débutée. C'est comme ce mentir à soi même. On sait que l'on ment, mais c'est bon d'y croire. Mais l'heure n'est pas venue de philosopher.

    Mon deuxième souvenir par contre, lui, est bel et bien réel. Mon vrai premier souvenir, aussi infecte soit-il. Personne n'a jamais du me le raconter celui-là, ni même me le décrire ou me pousser à m'en rappeler. Je ne m'en souviens que trop bien. Trop bien oui, après toutes ces tentatives infructueuses pour l'oublier. Celui-ci, je l'ai vu. Ce n'était pas nécessaire que l'on m'en parle, et tout comme moi, les gens que je connais ont préféré l'oublier. Pour certain, il était question d'effacer la douleur. Pour d'autre, mettre ce souvenir de côté était une façon de se détacher d'un passé trop encombrant, voir trop gênant. Pour ma famille paternelle, ce souvenir est un long cauchemar. C'est une preuve qu'ils n'ont plus rien, qu'ils ne sont plus guère le l'ombre d'un passé qui les a rongé. Pour ma famille maternelle, ce souvenir est...D'un banal à faire peur. Il ne leur évoque rien, si ce n'est un léger haussement d'épaule. C'est la preuve qu'ils...Pour eux, ce n'est vraiment rien. Qu'une épingle dans une boîte de couture.

    J'avais trois ans. Je savais marcher, parler, courir, rire, danser, faire tout un tas de choses. Je n'était encore qu'un petit poussin, gamin aux joues bombées et aux cheveux blonds comme les blés. J'étais un bébé qui baignait dans la joie d'être aimé par sa mère et son père. Par cette fille aux cheveux bruns, et cet homme aux yeux bleus. Ces deux personnes qui passaient leurs journées à mes côtés, à me raconter des histoires, me dire qu'ils m'aimaient, me lire d'autre histoire, jouer avec moi. Des parents normaux, comme j'ai aimé à le croire. Longtemps, j'y ai cru. Puis plus du tout, quand j'ai cessé de me mentir. C'était d'ailleurs ce jour-là. Père me tenait la main, Kate m'ébouriffait les cheveux. Je courrais dans l'herbe fraîche. Ou peut-être pas, peut-être que mon esprit me ment un peu, mais à peine. J'étais peut-être à l'intérieur, dans le salon. Ou dans la salle de jeu, je ne sais plus. Mais il me tenait la main, et elle jouait avec mes cheveux, disant je ne sais plus quoi. Elle parlait, il riait, moi aussi.

    Et puis, je croyais que la vie était toute rose. J'étais un gosse, je le répète. Pour moi, cette époque était magique. Je n'attendais que de grandir, de devenir comme mon père. Intelligent, drôle à souhait, malin, rieur, aimant et aimable. Il me racontait d'ailleurs toujours cette histoire, celle du voyageur idiot. Et il me lisait ce livre, avec des histoires comme celles-ci, qui me faisaient rire et qui le rendait nostalgique. Il me tenait la main. Et je sais qu'il lisait ce livre, de l'autre main, tandis que Kate tournait les pages quand il relevait la tête vers elle. J'aimais ce trio que nous étions, cette chaine humaine, incassable. Pas comme cette porte. Celle qui, face à moi, venait de se briser en mille morceau. Nous étions incassable. Pas la porte. Et prit un par un, nous n'étions plus que des humains, des cendres, des poussières sur lesquelles il suffit de souffler pour les faire disparaitre.

    Voilà l'expression. Il suffit de souffler sur un instant de vie pour que, de chaleureux, il passe à glacial. D'agréable, il passe à désagréable, horrible, immonde. Ils étaient trois. Cagoulés, vêtus de noir, agissant dans un parfait clichés. Armés jusqu'aux dents, riant, mais pas comme nous. Papa ne lâchait pas ma main. Kate s'était mise devant moi. Je savais que les hommes n'étaient pas là pour jouer. Ils étaient venus jusqu'à nous. Et quand ils ont poussé Kate par terre, je me suis mis à crier. J'ai poussé l'alerte. Je ne riais plus, je pleurais. De grosses larmes de crocodiles, de rage, la morve au nez, incapable de dire qu'il ne fallait pas faire ça. J'avais les joues rouges, comme Kate quand elle était en colère contre moi. Mais elles étaient rouge de sang. Du mien, brûlant sous ma peau. Et de lui de mon père, plus tiède, sous mes yeux, sur mes paupières, dans mes yeux.

    Sur l'instant, j'étais redevenu ce garçon, fier comme un coq. Que mon cri les ait fait fuir. J'avalais mes larmes, un sourire aux lèvres. Mon père me serrait la main. Kate, elle, s'était assise en boule contre moi, sans me regarder. Et je posais mon autre main dans ses cheveux. Avant de voir. De voir le rouge sur mes mains. De lui demander si elle était blessée. Ce qui par bonheur n'était pas le cas. Avait-elle mal? Elle pleurait. Elle hurlait. Mais ils étaient déjà partis, Kate. Et je riais comme cet abrutis de gosse trop heureux que j'étais, de ne pas encore avoir compris, quand son regard ravagé se relevait vers moi. Incompréhension, délire totale, je ne savais pas, je ne sais toujours pas. Si bien que j'avais tourné la tête vers mon père, en lui disant que Kate...N'avait pas l'air bien.

