Reservoir Dogs
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 Like a boss|James

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Lillianne SmithLillianne Smith
Chef des Alphas
Maneater


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MessageSujet: Like a boss|James   Like a boss|James Icon_minitimeJeu 17 Sep - 18:53

Une autre journée. Un autre lendemain. Rien de bien spécial. Tout est normal. Tout et banale. Les rideaux sont clos et pourtant, les doux rayons du soleil réussissent à se faufiler entre les tissus, pénétrant dans la pièce comme des voleurs. Aucune pitié, ils frappent directement au point faible. De fins sourcils se froncent et on peu entendre un léger, presque silencieux, gémissement de mécontentement. Aucun mouvement, aucune décision ne se fait pendant un moment. Les secondes passent et un combat insonore résonne dans la pièce. Finalement, après un autre gorgnement de la part de la perdante, on peut voir ses paupières s'ouvrirent pour laisser apparaître deux iris chocolatés. Ses yeux de biches regardent attentivement tout les meubles de la pièce, sondant chacun des tableaux et accessoirs. Tout est en place. Un grand respire et on peut maintenant voir les draps de soie bouger pour ensuite se retirer et laisser place à de longues jambes. Assise sur son lit, elle s'étire doucement, réveillant les muscles endormis et secoue légèrement sa tignasse pour finalement se lever avec un soupir.

Elle aimerait bien restée là, dans son lit parfois et ne pas avoir à se lever à tout les matins. Ce n'est qu'une autre journée. Une autre journée dans la peau du patron des Alphas. D'un oas félin, paresseux, elle se déplace jusqu'à sa commode où elle en ressort un tailleur blanc avec une chemise noire. Les deux facettes sur elle-même. Faut dire, si elle devait être prie en fusillade avec des vêtements pareille, elle serait une cible facile. Pff, comme si quelqu'un réussirait à l'atteindre de toute façon. Personne ne sait vraiment qu'elle est le chef, une personne faisant acte de sa position à sa place au cas où, justement, une telle chose arriverait. Il n'y avait donc aucun danger pour elle. Enfilant ses vêtements, la jeune femme se dirigea vers la salle de bain reliée à sa chambre. C'était bien d'être habillée, mais elle n'allait tout de même pas partir au bureau avec une tête pareille.


" Mais qu'est-ce qui s'est passée cette nuit ma grande ? Tu n'es pas allée faire la fête et pourtant regarde toi. Argh, j'ai une tête d'enterrement. Et regarde moi ces cernes. . . "

Nouveau soupire. C'est la vie d'un patron. Garder l'équilibre entre éfficacité et beauté. Ouais ouais, c'est ça . . . On sort la trousse de maquillage et on saisit la brosse à cheveux. Fond de teint, cache cerne, glosse, crayon, mascara, tout y passe. Une fois le maquillage fait, Lillianne mpoigna sa brosse à cheveux et les coiffa en un joli chignon. Voilà qui faisait différent. Il faut dire aussi qu'aujourd'hui n'était pas une journée habituelle. Elle avait rendez-vous à deux heures trente avec un gros client. Malheureusement, il ne semblait pas très coopératif. Cependant, elle n'irait pas seule non plus. Même si elle possèdait plusieurs charmes, cela ne suffisait pas parfois et alors, nous devions en venir à la force brute. Ah, le miracle et l'utilité qu'est le garde du corps. Non seulement ils sont intelligents, mais en plus, ils savent faire plier tout le monde à leur demande lorsqu'il est névessaire.

Maintenant elle avait l'aire fraîche et prête pour les affaires. Retournant à sa chambre, elle chaussa des escarpins et filer vers la cuisine. Une note se tenait sur le comptoir ainsi qu'un bon petit déjeuner. Mmh, sans doute la bonne ou quelqu'un du personnel avait bien vue qu'elle n'était pas encore debout à huit heures ce matin. Très délicat de leur part en tout cas, qui qu'il soit. Une bonne salade avec des petits morceaux de jambon. Ça démarait bien une journée. Attrapant son assiette, elle s'installa au comptoire. Malheureusement, à peine que la fourchette eu frôlée ses lèvres qu'elle pue entendre frapper à la porte. Et un nouveau soupire. Posant son ustensil, elle se dirigea prestement vers la porte.