    * ~ *


    - « Mesdames et messieurs, nous vous annonçons que le vol prend fin. Nous entamons l'atterrissage. Veillez regagner vos sièges et boucler vos ceintures. »

    J'ouvre soudain les yeux, les baissant vers le livre que je tiens en main. Oh. Ce n'était...Qu'un rêve. Un souvenir. De ce jour. De la mort de mon père. Doucement, je referme le livre. Évidemment, je me suis endormis avant d'arriver à mon compte préféré. Je suppose que mes voisins de rangée ont bien du rire, qu'un type de mon âge lise un truc pour gosse. Un bouquin si vieux, rongé par les âge, aux couleurs fadasses. Sauf le rouge. Bien vif, le rouge. Je me souviens avoir repassé toutes les zones rouges du livre avec un crayon gras. Même sur le visage des personnages, du rouge. Et du bout du doigt, je caresse la couverture craquelée, et le rouge, cette trace qui n'a rien à avoir avec du crayon. Rouge sang. L'avion entame la descente.

    Il y a trois jours, j'ai eu dix-huit ans. Hier, j'ai décidé de prendre ma vie en main. Je quitte Londres, l'Angleterre, ce pays de merde. A moi l'Amérique. J'ai envie d'aller dans cette ville, New-York 2. De me reconstruire comme ils l'ont reconstruite, ces Américains stupides. J'ai envie d'oublier, et cette fois je m'en donne les moyens. A ma façon, cela va de soi. Alors je range le livre dans mon sac à dos, resté entre mes jambes. Entre mon blouson et une écharpe. Il parait qu'elle ne me servira à rien, ici, qu'il y fait beaucoup moins froid qu'au Pays. Bah. Tant pis. On atterrit. Je ferme le sac. Ferme les yeux. Père me tenait toujours la main. Il souriait, sa tête tournée vers moi, les yeux ouverts. Une balle logée en plein cœur. Il souriait. Le visage tourné vers moi. Il souriait. Je crois qu'il voulait me dire d'être heureux. Il voulait que je le sois, je le sais. Je vais m'y atteler, père. Je vais tenter d'être heureux, maintenant. Comme le voyageur idiot dont tu m'as tant conté l'histoire. Dont j'ai tant relu l'histoire depuis.


    • Famille : Père : Ethan Kilstrong - Mort en 1996 - Fils d'une grande famille Anglaise, très peu porté sur la politique et la finance, bien qu'il fut chef de l'entreprise familiale pendant plus de six ans.

    Mère : Sara Johnson - Toujours en vie - Fille d'une grande famille Anglaise, très autoritaire et inhumaine. Elle fut mariée d'office à Ethan Kilstrong lors de la fusion de leurs deux entreprises.

    Beau-père : Logan Marshall - Toujours en vie - Magna des affaires, très peu porté sur la famille et l'amour. N'a pour intérêt que l'argent, l'argent, et l'argent.

    Cousin : Samuel Johnson - Toujours en vie - Fils de Juliet et Axel Johnson. Cousin de Dante. Héritier de l'entreprise Johnson, futur grand magna des affaires.

    Dante n'a plus aucun lien avec sa famille, si ce n'est qu'il garde à l'œil l'avancée de son cousin. Son père restera éternellement son modèle.


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MessageSujet: Re: Dante Kilstrong l Stray Dog l Finish   Dante Kilstrong l Stray Dog l Finish Icon_minitimeDim 8 Nov - 22:52

    Juste pour dire que j'ai bel et bien terminé ma fiche.
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MessageSujet: Re: Dante Kilstrong l Stray Dog l Finish   Dante Kilstrong l Stray Dog l Finish Icon_minitimeDim 8 Nov - 23:24

Woah. J'ai beaucoup aimée, vraiment beaucoup. =)
Les descriptions sont belles et j'adore ton style d'écriture.
Et l'histoire, ah, je l'ai dévorée. ^.^

Rien à dire auf peut-être, quelques petites fautes d'innattention. Rien de grave, rien de choquant. smiling

Fiche Validée, j'espère que tu t'amuseras bien sur RD. =)
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MessageSujet: Re: Dante Kilstrong l Stray Dog l Finish   Dante Kilstrong l Stray Dog l Finish Icon_minitimeDim 8 Nov - 23:29

Ah, les fautes. J'avais oublié de préciser ça T.T

Je suis pas très fortiche en orthographe, comme vous avez sans doute pu le remarquer, alors si je fais trop de fautes, n'hésitez pas à me les faire remarquer. Il est temps d'évoluer...T.T

Aussi, je pense qu'il est important que je signale une nouvelle fois que Dante n'est pas très poli, et que s'il vient à dire beaucoup beaucoup d'insultes, c'est normal. "Merde", c'est comme une ponctuation pour lui...

Enfin, voilà voilà! Merci de m'avoir validée et pour les très gentils commentaires =) Je ferais de mon mieux pour l'orthographe.
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MessageSujet: Re: Dante Kilstrong l Stray Dog l Finish   Dante Kilstrong l Stray Dog l Finish Icon_minitime

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