" Qui est là ? "

Et oui, il fallait qu'elle pose cette stupide question à chaque fois qu'on frappait à sa porte lorsqu'elle était seule. Si elle ne reconnaissait pas la voix, elle ne devait pas répondre et si les choses s'aggravaient, elle devait immédiatement avertir ses gardes du corps. Sauf que cette fois, elle reconnue parfaitement la voix et ne pue s'enmpêcher de sourire. Maintenant elle devait regarder voir si c'était bien lui, et oui ça l'était, et ouvrir la porte.

" Tiens ! Mais bon matin. J'étais justement entrain de déjeuner . . . "

Un petit sourire coquin et la jeune femme retourna à son repas, laissant Andreas à la porte ouverte. Une bouchée et un soupire de contentement se fit entendre.

" Délicieux. Tu veux quelque chose ? Sers toi je t'en prie. "

Une petite pause, elle savait très où la conversation irait de toute manière. Enfin, conversation est un bien grand mot lorsqu'il s'agit d'Andreas.

" Oui je sais, je suis en retard. J'ai . . . Je n'ai aucune excuse, une grasse matinée me semblait de mise ce matin. "

Ce n'est pas comme si ça lui était interdit de bien se reposer non ?
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James CrowleyJames Crowley
Secrétaire des Alphas


Cute Name? : Jamie
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MessageSujet: Re: Like a boss|James   Like a boss|James Icon_minitimeMer 18 Nov - 2:14

    Les matins, c’était une partie de la journée qu’il adorait, contrairement à bon nombre de personnes. Il fallait dire que le jeune secrétaire Alpha était quelqu’un du matin. Tous les jours, le même rituel. Il se levait, se faisait un petit déjeuner composé de bacon, d’œufs et de toasts grillés, avec un bon jus d’oranges pressées. Ensuite, il enfilait une tenue pour aller faire son jogging dans Central Park. Une heure de course à pied, de quoi se détendre et se sentir en forme. Il rentrait par la suite, prenait une longue douche froide, et s’habillait de son costume noir de tous les jours. Parfois il changeait, mais était-ce vraiment nécessaire de se questionner sur sa tenue quand il savait que l’on se fichait bien que sa cravate soit bleue, à petit pois ou rayée ? Chaussures en cuir parfaitement cirée, montre en main, il était décidé à arriver de bonne heure. Comme toujours, il prenait avec lui une arme à feu, bien qu’il ne soit pas vraiment doué pour tirer sur les autres. C’était au cas où. Malette à la main, il partit donc de chez lui, n’oubliant pas de prendre une pomme verte et de nourrir son rat blanc.

    Descendant au parking souterrain de son immeuble, il jeta un coup d’œil à sa montre avant de démarrer et de prendre son kit main-libres. La patronne ne décrochait pas. Rien d’étonnant. Elle avait la manie de mettre son téléphone en silencieux le soir venu pour ne pas être réveillé par ses employés. Tant pis. Autant passer la prendre chez elle. N’avait-elle pas rendez-vous avec un gros client aujourd’hui d’ailleurs ? Lâchant un soupir et secouant la tête d’un air désapprobateur, James se dirigea vers les appartements de Madame, conduisant prudemment sur son chemin. La circulation était dense à cette heure-ci, et il fallait toujours faire attention aux cyclistes qui débouchaient à droite et à gauche. Il était déjà arrivé une fois à James d’en renverser un. Pour savoir s’il l’avait fait exprès ou non, c’était une autre histoire. Les deux roues avaient le chic de l’énerver à se faufiler entre les voitures, surtout si lui était en plein bouchon. Installé dans son siège en cuir (il fallait dire que James avait un penchant pour les belles voitures), il alluma la radio et tapota son volant avec impatience. Attrapant son téléphone, il rappela sa chère patronne, sans grand espoir. Ainsi, quelques minutes plus tard, il arriva devant chez elle et se gara en double-file. Tant pis pour les contraventions. Il ne comptait pas rester là longtemps. Se dépêchant vers la porte d’entrée de la maison, passant devant les gardes du corps qu’il salua, il décida de taper à la porte. Trois coups vifs et brefs. C’était tout lui. Pourquoi avait-elle décidé d’habiter dans une zone excentrée ? Un appartement n’aurait-il pas suffit ?

    « Vous savez bien qui c’est… »

    Même rituel, tous les matins. Venir chercher Lillianne n’était pas dans ses habitudes, mais il avait la nette impression que cela allait en devenir une petit à petit. Patientant donc à la porte, il fixa droit devant lui le judas, sachant pertinemment que même si elle avait reconnu sa voix, elle vérifierait son identité avant de lui ouvrir. Des bruits de verrous, une poignée qui s’enclenche, et il était à l’intérieur de la maison spacieuse. Il y avait du bon à être chef d’un gang tout de même. Maintes fois, il s’était demandé comment Lillianne avait pu devenir chef. Elle n’en avait pas la carrure à première vue. Déjà, c’était une femme, et ce milieu était extrêmement misogyne. Les femmes étaient bonnes à faire des enfants et s’occuper de la maison. On les tenait en estime pour leur travail en tant que femme au foyer, on les respectait même, tant qu’elles ne dépassaient pas du moule qui leur était attribué. Chose qui était bien, peu de gens savaient qu’elle était le successeur de l’ancien patron, James, qui d’ailleurs avait le même prénom que lui. Enfin, avait plutôt. Paix à son âme.

    « … Non merci, Mademoiselle Lillianne. »

    Le secrétaire Alpha était un homme très attaché à la politesse et aux grades. A cause de cela, il avait réussit, non sans difficulté, avec le temps à arrêter d’appeler sa patronne Mademoiselle Smith, échangeant simplement son nom par son prénom. Pour ce qui était du vouvoiement, c’était peine perdue. Il n’arriverait pas à se débarrasser de cette manie. Cependant, s’il s’adressait à quelqu’un possédant un rang inférieur au sien, comme par exemple les simples hommes de main… son discours changeait totalement. Il n’était pas poli mais autoritaire, froid, dur. On pouvait lire dans son regard qu’il n’acceptait aucun écart. Même le plus petit. Efficacité avant tout. En parlant d’efficacité…

    « … Bien. Je vous prierais donc juste de vous dépêcher. »

    Chouiner à propos de sa voiture en double-file aurait paru déplacé, et il resta donc muet. Il prit soin de refermer la porte derrière lui et attendit à l’entrée, droit comme un piquet. Au moins, Lillianne s’était déjà habillée et maquillée. Il ne lui restait donc plus qu’à engouffrer son petit-déjeuner, rassembler ses affaires et partir avec lui. Regardant de nouveau sa montre, il calcula le temps qu’ils mettraient pour arriver aux bureaux des Alpha, à l’autre bout de la ville. New York – 2 était toujours en construction, et bien d’autres immeubles allaient être édifiés là où ils s’étaient implantés. Les chantiers allaient être terminés d’ici quelques années, laissant place peut-être à des centres commerciaux, des logements, des cinémas… Ce serait parfait pour les affaires. Ils pourraient mettre des prostituées ici et là. En les mettant en valeur à des endroits stratégiques, ils empocheraient plus d’argent. Peut-être devraient-ils même acheter un hôtel tout spécifique à ces activités ? Cela serait plus rapide de faire passer la clientèle. Il y aurait plus de rendement…

    Regardant Lillianne continuer à déjeuner, il faisait de son mieux pour que le clan prospère. Les S.F.U. étaient une vraie épine dans le pied, et il aimerait trouver un jour le moyen de tous les éradiquer. Sans eux, tout serait tellement plus facile. Pas de concurrence, pas de besoin de baisser les prix. Que du profit, du profit et encore du profit. Son salaire pourrait même être augmenté. Mais il était bien loti, le James. Il faut dire que vu la quantité de travail qu’il fournissait, c’était tout à fait normal d’avoir un bon gros chèque à la fin du mois. Ou une mallette remplie de cash.

    « J’ai essayé de vous joindre ce matin. Vous devriez décrocher plus souvent… La Boss doit être joignable à tout instant. »

    Aucun ton de reproche dans sa voix, juste un conseil, d’employé à employeur. Une catastrophe au beau milieu de la nuit pouvait arriver, comme par exemple une fusillade résultant d’une transaction qui se serait mal passée. Ou un attentat contre eux de la part de ces foutus S.F.U. Mais leur chef n’avait pas l’air assez malin pour faire cela. Quoi qu’il en soit, il voulait juste que sa patronne réponde plus souvent aux appels téléphoniques matinaux. Mieux vaut prévenir que guérir, et personne n’était à l’abri d’un incident.
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